Top - Citations de films de l'année 2010

- En ouvrant le flanc de la montagne, on va déclencher un cataclysme…
- Dans ma culotte ! Heureusement, j’en ai une de rechange.

J’ignore ce qu’est un amour comme celui de Juliette, un amour pour lequel on est prêt à tout quitter, pour lequel on est prêt à traverser les océans mais je veux croire que s’il m’était donné un jour de le trouver, j’aurais le courage d’oser le vivre.

À plus ma puce.

Toi et moi méritons mieux que de rester ensemble par peur d’être détruit si nous nous séparons.

Ne créé jamais de lieux depuis ta mémoire. Invente toujours de nouveaux lieux.

Elle aime pas du tout ce qu’elle fait. Clara elle a fait du droit pour faire plaisir à papa. Avec lui fallait faire soit du droit soit médecine, tout le reste c’était nul. Clara elle a fait du droit, et moi j’ai fait médecine mais du côté des malades !

- La démocratie est une garce.
- Visiblement toi aussi…

- Si vous essayez de bâtir pour le futur, il faut couler des fondations solides. Les lois de ce pays, asservissent le peuple à son Roi, à un Roi qui demande la loyauté, mais qui n’offre rien en contrepartie !
Je suis allé de France, jusqu’en Palestine, livrer bataille, et je sais, que la tyrannie ne conduit qu’à la faillite. On bâtit un pays comme un bâtit une cathédrale, en partant du bas ! Renforcez chaque homme de ce pays, et vous y gagnerez en puissance.
- Bien, nul ne saurait objecter à ces paroles de bon sens.
- Si votre Majesté, venait à offrir la justice, la justice sous la forme d’une charte des libertés, autorisant chaque homme à pourvoir aux besoins de son foyer, et lui permettant d’échapper aux condamnation sans raison, à la prison sans motif, de travailler, se nourrir et gagner son pain et que le fruit de son labeur lui revienne, et de se divertir autant qu’il est possible. Ce roi là, serait un vrai souverain, et s’assurerait non seulement, le dévouement et la loyauté du peuple, mais aussi son amour.
- Alors que préconisez vous ? Un château pour chaque homme ?
- Tout anglais a une maison pour château ! Ce que nous demandons, votre Majesté, c’est la liberté. La liberté, par la loi !

- Quoi ? Tu veux qu’on lise ?
- Alors qu’on est toujours en vie ?

Le monde entier tombe en ruine et ce pauvre chat fait grise mine. C’est triste.

We’re all mad here, Alice.

Non tu ne sais pas ce que ça fait, tes parents sont morts tu n’as pas de famille !

C’est la fête dans mon slim vous êtes tous invités, meuf et gars c’est ok !

- C’est pour qui ?
- Zborowsky.
- Un prénom peut-être ?
- Oui.
- Qui est ?
- Andrej avec un « j », comme jardin.
- Ah, j’ai toujours rêvé d’en avoir un.
- Ah ?
- Un jardin.
- Ah.

Eh, c’est pas ta mère là-haut ?!

- Frank, tu peux nous dire toi, qu’est-ce qui te met en colère ?
- Les gros plein de graisse. Ils traînent leurs putain de gros cul au milieu du couloir, ils suent comme des porcs, lâchent des caisses, ça pue dans les dortoirs, ils puent et bouchent les chiottes en chiant des putains d’anacondas pendant qu’moi j’suis en face à essayer d’me laver la tronche et d’me laver les dents SANS DÉGUEULER.

Bien t’as vu ?!

- Bébé ?
- Oh là là… ha ch’uis tombée !

Y m’ont pris mon pénis… Y m’ont pris mon pénis… Y m’ont bouffé ma bite…

- Il y avait 1000 dollars sur ce compte. Et vous avez rajouté 18000, ce qui nous en fait 19. Vous êtes d’accord ?
- Attendez, attendez ! Je pose le calcul ! Ah oui c’est bon j’obtiens pareil.