Kaakook

Top - Citations de films de l'année 2009

Faites-vous quelque chose de sale ? Faites vous par exemple une chose dont vos parents ne savent rien ? Est-ce que vous transgressez la loi ? Outrepassez-vous les règles ? Écartez les genoux et sentez le petit vent fou ? Parce que Gavin est pour toujours… parmi vous. Maintenant c’est entre toi et moi. Et figure toi que je regarde droit sous ta jupe.

#21
9.33 (95 votes)

J’aurais aimé pouvoir dire qu’elle avait guéri miraculeusement, mais ça n’a pas été le cas. Elle a juste cessé de respirer. Et j’aurais aimé pouvoir vous dire qu’elle n’était pas morte pour rien, que sa mort avait eu un sens pour la suite de notre vie ou même que sa vie avait eu une signification particulière, qu’on avait donné son nom à un parc, à une rue, ou que la cour suprême avait changé une loi à cause d’elle. Mais rien de tout ça ne s’est produit. Elle est partie c’est tout. Elle est redevenue un morceau de ciel bleu et nous devons tous continuer à vivre.

#22
9.33 (365 votes)

Il devrait y avoir prescription pour le chagrin. Un code stipulant que se réveiller tous les matins en pleurant n’est admis que pendant un mois.

#23
9.33 (154 votes)

Vole ! Part ! Soit libre ! Gentil oiseau qui ne sait pas voler.

#24 9.33 (125 votes)

Bien, je me présente : Lt . Aldo Raine. Et j’ai besoin de huit soldats. On va se pointer en France en tenue civile, on aura qu’un objectif à atteindre et un seul : tuer du nazi. Les membres du parti national socialiste ont conquis l’Europe par le meurtre, la torture, les menaces et la terreur. Nous allons leur rendre la monnaie de leur pièce, nous allons massacrer les soldats allemands. C’est par notre cruauté qu’ils vont nous connaître. Ils auront les preuves de notre cruauté quand ils trouveront les corps mutilés, démembrés, éventrés de leurs frères après notre passage ! Les allemands ne pourrons pas s’empêcher de penser à la barbarie, aux atrocités que nous leur infligerons ! Ils vont gouter à nos poings, aux talons de nos bottes, et aux fils de nos lames ! Les allemands auront la nausée ! Les allemands vont nous entendre arriver ! Les allemands seront terrorisés ! Les nazis n’ont aucune humanité ! Il faut les détruire ! Chaque soldat de mon commando devra me rapporter cent scalps ! Et j’entends avoir mes scalps.

#25
9.32 (136 votes)

Vous croyez que seuls les vivants sont en mesure de porter un jugement sur vous parce que les morts n’ont aucun emprise sur votre âme ?

#26 9.32 (93 votes)

- Noooon.
- Paradis…
- Ne restons pas là. Ouvre les yeux, regarde-moi. Je suis vivante. Il faut que tu recules.
- Bella. Tu es là.
- Je suis là.
- Bella.
- Oui… Il fallait absolument que tu me vois. Il fallait que tu saches que je suis vivante, que tu n’as pas à te sentir coupable. Je suis prête à vivre sans toi.
- Je n’ai pas fait ça parce que je me sentais coupable. Je ne peux vivre dans un monde où tu n’existes pas.
- Mais tu as dit…
- J’ai menti. Il le fallait. Pourtant tu m’as cru sans hésiter.
- Parce qu’il n’y avait pas de raison pour que tu m’aimes. Je veux dire je… je suis une simple humaine. Je ne suis rien.
- Bella, tu es tout pour moi. Tout ce qui importe.

#27 9.32 (508 votes)

Vous voyez, un homme ne vous aimera ni ne vous traitera jamais aussi bien qu’un magasin. Si un homme ne vous convient pas, vous n’avez pas une semaine pour l’échanger contre un magnifique pull en cachemire. Un magasin sent toujours bon. Un magasin peut éveiller en vous un désir pour des choses dont vous n’auriez jamais pensé avoir besoin. Et quand vos doigts attrapent ces sacs flambants neufs, oh oui, oh oui !… Oh non, j’ai dépensé 900 dollars !

#28
9.32 (123 votes)

Moi mignon ? Je ressemble à l’autre baltringue des choristes !

