Top - Citations de films de l'année 2011

Homme sans ennemis, homme sans valeur.

Croire en ses rêves est une chose primordiale. Ne plus y croire est un désespoirs !

- J’ai besoin d’un rasoir.
- Un rasoir ? Vraiment ?

Bah mon vieux ! Ça sent pas des pieds, hein !

Elle était géniale… par exemple elle votait à gauche. Et puis elle avait des lubies, elle détestait les filles en tongs.

Le bonheur n’existe pas, l’amour est impossible, rien n’est grave.

- Un Mississippi… deux Mississippi…
- Et l’inondation, espèce de cabot ?
- Tu sais comment on noie une blonde, Rosalie ? En collant un miroir au fond d’une piscine.

- Pourquoi n’es-tu pas avec ton mari ? T’aurait-il déshonorée ?
- Est-ce que ce n’est pas le but d’une nuit de noce ?

- C’était la première fois qu’on a… volé, ensemble.
- Ouais, et depuis tu as volé avec tout ce qui grimpe dans un avion…

- Quoi ?
- Toi « quoi » ?
- … Ben moi aussi.
- « Toi aussi » quoi ?
- Je t’aime !

- Shen ! Un Panda se dresse entre toi et la Chine !
- … Qu’est-ce qu’il a dit ?

Elle m’a poussée dans mes retranchements, m’a fait dépasser toutes mes limites, m’a confrontée à l’absolu : de l’amour, du sacrifice, de la tendresse, de l’abandon. Elle m’a disloquée, transformée. Pourquoi personne ne m’a rien dit ? Pourquoi on n’en parle pas ?

- Je crois que… je ne suis pas faite pour le couple.
- Ahah non mais je ne t’ai pas élevée comme ça ! Mais qu’est-ce que tu racontes ? Personne n’est fait pour le couple ma pauvre. Ça s’apprend le couple ! Si on était fait pour vivre à deux ça se saurait. Puis c’est pas en baissant les bras au premier obstacle que tu vas y arriver…

- Il faut que ton cœur batte !
- Non, il est en train de suffoquer !

Les hommes sont des femmes heureuses.

Les gardiens du temps vivent aux jour le jour.

- Je n’ai pas le choix…
- Bien sur que si tu as le choix… On a tous le choix…

Ce secret était un trou au milieu de moi dans lequel tombaient toutes les choses heureuses.

Parfois j’entends mes os se tendre à craquer sous le poids de toutes les vies que je ne vis pas.

Sometimes I can hear my bones straining under the weight of all the lives I’m not living.