Top - Citations de films de l'année 2010

- Tu n’es plus Iron Man. Tu n’es qu’un type saoul dans un habit de métal.
- Eh, DJ ! Donne-moi une bonne batterie pour que je puisse battre mon pote !

Vous vous dîtes amis, mais c’est quoi être amis ? C’est laisser votre pote tout seul à l’hosto’ pendant quinze jours, parce que vos vacances et votre petit confort, c’est plus important ?!

Embry : Je suis content qu’il soit là, ça va peut être nous reposer des interminables monologues de Jacob.
Paul : Pourvu que Bella appelle !
Embry : Pourvu qu’elle n’appelle pas !
Jared : Il faudrait que je l’appelle.
Quil : Il faudrait que je l’appelle et que je coupe.
Jacob : Fermez là, ça va comme ça !

Si tu m’aimes, envoie moi de l’amour et du bonheur à chaque fois que tu penses à moi.

- Moi je l’aime. Il est gentil.
- Mais il fout la pétoche.
- … Comme le Père Noël !

Je suis tellement heureux que tu ailles bien que ça me donne envie de chanter.

Soyez pas vache ! Attendez moi !

- Tu t’es encore cassé la figure, Bella ?
- Non ! J’ai filé un coup de poing dans la tronche d’un loup-garou.

Personne ne t’empêcher de devenir ce que tu as envie de devenir, sauf toi-même !

Attendez redites moi le nom on à été coupé. Arvid ? Ah non on à pas été coupé !

La force, c’est de casser un bâton de chocolat en quatre en de n’en manger qu’un.

Grand-mère Ida  : On va à Pitipoï !
Nono : C’est où Pitipoï ?
Grand-mère Ida  : C’est à Petaouchnok !
Joseph Weismann : Pourquoi on comprend jamais rien quand vous parlez ?

Tyler : Elle avait fait un portrait d’toi. Elle avait fait un portrait de toi et t’étais pas là !
Charles Hawkins : Dis ce que t’as à dire…
Tyler : Tu as une fille… qui croit sincèrement au plus profond d’elle… que tu ne l’aime pas… J’veux dire… elle essaie de communiquer… Elle parle !… Pourquoi est ce que t’es incapable de l’écouter !… C’est vrai ! Pourquoi est ce que… ça te passionne pas !… Pourquoi… Pourquoi est-ce que ce n’est pas la chose la plus importante pour toi ! Juste pour un soir !
[…]
Charles Hawkins : Cette petite scène, c’est pour qui ?
Tyler : C’est pour toi…
Charles Hawkins : Elle sait que je vais m’occuper d’elle.
Tyler : Et ?!
[…]
Charles Hawkins : … Et que je l’aime… Je l’aime !… Bon sang, tu vires le monde à l’envers sans avoir aucune idée de quoi tu parles !
Tyler : Peut-être que j’sais pas… Et c’est peut être le cas de Caroline aussi…
Charles Hawkins : J’ai pourvu à tout ses besoins et aux tiens aussi !
Tyler : Ça te donne pas le droit de plus y être attentif… quand t’as plus envie !… Ou bien, ou bien quand t’as quelque chose à faire de mieux !
Charles Hawkins : À qui est-ce que tu parles ?! Tu crois taper pour venir jusqu’à mon bureau, pour l’amour du ciel tu dois t’occuper de rien, toi ! T’es responsable d’absolument personne ! Tes qu’un gamin !! Tu crois que t’es le premier à perdre quelque chose ! Tu crois qu’… que tout ce que tu ressens, dans ton cœur, j’le ressens pas moi aussi, dans le mien !
Tyler : … Tu l’as pas trouvé… C’est moi qui l’ai trouvé… Et t’es tellement… aveugle que ça en est dramatique… Et que… le reste de tes enfants vont finir par ce pendre, sous tes yeux…
Charles Hawkins : Espèce de p’tite…
Tyler : Quoi ?! Quoi ?! Quoi ?!
Inconnu : Arrêtez ! Tyler ! Sors d’ici ! Aller, sors d’ici !

- Comment êtes vous arrivé jusqu’à ma tour… Flynn Rider ?
- Wow, doucement ma jolie !
- RAIPONCE !
- Oui ça va je vais te répondre !

- Jacob, reste, tu sais que j’ai besoin de toi !
- Je suis désolé ça ne me suffit pas non plus…
- JACOB ! Embrasse moi, embrasse moi.

Salut j’me présente : Bruce, Bruce Keita. C’est moi le manager de la diva, c’est moi. C’est moi qui fait tout en fait. Fatal en Adidas : c’est moi. Le forfait mobile Fatal kit : c’est moi. Les jantes de voiture FatalChrome, le Fatal mag, graines de Fatal, Fatal store : tout ça c’est moi. Et vous savez c’est qui qui va vous pécho ce soir ? Et bah c’est moi !

- Isabella Swan acceptez-vous de m’épouser ?
- Oui !

Dreams, feel real while you’re in them. It’s only when we wake up that we realize something was actually strange…

Le seigneur est mon berger, rien ne saurait me manquer. Il me fait reposer dans de verts pâturages, il me guide près des eaux paisibles. Il restaure mon âme, il me conduit sur les sentiers de la justice, en l’honneur de son nom. Même lorsque je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, je ne crains aucun mal, car tu es avec moi.

C’est pas en oubliant d’où on vient qu’on devient ce qu’on est.