Kaakook

Top - Citations de films de l'année 1998

Ça y est, j’ai chuté, et j’suis dans la merde. J’y suis tout entier, tout au fond. Mais je n’ai pas peur, au contraire, je ne demande de l’aide à personne. J’irai plus loin, j’irai jusqu’au bout, je creuserai un tunnel dans cet océan de merde qui m’entoure. C’est ça l’intérêt, adieu.

#281
7.08 (14 votes)

- Mais Daniel, des problèmes il en a pas un il en a des milliers regarde le c’est un psychopathe ce mec !
- Lily, complique pas les choses moi je m’occupe de lui, toi de sa mère et dans une heure on a fini.
- Hey t’es marrant, j’en fait quoi de Matahari ?

#282 7.07 (31 votes)

Sur ce, si ça ne vous gène pas, je vais m’évanouir !

#283
7.06 (7 votes)

- Ça suffit, mon ami, tu t’es suffisamment amusé !
- Qui est-tu ? On se connait ?
- Merlin !
- Oui donc on se connait pas ! Et tu m’as appelé « ton ami » ?
- Oui, une erreur de ma part !
- Sûr !
- Jamais je ne pourrais avoir un ami aussi crétin !
- Je pourrais t’apprendre à marcher sur les genoux, Merlin !
- Je ne ferais pas ça si j’étais vous !
- Vraiment ? Alors viens, je t’attends !
- …
- Viens !
- Vous vous prenez pour le roi ?
- Non, son fils. Arthur !

#284
7.06 (7 votes)

Pourquoi est-ce qu’on habite dans cette putain de ville ? C’est le trou du cul du monde ! Dès qu’un truc est à la mode dans le reste du monde, ça met tellement de temps pour arriver jusqu’à ce trou pourri qu’c’est déjà plus à la mode dans le reste du monde !

#285
7.06 (7 votes)

- J’ai couché avec un seul mec, avec Markus, tu le sais très bien.
- En tout cas, moi, tu sais qu’j’ai couché avec personne !
- Oui, mais tu t’es fait peloter par au moins soixante-dix mille mecs, toi…
- Et alors, ça n’a rien à voir.

#286
7.06 (7 votes)

Ce s’ra comme ça tout le temps ! Personne m’aimera jamais ! Pourquoi est-ce que j’suis née ? J’ai pas envie d’vivre, j’ai envie d’mourir !

#287
7.06 (7 votes)

- Eh, c’est vrai qu’t’es lesbienne ?
- Quoi ?
- Si c’est vrai, j’te comprends tout à fait, j’trouve que les mecs sont dégueulasses. J’vais l’devenir aussi je crois.

#288
7.06 (7 votes)

Les brevets sont libres de droits dans l’espace.

#289
7.06 (7 votes)

Les fusils pour l’esbroufe, les lames pour les pros !

#290
7.03 (27 votes)

Si vous craignez la lumière du jour ou si vous vous sentez deshydraté même après avoir bû plusieurs litres d’eau, mettez vous un flingue sous la tempe et appuyez sur la détente.

#291
7 (20 votes)

- Allo ?
- Passez moi le capitaine Skaffar.
- Qui ? j’entends mal, épelez s’il vous plaît…
- S comme salopard; K comme Khéphren; A comme enculé; Deux F comme fist fucking, A comme Arthur et R comme Rimbaud!!!
- Je, j’vous le passe…

#292
7 (10 votes)

Vous m’avez appris à voir au delà de mes sentiments.

#293
7 (10 votes)

Moi je vole de l’or mais vous vous volez à ces pauvres gens leur vie.

#294
7 (10 votes)

