Série - Vampire Diaries

- Je ne me suis pas présenté : Mason Lockwood.
- Damon.
- Je sais, j’ai entendu que du bien sur toi.
- Vraiment ? C’est bizarre. Parce que j’suis un p’tit con.

- Ça fait du bien d’être de retour chez soi, je crois que je vais peut-être rester. Ça ferait pas de mal un peu d’animation dans cette ville.
- Qu’est-ce que tu cherches exactement, Damon ?
- Ah ça je le sais, mais toi t’angoisses.

- Je suis impressionné ! Je te file 6 sur 10. Ça manque un peu de classe mais c’était bluffant, là tu m’as étonné. Et cool là ta grimace. Génial, trop rigolo !!
- Bien sur tout ça n’est qu’un petit jeu marrant. Mais y a pourtant des morts partout ou tu vas.
- Bah oui, c’est le jeu !
- Pas ici, ça je te l’interdit.
- Comment résister à une telle invitation.

Le problème, Damon. Tu as une bonne initiative mais tu n’y connais rien. Elle ne te pardonnera jamais. Et jamais pour un vampire, c’est une éternité.
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Tu pensais qu’on trouverait quoi ? Isobel en chaussons avec un cigare ?

Vous savez, je commence à bien aimer ce genre de ménage à trois, j’en deviens accro. Ne gâchez pas tout !

- Il y a des lanternes flottantes dans le ciel. T’y crois ? La lanterne japonaise symbolise le passé qu’on oublie. Voici un scoop, on est pas Japonais. Tu sais ce qu’ils sont ? Des enfants. Comme la lueur d’une bougie qui fera que tout ira bien. Ou même prier, ou prétendre qu’Elena ne va pas finir exactement comme nous autres, les vampires meurtriers. Stupide, exaspérant petit enfant. Je sais ce que tu vas dire. Ça les fait de sentir mieux Damon. Alors quoi ? Pour combien de temps ? Une minute ? Une journée ? Ça fait quelle différence ? Parce qu’à la fin, quand tu perds quelqu’un, chaque bougie, chaque prière ça ne rattrapera pas le fait que la seule chose qu’il te reste est un manque dans ta vie quand cette personne à qui tu tenais, disparaît. Et un rocher avec un anniversaire gravé dedans, je suis sur que c’est mal. Alors merci. Merci de m’avoir laissé ici faire du baby-sitting. Parce que je devrais être loin maintenant. Je n’ai pas eu la fille. Tu te souviens ? Je suis coincé ici à me battre avec mon frère et à m’occuper des enfants. Tu m’en dois une.
- Tu me manques aussi.

- Tu n’aurais pas dû partir une nouvelle fois.
- Tu rigoles, hein ? C’est la seconde fois que j’essaie de te tuer.
- Disons, aucune amitié n’est parfaite.

Tu me déteste parce que tu l’aimais, et ça frérot, c’est ton humanité.

I love you Elena and it’s because I love that I can’t be selfish with you.

Parlons de ce petit truc de sorcellerie de débutant que tu m’as fait. Tu sais, le truc rigolo où mon cerveau était en feu ?

Vas-y Stefan, torture moi, garde moi prisonnière ou réduis moi en poussière, ça ne changera pas la vérité. Je ne t’ai jamais forcée à m’aimer. C’était réel, et ça l’était pour moi aussi.

Je crois en « tuer le messager ». Tu sais pourquoi ? Parce que ça envoie un message.

Une partie de moi aimerait pouvoir oublier aussi, oublier de t’avoir rencontré, que j’ai découvert ce que tu étais, et tout ce qu’il s’est passé depuis. Oui, c’est ce que je veux, parce que, je ne veux pas que ça soit comme ça. Je ne veux pas avoir ces sentiments. Mais je ne peux pas, avec tout ce qui est arrivé, je ne peux pas perdre ce que je ressens pour toi.

Katherine, oh Katherine tu sais il y a d’autres chambres dans le manoir… Va t’en trouver une !

- [En parlant de Damon] Il est sexy !
- [Sachant que Damon entend] C’est un idiot.

Je suis là pour manger de la barbe à papa et te voler ta copine.

- Si les mecs sont pas des vampires, alors ils sont quoi ?
- Oh je sais, peut-être que ce sont des tortues ninjas.

- Ce soir, on tue Katerine.
- Tu ne la tueras pas.
- Eh oh, le modèle de vertu, tu la ferme !
- C’est moi qui le ferai.

- Mon frère veut me tuer.
- Bienvenue au club.