Top - Citations de films de l'année 2011

Vous savez c’est agréable de célébrer, mais je ne suis pas fier de ce que j’ai fait. Et j’ai beaucoup de rattrapage à faire envers vous tous. Mais il est rare d’avoir une seconde chance n’est-ce pas ? Alors ça vaut la peine de le célébrer, pas vrai ? Et je voudrais porter un toast à cette femme qui est là : merci d’être restée. Je t’aime Emilie.

Ce monde n’est pas celui que vous imaginez, ça peut vous paraître étrange, très étrange, mais il se passe des choses encore plus étranges… croyez-moi.

La plupart des gens obéissent au tracé qui leur est proposé, parce qu’ils ont peur d’en explorer un autre. Et de temps à autres arrivent des gens comme vous, qui déjouent toutes les embûches qu’on place sur leurs chemins. Des gens qui comprennent que le libre arbitre est un cadeau dont on ne profite jamais si on ne se bat pas pour le défendre. Je crois que c’est ça, le véritable plan du grand patron, qu’un jour nous n’aurons plus à tracer de plan, que vous prendrez la relève.

- Vous êtes en Vespa ?
- Heu, non. En solex…

Ah oui, une dernière chose : travailler en équipe.

Tu sais l’autre soir, quand je t’ai dit que je devais travailler tard au boulot ? C’était faux. Je suis allée voir Twilight toute seule au cinéma. Bon dieu qu’est ce que c’était nul !

Vous êtes pleine de vie c’est insupportable !

- Elle là : épilation totale.
- Celle la j’dirais chatte buisson.
- Ouais, avec plein de mauvaises herbes… Alors que celle la, fraîchement tondue de ce matin, elle a juste laissé la petite languette, comme le Flanby.
- Ah nan ça c’est limite marais poitevin ça, avec le bouillon de culture…
- Là à gauche, la mère là, j’dirais jardin à la française, et la fille : abricot.
- Nan la fille elle est plus en abricot la, elle est en pelouse, ou en green de golfe.
- Et celle la ?
- Jean-Gorges, c’est un homme…
- Et alors ? Y’a des hommes qui se rasent la chatte.
- …
- Et là, bien taillé au laser, triangle isocèle, avec l’hypoténuse.

On est tous pareils, on souffre tous. On a tous du chaos dans nos vies. La vie est très déroutante, je sais. Mais si tu survis à ça, tu pourras survivre à tout…

Ce vide m’a permis d’avoir un aperçu de la réalité, l’origine de ce putain de problème de base. Certains d’entre nous croient qu’on peut réussir à changer les choses, et parfois on se lève le matin et on s’aperçoit qu’on a échoué.

- Vous vous en servez beaucoup de ce pied là ?
- Bah une fois sur deux.

- Chéri que viens tu faire ici ? On t’a remplacé trésor, par cet adorable radis.
- Sage, poli et faut dire ce qui est : meilleur au kung fu !

- Toi, je t’ai dans le nez.
- Je ne pourrais jamais entrer dedans, Bob.

Elle était adorable, à aucun moment elle s’est plainte de sa vie, et pourquoi s’en serait-elle plainte ? Sa mère et moi nous avons toujours tout fait pour elle alors pourquoi son cœur s’est-il remplit de colère ? Et pourquoi devenir aussi méchante et triste ? Nous l’ignorons, franchement tout ça n’est pas de notre faute, nous avons été de bons parents, pourtant elle nous remercie de ce qu’on a fait en se suicidant, sale petite idiote égoïste, elle n’entrera jamais à Princeton.

J’aurai voulu qu’il en soi autrement. Ce qui déconne c’est qu’on a tous… tous des problèmes, des trucs plus ou moins faciles à gérer. Certains jours on va mieux que d’autres, certains jours on va moins bien, certains jours on accorde un espace limité aux autres.

On a tous besoin de quelque chose pour nous distraire, ne serait-ce qu’un moment de complicité, et de la réalité, personne ne veut savoir d’où sa provient, personne ne veut penser à la lutte qu’il faut mener pour devenir une personne à part entière pour sortir de cette mer de douleur dont on doit tous sortir.

Les lapins ne font pas des loutres.

Jessica look at me ? Regarde moi, ah oui t’es française. Jessica regarde moi ? Souris ?… Non ne souris pas.

Avec Jeff Tuche, personne ne reste sur la tuche !

Tu sais Driss j’ai beaucoup prié pour toi, mais que Dieu me pardonne j’ai d’autres enfants.