Top - Citations de films de l'année 2010

Tasse ?

- Voilà, j’aime tes mains. Je te jure que je sais pas ce qu’il m’arrive mais ça fait plusieurs mois que je ressens un truc bizarre quand je te vois. Je te rassure, je suis pas homo, je suis pas gay, c’est juste toi. Je veux dire, y a qu’avec toi que je ressens ça. Alors, j’essaie de comprendre. J’ai toujours eu de l’admiration pour toi, j’aime ta personnalité, ta façon de te battre pour les choses et même tes défauts je les aime. T’as toujours été une soupape de décompression pour moi. T’es mon ami, mon confident, alors du coup… j’adore quand on se prend dans les bras pour se dire au revoir ou encore les soirs de match, tu sais quand on saute de joie et qu’on s’enlace ! Tu vois, rien que le fait du contact physique c’est étrange mais ça me fait un truc !
- Tu te fous de ma gueule ?!
- Non. Max… J’étais trop jeune quand j’ai rencontré Isa et aujourd’hui… elle m’étouffe. Alors qu’avec toi, je me sens tellement bien… Mais tu me connais quand même, tu le sais que je suis pas PD ! C’est juste… que… je crois que je suis tomber amoureux de toi. Je t’assure, j’ai même pas envie de t’embrasser ou de coucher avec toi, non. Enfin bon… peut-être que ça viendra, je sais pas…

Nourris-moi ! Si t’es Cap.

- Vite ! Embrasse-moi.
- Ils nous regardent encore.
- Qui ne tente rien n’a rien.

Je suis en r’tard, en r’tard, en r’taaaaaaaard !

- Mais c’est quoi son problème ?
- Il veut devenir président.

- Tu n’es pas en sécurité avec moi.
- La sécurité ça me dit rien.

Je pense que les émotions positives sont toujours plus fortes que les négatives.

Donc en fait pour mon avenir professionnel, on me laisse le choix entre deux orientations possibles : pédophile ou pute… j’ai choisi pute.

- C’est la cata ! Comment tu dois être mal. Tu viens de perdre la totale ! Ton père, tout ceux de ton village, ton meilleur ami…
- Merci, cool de le confirmer ! Sympa.

- Qu’est-ce que tu comptes faire pour lui ?
- Bah… je sais pas… sûrement un truc bête.
- D’accord mais c’est déjà fait ça, je te signale.
- Alors sûrement un truc dingue !
- Ça, c’est plus intéressant !

Je ne cesse de me remémorer un des enseignements de mon gourou à propos du bonheur. Elle dit que les gens, universellement, ont tendance à penser que le bonheur est un coup de chance, un état qui leur tombera peut être dessus sans crier gare, comme le beau temps. Mais le bonheur ne marche pas ainsi. Il est la conséquence d’un effort personnel. On se bat, on lutte pour le trouver, on le traque, et même parfois jusqu’au bout du monde. Chacun doit s’activer pour faire advenir les manifestations de sa grâce. Et une fois qu’on atteint cet état de bonheur, on doit le faire perdurer sans jamais céder à la négligence, on doit fournir un formidable effort et nager sans relâche dans ce bonheur, toujours plus haut, pour flotter sur ses crêtes. Sinon ce contentement s’échappera de vous, goutte à goutte.

Fontaine de l’Amour, pfff… Quelle escroquerie ! C’est vrai, on attend toute sa vie que l’homme parfait nous prenne dans ses bras et nous inonde de bonheur… Et tu sais ce qui arrive ? Bah, on le rencontre jamais !

Tu vois Jean-Pierre, si tu veux attraper une abeille, reste à coté du pot de miel.

Non, je suis positivement extra-sûr que non !

On est des vikings, ça a toujours été un métier à risques.

Toi et moi à trois mètres au dessus du ciel.

- Si vous la cachez, vous perdrez votre tête.
- Je l’ai déjà perdue !

Ron : Dès que j’ai transplané, j’ai voulu revenir. Mais je savais pas comment vous retrouver.
Harry : Oui, comment tu nous as retrouvé ?
Ron : Avec ça [Il sort l’absorbeur de lumières]. Il ne fait pas qu’éteindre des lumières. Je sais pas comment il fonctionne, mais le matin de Noël, je m’étais endormi dans un pub. Je me cachais d’une bande de raffleurs et je l’ai entendu.
Harry : Quoi ?
Ron : Une voix. Ta voix, Hermione. Elle venait de là.
Hermione : Et qu’est-ce que je disais si je suis pas indiscrète ?
Ron : Mon nom, seulement mon nom comme un murmure. Alors je l’ai prit, je l’ai actionné. Une petite boule lumineuse est apparu et j’ai su. Et c’est vrai, la boule de lumière a flotté vers moi droit sur ma poitrine et elle est entrée en moi. Juste là [Il indique sa poitrine gauche] et j’ai su qu’elle m’emmènerait là où j’avais besoin d’aller. Alors j’ai transplané et je me suis trouvé dans cette forêt. Il faisait nuit et je ne savais pas où j’étais. Tout ce que j’espérais, c’est que l’un de vous se montrerait et c’est arrivé.

- Oui, Mlle Rushman, ce sera tout. Nous vous remercions.
- [Regardant Nathalie Rushman s’éloigner] J’en veux une !
- Non !