Top - Citations de films de l'année 2009

- It was really nice meeting you.
- Fuck off!
- You know, I was thinking of getting my bartender’s license.
- Suck my dick!
- No thank you.

- Mes cheveux sont bleus ! Ils sont bleus !… J’me marie dans une semaine !
- Félicitations…

- Devinez ce qu’elle avait comme chaussures.
- Ben je sais pas moi.
- Elle avait des moonboots !
- Les trucs qu’on met pour faire du ski ?
- Ouais et elle dansait normal avec et tout ! Mais ça devait être le Kosovo dans ses yep ! Comment ça devait puer !

Oh I’ve killed Sirius Black.

La plus noble des vengeances, c’est de pardonner.

- Please, stay here for me…
- I have to go…

- Il y a une vie après la mort ?!
- Ah ah… après la mort ? Comment pouvez-vous être si sûr d’être vivant à l’heure qu’il est ?

Je peux me souvenir d’il y a très longtemps… Bien avant ma naissance. J’attendais avec ceux qui n’étaient pas encore nés. Quand on est pas encore né on sait tout, tout ce qu’il va arriver. Quand c’est votre tour, les anges de l’oubli mettent un doigt sur votre bouche. Ça laisse une marque au dessus de la lèvre. Ça veux dire que vous avez tout oublié. Moi, les anges ont passé mon tour.

- Vas-y, enferme moi.
- On enferme les hommes, mais on pique les chiens !

Mais tu veux que je te dise ? Au fond je n’ai pas besoin de toi, et ça tu le sais.

Tout ça n’est qu’une farce.

Rorschach’s Journal: October 12th, 1985. Tonight, a comedian died in New York.

Je savais qu’en entrant dans sa chambre d’hôtel, rien ne serait plus jamais pareil. J’allais faire l’amour pour la première fois avec l’amour de ma vie. On le sait, ça.

Je ne sait pas qui a dit que seul les morts voient la fin de la guerre. J’ai vu la fin de la guerre, mais la question reste à savoir si je pourrais à nouveau vivre.

J’étais bloquée au stade anal. Dans le terme Freudien, j’étais une névrosée du ménage.

- C’est quoi cette danse de connard !
- Vas-y on s’en fou, fait…
- C’est mort j’fais pas ça moi !

Il n’y a qu’une affaire qui aujourd’hui pique ma curiosité : l’étrange affaire de Mrs. Hudson, fantomatique logeuse. Je me suis intéressé à ses allés-et-venus qui s’avèrent des plus… sinistres.

Ramasse ton colt ou je lui agrandi son trou de balle ! Enfin je veux dire le trou qu’elle a dans l’épaule… enfin le trou de balle qu’elle a dans l’épaule… tu m’as compris ! Son truc dans l’épaule là. Son trou de balle qu’elle a dans l’épaule, je vais lui agrandir… enfin je lui fais un autre trou de balle… un deuxième… plus gros…

Je suis venu pour décompresser et là je suis compressé.

Le fort dévore le faible. Et tout le monde laisse faire.