Kaakook

Acteur / Actrice - Leonardo DiCaprio

Leonardo DiCaprio joue dans :


Répliques de Leonardo DiCaprio (124)

Gentleman, you had my curiosity, now you have my attention.

7.59 (19 votes)

Vieux frère.

7.59 (19 votes)

Rose, qu’est-ce qui t’a fait comprendre que j’étais innocent ?

7.5 (14 votes)

- Jack c’est un travail délicat.
- Oh ce n’est pas ce qu’on en pensait à Paris.
- À Paris ? Vous voyagez beaucoup, pour un pauvre… Heu, enfin une personne au moyens limités.
- Oh un garçon pauvre vous pouvez le dire !

7.5 (18 votes)

Make each day count.

7.37 (9 votes)

Avez-vous envie d’aller dans une vraie fête ?

7.08 (14 votes)

Je savais qu’un homme comme moi faisait une grave erreur en tombant amoureux.

6.88 (6 votes)

You’re growing up. And rain sort of remains on the branches of a tree that will someday rule the Earth. And it’s good that there is rain. It clears the month of your sorry rainbow expressions, and it clears the streets of the silent armies… so we can dance.


- Monsieur Candie… [Il range ses lunettes dans sa veste]. Normalement je vous dirais « auf wiedersehen », mais attendu que « auf wiedersehen » signifie « jusqu’à l’au revoir » et attendu que je ne désire nullement vous revoir, je me contenterais de vous dire : adieu. [Il s’en retourne vers Django et son épouse pour repartir quand…]
- Un dernier instant, Docteur !
- Quoi ?
- [Il se lève] C’est la coutume, ici dans le Sud, une fois qu’un accord est conclu, que les deux partis… se serrent la main. [Il ricane] C’est un gage de bonne foi…
- Oh, je ne suis pas du Sud.
- Mais vous êtes sous MON toit, Docteur… Je crains de devoir insister.
- D’insister ? Mais à quel sujet ? Que je vous serre la main ? En ce cas je me dois d’insister lourdement en sens inverse.
- [Piqué au vif] Savez-vous ce que je pense de vous ?
- Quoi, ce que vous pensez de moi ? Ça non, je n’en sais rien.
- Je pense que vous êtes un mauvais perdant…
- [Froidement] Et moi je pense que vous êtes un abominable vainqueur.
- [Tout aussi froidement] Il n’en reste pas moins, qu’ici dans le comté de Shicasso, qu’un accord ne vaut rien tant que les deux partis ne se sont pas serrés la main… Toutes ces signatures de papelard ne signifient que dalle… Si VOUS ne ME serrez pas la main !
- [Imitant la mimique de Candie] Alors… Si JE ne VOUS serre pas la main… Vous allez sacrifier 12 000 dollars ? Cela m’étonnerait fort.
- Monsieur Putch [son bourreau], si elle essaye de sortir avant que ce lèche-nègre d’allemand ne me serre la main… trucidez-la…
[L’homme de main pointe son fusil vers Bromehilda, Django s’interpose calmement avant d’échanger un regard avec le Docteur. Celui-ci se retourne lentement vers Candie.]
- [Sur un ton faussement léger] Vous tenez absolument à ce que je vous serre la main ?
- [Frétillant d’une fausse joie tout en lui tendant la main] J’insiste !
- [En haussant des épaules] Ohoh, si vous insistez…
[Il s’avance et sort son pistolet de poignet miniature avant de lui tirer en plein cœur. Candie titube et tombe, raide mort.]
[Parlant à Django pendant que Putch pointe son fusil vers le Docteur] Je suis désolé. Je n’ai pas pu résister…

6.67 (11 votes)

Ça fait tout drôle d’être pris sous l’aile d’un dragon. C’est plus chaud qu’on ne le pense.

6.67 (5 votes)

Ma vie, il faut qu’elle soit toujours ainsi, qu’elle aille toujours plus haut.