#29
9.32 (151 votes)

- C’est une bête féroce ! Je l’ai baptisée… Rudy !
- Ah bon ? J’m’attendais à un nom un peu plus menaçant comme « Boby » ! Ou « Gégé » !

#30 9.32 (63 votes)

On ne peut pas revenir en arrière ; c’est pas facile de choisir, il faut faire le bon choix. Tant qu’on ne choisit pas tout le reste est possible.

#31
9.31 (338 votes)

Au fur et à mesure que grandissent les filles, elles se font enseigner un tas de choses. Si un garçon vous donne un coup de poing c’est qu’il vous aime, n’essayez jamais de vous coupez vous même votre propre frange, un jour vous rencontrerez un gars merveilleux et vous vivrez alors votre propre conte de fée.
Tous les films que nous voyons, toutes les histoires qu’on nous raconte nous implorent d’attendre que ça nous arrive. Le coup de théâtre du 3e acte…
la déclaration d’amour inattendu… l’exception qui confirme la règle. Mais nous sommes parfois si pressées de vivre notre conte de fée que nous n’apprenons pas à interpréter les signes. Comment faire la différence entre ceux qui sont intéressés par nous et ceux qui ne le sont pas ? Ceux qui resteront avec nous et ceux qui ne resteront pas ?
Il se peut que parfois le gars merveilleux ne fasse pas partie du conte de fée, il se peut que ce soit… vous… toute seule… qui vous reconstruisiez
et vous repartirez à zéro, vous vous rendrez ainsi disponible pour un meilleur avenir. Peut-être que le conte de fée c’est tout simplement… tourner la page… Ou peut-être que le conte de fée c’est le fait que en dépit de tous les appels retournés, les cœurs brisés… en dépit de toutes les gaffes et les signes mal interprétés… en dépit de tous les chagrins et les humiliations… vous n’ayez jamais, jamais perdu espoir.

#32
9.31 (379 votes)

Y’a déjà assez de conneries dans le monde pour que j’en rajoute.

#33
9.31 (367 votes)

- Il est sympa.
- Il est sympa ?
- Il est très très sympa.
- C’est tout ?
- Non, il a plein de copains et des cheveux très longs.
- Jimmy Hendrix ?
- Non plus vieux que ça… euh… il n’a pas de chaussures.
- Ça c’est dur… un type sympa qui a les cheveux longs, et qui a pas de chaussures… c’est peut être…
- Habillé en fille !
- Habillé en fille ? Oh ça peut quand même pas être Jésus ?
- Oui c’est Jésus ! ça chauffe !
- Mais pourquoi tu m’as pas dit que c’était le fils de Dieu ?
- Son fils ?

#34
9.31 (194 votes)

Tout aurait pu être, toute autre chose et aurait eu tout autant de sens.

#35
9.31 (77 votes)

Le Comte : La fin est proche. On se croyait éternels. Mais c’est la vie. On vous dit adieu, avec dignité et fierté. C’est le dernier compte à rebours pour le Comte. Trois, deux, un … Le reste est silence.
[On voit les officiels du gouvernement trinquer et rire en écoutant la radio]
Inconnu : À la Reine.
Inconnu : À son gouvernement.
Le Comte : Je déconnais, les gars, ça repart !!

#36
9.3 (189 votes)

Alice, tu as disparu comme tout le reste. Maintenant à qui d’autre parler, je suis perdue. Quand tu es partie… et qu’il est parti, vous avez tout emporté avec vous. Et son absence remplit mon horizon. Comme si on avait percé un trou béant dans ma poitrine. D’une certaine façon je suis heureuse, ma souffrance est la seule preuve de sa réalité, de votre réalité.

#37 9.3 (545 votes)

Quand la vie vous a fait don d’un rêve qui a dépassé toutes vos espérances, il serait déraisonnable de pleurer sur la fin…

#38 9.3 (490 votes)

Si je n’avais qu’une heure d’amour, si c’est tout ce qui m’était donné, une heure d’amour sur cette terre c’est à toi que je la consacrerai.

#39
9.3 (234 votes)

Je suis bien là, et je t’aime. Je t’ai toujours aimée et je t’aimerai toujours. J’ai pensé à toi, j’ai imaginé tes traits durant chaque seconde de mon absence. Quand je t’ai dit que je ne voulais plus de toi, c’était le pire des blasphèmes.

#40 9.29 (466 votes)

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