Top - Citations de films de l'année 2009

- Bonjour Mademoiselle. Puis-je me joindre à vous ?
- Écoutez, Fredrick.
- Oh ! [rire] Vous vous souvenez de mon nom.
- Oui. Écoutez, vous avez l’air d’être un type plutôt agréable.
- Merci.
- Je vous en prie. Quoi qu’il en soit j’aimerais que vous cessiez de m’ennuyer.
- Je vous présente mes excuses mademoiselle. Je ne voulais pas vous ennuyer. J’essayais simplement d’être amical.
- Je ne souhaite pas être votre ami.
- Pourquoi ?
- Ne faites pas l’enfant. Vous savez pourquoi.
- Je suis plus que juste un uniforme.
- Mais pas pour moi. Si vous cherchez désespérément une petite amie française je vous suggère d’essayer Vichy.

Vous pouvez pas me taper, j’ai des lunettes.

T’entendre respirer est mon cadeau le plus précieux.

Arrête de faire ton Jean-Jacques !

- Ouais… : Maman dinosaure, trimbalant trois bébés et… et un, un truc mou et verdâtre… !
- Oui eh ben le truc mou et verdâtre on est ami avec !

Tu es ma seule raison de rester en vie si je puis dire.

- Je suppose que vous n’avez pas la moindre compétence dans le domaine scientifique !
- J’ai disséqué une grenouille, une fois…

J’ai lu dans tes yeux que tu pensais profondément que je ne voulais plus de toi. La chose la plus absurde, la plus ridicule qui soit. Comme si je pouvais exister sans toi !

J’étais un guerrier qui rêvait qu’il pouvait apporter la paix… Mais tôt ou tard, il faut se réveiller…

Ici, je veux fixer mon éternelle demeure et soustraire aux jougs d’adverses étoiles et cette chair lasse du monde. Mes yeux, un dernier regard. Mes bras, une dernière étreinte. Vous, lèvres, porte de l’âme humaine, sceller d’un baiser légitime votre éternel pacte avec le sépulcre.

- Ne tirez pas. Surtout ne tirez pas, vous allez le mettre en fureur.
- Il est déjà en fureur.
- Jake, sa carapace est trop épaisse. Croyez-moi. C’est une parade de défense du territoire. Ne fuyez pas, il risquerait de charger.
- Je fais quoi alors, je l’invite à danser ?
- Vous attendez. Surtout ne faites aucun geste.
[L’animal charge Jake]
- [À l’animal] Bah allez vas-y ! Qu’est ce que t’attends ? Ah tu fais moins le malin là ! Ah t’as vu ça ! Ouais, tu m’as compris salopard.
[L’animal fuit]
- Voilà, c’est ça. Retourne chez ta mère ! Hein ? Allez casse toi, va ! T’as rien dans le ventre ! T’as cas revenir avec tes copains si tu veux !
[Il se retourne et voit apparaitre une autre bête féroce]
- Oh putain. [À Grace] Et avec celui là alors, il faut s’enfuir ou pas ?
- En courant ! Faut s’enfuir en courant !

À tous ceux qui nous écoutent, voilà ce que je tien à dire; Que Dieu vous bénisse tous, quant à vous les salopards au pouvoir, ne rêvez pas en pensant que tout ça est terminé, les années viendront et passeront et les politiciens n’auront toujours rien à foutre de construire un monde meilleur, mais partout dans le monde, les jeunes hommes et les jeunes femmes, eux, rêveront toujours leurs rêves et mettront ces rêves en chansons. Rien d’important ne va mourir ce soir, juste une bande sur un bateau minable. La seule chose triste ce soir c’est que les années qui viennent verront apparaître encore de tellement magnifiques chansons que nous n’aurons plus le privilège de vous passer, mais, je peux vous l’affirmer, elles seront toujours composées, elles seront toujours interprétées et elles représenteront la splendeur de ce monde.

Chéri. J’ai quelque chose à te dire… il y a une famille de chinois dans notre salle de bains.

Bye-bye black bird.

Ma chambre tu l’aimes, ou tu la quittes.

Monsieur le préfet, Madame la préfecture.

- Et comment vous appelez un pays qui a comme président un militaire avec les pleins pouvoirs, une police secrète, une seule chaîne de télévision et dont toute l’information est contrôlée par l’État ?
- J’appelle ça la France mademoiselle, et pas n’importe laquelle, la France du Général De Gaulle.

Ne me demande pas de choisir, Jacob ! Parce que ça sera lui. C’est lui depuis le commencement !

- Oh un chien ! Assis.
- … [Dug s’assoit]
- Tiens, il est dressé ! Donnes la patte !
- … [Dug donne la patte]
- Dis Bonjour.
- Bonjour !

- J’le vois ce soir, il est au spa.
- Ose pas ?
- Au spa.
- Il ose pas ?
- Il est AU SPA.
- Et pourquoi ?
- Pourquoi quoi ?
- Pourquoi il ose pas ?
- Bah, je sais pas moi, pour se reposer !
- Parce que quand on ose pas on se repose ?
- Maman, il est au spa, pas « il ose pas », il est au spa.
- ’Ose pas.
- Spa.
- C’pas grave.