6.67 (5 votes)

- Je sais ce que vous avez pensé : « pauvre petite fille riche, que peut-elle savoir du malheur ? »
- Non, non ce n’est pas ce que j’ai pensé. Je me suis demandé : « Qu’est ce qu’il y a bien pu arriver à cette jeune fille pour qu’elle n’ait plus aucun espoir ? »
- Et bien rien ne va plus ! Le monde dans lequel je vis, et l’inertie de mon existence… qui se dérobe sous mes pas… sans que je ne puisse l’en empêcher.
- Mon dieu ! Vous auriez coulé droit au fond de l’eau !
- Toute la bonne société de Philadelphie sera là. Et vous savez ce que je ressens moi ? J’ai l’impression d’être dans une pièce remplie de monde et j’ai beau crier comme une folle, il n’y a personne qui se soucie de moi !
- Vous l’aimez ?
- Je vous demande pardon ?
- Est-ce que vous l’aimez ?
- Vous êtes bien impoli ! Vous n’avez pas à me demander ça !
- Mais c’est une simple question. Vous aimez ce type oui ou non ?
- Jack. Monsieur Dawson. Je voulais vous remercier et j’estime l’avoir fait !
- Vous m’avez insulté aussi.
- Mais… Vous l’avez mérité !
- C’est vrai ! Je pensais que vous deviez partir ?
- Mais… C’est ce que je fais, vous êtes si agaçant ! Mais voyons, ce n’est pas à moi de partir, c’est ma partie du paquebot ! C’est à vous de partir !
- Oh, oh, oh… Et bien et bien et bien… qui est-ce qui est impoli ?
- [Soupir] Qu’est-ce que c’est que cette chose que vous trimbalez toujours avec vous ? Vous êtes quoi ? Un artiste peut être ? Oh… Ils ont l’air bons… Ils ont l’air… très bon à vrai dire… Jack… c’est un travail délicat.
- Oh… C’est pas ce qu’on en pensait à Paris.
- À Paris ? Vous voyagez beaucoup pour un pauvr… enfin je veux dire une personne aux moyens limités.
- Vous pouvez le dire. Un garçon pauvre !
- Ils ont été fait d’après de vrais modèles ?
- C’est ça qui est bien, à Paris il y a un tas de fille qui se déshabillent facilement. Oh regardez cette femme. Vous voyez ? Elle avait de belles mains.
- Je crois que vous avez dû avoir une aventure avec elle !
- Oh non, non, non ! Juste avec ses mains… C’était une prostituée unijambiste. Regardez !
- Oh ! Oh…
- Et regardez cette femme. Elle s’asseyait tous les soirs à la même table, et elle portait tous les bijoux qu’elle possédait. Pour attendre son amour perdu depuis longtemps. On l’appelait madame bijoux. Regardez ses vêtements troués par les mites.
- Et bien… vous savez voir les gens Jack.
- Je vous vois vous.
- Et ?
- Vous n’auriez jamais sauté.

6.43 (4 votes)

Je crois que tu t’as pas compris. J’ai dit que tu me plaisais !

6.15 (3 votes)

- Est-ce que tout cela provient bien de ton imagination ?
- Non, tu étais présente à chaque instant… Dans la moindre idée, la moindre décision, et, bien-sûr, s’il y a quoi que ce soit qui ne soit pas à ton goût, je le changerai.
- Tout est parfait. Parce que né de ton imagination irrésistible de perfection.

6.15 (3 votes)

Il me faut partir et vivre ou rester et mourir.

6.15 (3 votes)

Je préfère mourir de leur haine que de ne pas être aimé de toi.

6.15 (3 votes)

I ain’t afraid to die anymore. I’ve done it already.

6 (5 votes)

Jay Gatsby : Qu’est-ce qu’il y a ma chérie ? Qu’est-ce qu’il y a ?
Daisy Buchanan : C’est que tout ça me rend triste.
Jay Gatsby : Pourquoi ?
Daisy Buchanan : Parce que…
Nick Carraway : [Narration] Cinq années perdues se démenèrent sur les lèvres de Daisy, et cependant, elle ne pu en tirer…
Daisy Buchanan : Parce que je n’ai jamais vu de chemises aussi magnifiques…

6 (5 votes)

- Welcome home, Mister Cobb !
- Thank you sir…

5.83 (2 votes)

Et voilà, pour mon premier jour, Wall Street m’avait avalé et chié dans la foulée.

5.83 (2 votes)

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