Chacun sa vie, chacun sa morale. Et si je devais résumer ma vie. Ma vie elle est très simple. C’est celle d’un pauv’ type. Voilà le genre de truc qu’ils devraient écrire un jour. C’est l’histoire d’un homme comme tant d’autre, son histoire est banale. Ça commence en France, en plein cœur du merdier, au pays du fromage et des collabos. Cet homme naît près de Paris en 1939. En 41 sa mère l’abandonne. Il ne la reverra jamais. À la libération, il apprend enfin l’identité de son père. Un résistant communiste mort en Allemagne dans un camp de concentration. Il a six ans. Un conflit intérieur commence alors. D’autant plus qu’à la même époque un éducateur lui vole son innocence au nom de Jésus. À quatorze ans, poussé par la nécessité de survivre, il apprend le métier de boucher. Et pendant dix ans il travaille comme apprenti chez différents patrons. Économisant sous après sous pour payer le bail de sa future boutique. À trente ans il y parvient et s’installe à Aubervilliers. Les débuts sont difficiles mais au bout de deux ans son affaire chevaline prend de l’envol. Enfin il peut vivre. Il rencontre une jeune ouvrière bovineuse et déchire son hymen à l’hôtel de l’Avenir, juste en face de l’usine où elle travaille. Mais les événements se précipitent. Neuf mois plus tard il se retrouve père d’une fillette, Cynthia, dont la mère ne veut rien savoir. Elle les abandonne tous les deux et le père doit élever seul sa fille. Les années passent. La boucherie tourne tant bien que mal. Le boucher achète un petit appartement à crédit où la fille grandit, enfermée dans son mutisme. Sa puberté arrive. Elle prend des formes. Et le père, célibataire malgré lui, doit lutter contre la tentation. Et c’est alors que le drame éclate, la jeune fille a ses premières règles. Prise d’une douleur inconnue elle part retrouver son père dans sa boucherie. Mais sur le chemin un ouvrier tente de la séduire. Un voisin les voit et ramène la jeune fille à son père. Celui-ci, découvrant la tâche de sang sur la jupe de son enfant, croit au viol. Il saisit un couteau et sort à la recherche du coupable. Sur le chantier voisin se trouve un autre ouvrier. Le boucher se précipite sur lui et le défigure à coups de couteau. L’innocent survit, le boucher se retrouve en prison tandis que ça fille est placée dans une institution. Il lui écrit quelques lettres. Les mois passent. Pour sortir de prison le boucher doit céder son appartement et sa boutique. Il retrouve enfin la liberté, mais il a tout perdu. Pour survivre, il se fait engager comme serveur dans un café. Il devient l’amant de la patronne. Celle-ci tombe enceinte, lui propose de vendre le café pour repartir à zéro dans une autre ville, tout les deux. Avec l’argent du café, elle pourrait même lui payer le bail d’une boucherie. N’ayant pas le choix, l’homme accepte. Pour la première fois il se rend à l’institution où est gardée sa fille. Et lui fait ses adieux. Celle-ci le regarde partir sans un mot. Le lendemain, à l’aube, il quitte la ville en voiture avec la patronne, espérant échapper au sombre tunnel de son existence. Ils parviennent à Lille et s’installent chez la mère de la femme, en attendant de trouver un autre appartement et une boutique à elle. Comparées aux rues de Paris où il a toujours vécu, celles du nord de la France lui paraissent triste et déserte. Pour la première fois de sa vie, il se sent comme un étranger. Les images de son père mort en déportation loin de son pays refont surface. Mais le boucher, comme tout homme, est avant tout un être de pure survie. Il décide de mettre au placard son passé et d’oublier la trahison faite à sa fille, ainsi que son amour pour elle. Enfin, l’amour c’est un bien grand mot. Peu de gens peuvent se vanter de l’avoir connu.

#295
7 (10 votes)

Saddam Hussein nous en met plein la gueule !

#296
7 (10 votes)

Soit follement heureuse.

#297
6.97 (23 votes)

La mère de mary : Qu’est-ce que c’est ce qu’on voit la ?… Est-ce-que ces les hum ou la hum ?
Le père de Mary : Est-ce-que c’est la merguez ou les pois chichess ?
Ted Stroehmann : Bah je sais pas, un peu les deux.

#298
6.9 (19 votes)

- C’est la dernière fois que j’achète des fruits chez toi Tom ! C’est ce que t’appelles frais ? Y’avait plus de p’tites créatures poilues dans tes fruits qu’il n’y avait de fruits. Tu devrais ouvrir une boucherie pas une épicerie.
- Bah si tu passes tes commandes de fruits à Katmandou il faut t’attendre à ce qu’ils ramassent quelques touristes en route !

#299
6.88 (6 votes)

Chacun des mots fait partie d’une image, et chaque phrase est une image. Il suffit que tu laisses ton imagination relier les éléments entres eux. Si tu as de l’imagination, s’entend.

#300
6.88 (6 votes)

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