Kaakook

Top - Citations de films de l'année 2011

Lui et moi nous étions contemplé mutuellement, fixant ce sans quoi nous étions incapables de vivre : l’autre…

#321 5.83 (2 votes)

Pour une humaine, je crois qu’il n’existe rien de plus délicieux.

#322 5.83 (2 votes)

Si ça n’avait pas été lui, là dehors, si je n’avais pas senti jusque dans la moindre fibre de mon corps qu’il m’aimait autant que je l’aimais, de façon inconditionnelle, irrévocable et, pour être honnête, irrationnelle, je n’aurais jamais été capable de me relever.

#323 5.83 (2 votes)

Can I talk to you? I won’t keep you long. I have to go somewhere and I don’t think I can come back. But I just wanted you to know. Getting to be around you and Benicio was the best thing that ever happened to me.

#324
5.83 (2 votes)

Mais quand on s’aime vraiment on en a rien à foutre des autres ! La seule chose qui compte c’est d’être près de celui qu’on aime. On veut juste le toucher, le caresser, on le regarde jusqu’à s’en crever les yeux voilà c’est ça… On est mal dès qu’on s’éloigne, on ne respire plus quand on se dispute… On a envie de mourir parce qu’on croit que c’est fini… Et de pleurer de joie parce qu’on se retrouve… Aimer c’est ça, et ça a rien à voir avec le temps, parce qu’un amour comme ça, ça dure toute la vie… Et vous deux, vous êtes pas amoureux, vous êtes pas ensemble, vous êtes côte à côte, et c’est triste.

#325
5.83 (2 votes)

This is the life I have done inside my head. Was it my life? No it never was.

#326
5.71 (4 votes)

J’aime ton nez droit, et ta bouche cerise.

#327
5.71 (11 votes)

C’est alors que j’ai pris une décision qui allait bouleverser mon existence : ne plus ajouter de radis à ma soupe… et t’élever comme mon propre fils !

#328
5.71 (4 votes)

Loup : Ou tu me sers du riz bien cuit ou je te croque tout cru !
Grue : Po fait quelque chose !
Po : Ouais et comment je peux l’aider à faire cuire du riz sans me faire griller ?

#329
5.71 (4 votes)

Elle tendait une main que je ne savais comment saisir, j’en brisait donc les doigts avec mon silence.

#330
5.71 (4 votes)

- Je suis née en voyage, on m’a trouvé dans le train Baltimo-Oayo, enveloppée dans un journal, j’avais 3 jours, j’ai grandi dans des familles d’accueil, je me suis inventée des parents imaginaires. Quand j’avais 5 ans pendant une année entière, j’ai prétendu que j’avais pour mère une jument appaloosa, c’est vrai j’étais sûre que j’étais une pouliche et que… et qu’en réalité je rêvais que j’étais une fille, et qu’un matin je me réveillerais, j’partirais au galop. Ce qui est sûr, c’est que les écuries étaient moins dangereuses pour moi que les maisons, je m’y sentais mieux. Et un jour, le cirque a débarqué, avec ses six superbes frissons noirs, des pompons rouges dans leur crinières ébènes, tellement beaux, et auguste était devant et dès qu’il a posé sont regard sur moi, j’ai su que je ne vivrais plus avec des étrangers, et alors on s’est mariés, et où je me retrouve ? À vivre dans un train, c’est le seul foyer que je n’ai jamais eu. Et aujourd’hui, je suis une étoile de cirque, d’ailleurs je ne suis rien, je suis n’importe qui.
- Tu es belle Marlène, tu aurais mérité d’avoir une belle vie. C’est tout ce que j’ai à dire.
- Où était tu quand j’avais 17 ans ?

#331
5.71 (4 votes)

Je te haïssais. Peut-être parce que tu es le seul qui arrivait à passer par-dessus ma barrière et à voir que j’étais un peu brisé. Le seul à voir que quelqu’un m’avait fait du mal et que je souffrais en silence. Le seul à voir qu’au fond, ma vie n’était pas aussi parfaite que comme j’essayais de la faire paraître. Je crois que tu l’as deviné parce qu’on est un peu pareil. On se fait fort mais au fond on est brisé. On laisse les gens voir tout sauf la vision qu’on a de nous mêmes. Et je sais que tu ne le sait pas mais je t’aime. Je t’aime William. Et c’est la seule chose que tu n’a jamais vue en moi. L’amour que j’éprouve pour toi. Je crois que je te haïssais parce qu’au fond, je n’arrivais pas à te haïr. Et c’est très illogique ce que je dis. Mais ça l’est autant que mon amour pour toi.

#332
5.71 (11 votes)

Les religieuses nous ont appris qu’il y avait deux chemins pour traverser la vie, le chemin de la nature, et le chemin de la grâce. On doit choisir lequel suivre. La grâce ne cherche pas sa satisfaction elle accepte d’être ignorée, oubliée, rejetée, elle accepte les insultes et les coups. La nature elle ne pense qu’à sa satisfaction et à convaincre les autres d’y œuvrer aussi, elle aime les traiter avec arrogance, imposer sa volonté. Elle trouve des raisons d’être malheureuse quand le monde rayonne tout autour et que l’amour sourit à travers toute chose. Les religieuses nous ont appris qu’aucun de ceux qui suivent la grâce ne connaîtrait jamais le malheur.

#333
5.71 (4 votes)

Au XXIe siècle, l’amour est un texto sans réponse.

#334
5.71 (4 votes)

Qu’y a t’il de pire : faire l’amour sans aimer ou aimer sans faire l’amour ?

#335
5.71 (4 votes)

J’ai jamais eu les pieds aussi bien coiffés !

#336
5.71 (4 votes)

- Ça va Patrick Juvet tu veux un café ? Attends fait voir… [Il le sort de force de sa voiture]
- …
- Regarde la c’est écrit quoi ? Plus fort j’entends pas ?
- Interdit de stationner…
- Tu vois maintenant t’imprime, t’imprime et tu dégages !

#337
5.71 (4 votes)

Ça veut dire que tu rentre à la maison. Va retrouver ta famille. Va retrouver une vie normale. L’amour. La liberté. Il faut que tu vives pour nous toutes. Tu es la plus forte. Tu es la seule qui as une chance de s’en sortir. Rentre chez toi et vis, c’est comme cela qu’on gagne. Ce n’est pas mon histoire ; c’est la tienne. Taches de ne pas la rater.

#338
5.63 (6 votes)

Travaillons vite, travaillons en unité soldat et nous vaincrons.

#339
5.45 (1 vote)

Et ceux là, ils sont crétins ?!

#340
5.45 (1 vote)

Haut de page