Top - Citations de films de l'année 2011

- C’était ça ton mode camouflage ?
- Oui bon c’est vrai que c’est peut-être pas mon meilleur mode.

Elle tendait une main que je ne savais comment saisir, j’en brisait donc les doigts avec mon silence.

Je te haïssais. Peut-être parce que tu es le seul qui arrivait à passer par-dessus ma barrière et à voir que j’étais un peu brisé. Le seul à voir que quelqu’un m’avait fait du mal et que je souffrais en silence. Le seul à voir qu’au fond, ma vie n’était pas aussi parfaite que comme j’essayais de la faire paraître. Je crois que tu l’as deviné parce qu’on est un peu pareil. On se fait fort mais au fond on est brisé. On laisse les gens voir tout sauf la vision qu’on a de nous mêmes. Et je sais que tu ne le sait pas mais je t’aime. Je t’aime William. Et c’est la seule chose que tu n’a jamais vue en moi. L’amour que j’éprouve pour toi. Je crois que je te haïssais parce qu’au fond, je n’arrivais pas à te haïr. Et c’est très illogique ce que je dis. Mais ça l’est autant que mon amour pour toi.

Au XXIe siècle, l’amour est un texto sans réponse.

Qu’y a t’il de pire : faire l’amour sans aimer ou aimer sans faire l’amour ?

J’ai jamais eu les pieds aussi bien coiffés !

- Ça va Patrick Juvet tu veux un café ? Attends fait voir… [Il le sort de force de sa voiture]
- …
- Regarde la c’est écrit quoi ? Plus fort j’entends pas ?
- Interdit de stationner…
- Tu vois maintenant t’imprime, t’imprime et tu dégages !

Ça veut dire que tu rentre à la maison. Va retrouver ta famille. Va retrouver une vie normale. L’amour. La liberté. Il faut que tu vives pour nous toutes. Tu es la plus forte. Tu es la seule qui as une chance de s’en sortir. Rentre chez toi et vis, c’est comme cela qu’on gagne. Ce n’est pas mon histoire ; c’est la tienne. Taches de ne pas la rater.

Travaillons vite, travaillons en unité soldat et nous vaincrons.

Allez-y.

Dans mon lit ce soir là j’ai inventé un écoulement spécial qui serait sous tous les oreillers de New-York et aboutirait au réservoir. Chaque fois que quelqu’un pleurerait en s’endormant, les larmes iraient toutes au même endroit et le lendemain matin la météo pourrait annoncer si le niveau du Réservoir des Larmes avait monté ou baissé, on saurait si New-York porte ou non des semelles de plomb.

Life is only on earth and not for long.

À toute personne qui recevra ce message. Nous ne souhaitons pas que ça se termine comme ça. Nous voulions vivre, mais il n’y a pas d’amour dans ce monde. Ce monde est en train de mourir, ce monde ne nous mérite pas. C’est pour ça, que nous devons partir. Notre histoire est déjà tracée. Nous partons, et vous restez. Vous êtes en train de vous tuer à petit feu sans même vous en rendre compte. C’est vous, la suicide room.

Que feriez vous aujourd’hui si vous saviez que vous n’échoueriez pas ? Alors sortez et faites le.

On a tous des bagages à porter, des problèmes à gérer, c’est comme ça. On les ramène chez soi le soir, on les porte au boulot le matin. Je crois que cette impuissance, cette prise de conscience, cette sensation d’être en train de dériver sur l’océan sans avoir de bouée ni de gilet de sécurité, alors qu’on pensait être celui qui lancerai la bouée.

Vous voulez bien me parler ? Quand vous me regardez j’ai l’impression que vous me voyez vraiment. Vous avez raison quand vous disiez qu’on est pris dedans, que l’on peut juste constater qu’il n’y a rien à faire. De toute façon c’est foutu mais ce n’est pas suffisant, je ne tiendrai pas longtemps.

Comment se fait-il que ce soit au moment où votre existence dépasse vos rêves les plus fous qu’on vous enfonce un couteau dans le dos ?

Est-ce que tu sais que le petit et le gros intestin font plus de six mètres de long ? Je l’ignorais, c’est impossible ! Je dois voir ça de mes propres yeux. Je suis… sceptique ; encore un joli mot. Et tu sais quoi ? Je parie que toi aussi tu es curieux de savoir. Oh t’en fais pas, le matériel est stérilisé. On te garde vivant pendant toute l’opération.

Quel genre de mec à part un drogué ou un alcoolique se trimbale une dégaine pareille ? Un écrivain, bien sur.

Bon dieu, qu’est ce que c’est que cette génération de mec qui braillent partout qu’on leur a coupé les couilles, hein ? On est des vraies femmes, et on veut des vrais hommes, pas des couilles molles.