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Les citations cruelles.

Ta mère suce des bites en enfer !

8.87 (114 votes)

- ça fait vraiment du bien de chier un coup ! Vous croyez en Dieu ? il faut pas se demander si on croit en Dieu mais si Dieu croit en nous.
J’avais un ami qui s’appelait Gonvalski, on était déportés ensemble en Sibérie, quand on va en Sibérie dans les camps de travail, on voyage dans le train à bestiaux qui traverse la steppe glacée pendant 2 journées entières sans croiser personne, on se tient chaud ensemble mais le problème c’est qu’il faut se soulager, faut chier, c’est pas possible dans le wagon, le seul moment où l’on s’arrêtait c’était pour mettre de l’eau dans la locomotive mais Gonvalski était très prude même quand nous devions nous laver ensemble il était très gêné. Et moi je me moquais souvent de lui à cause de ça.
Donc le train s’arrête et tout le monde en profite pour aller chier en dehors du wagon et moi j’ai tellement embêté Gonvalski avec ça, il préférait aller un peu plus loin. Donc le train repart et tout le monde saute dedans car le train il n’attend pas.
Le problème c’est que Gonvalski s’était éloigné derrière un buisson il n’avait pas fini de chier, donc je le vois il sort de derrière un buisson en tenant son pantalon dans sa main pour ne pas qu’il tombe, il essayait d’attraper le train. Je lui tends la main mais chaque fois quand il me tend la sienne il lâche son pantalon qui tombe sur ses chevilles. Il remonte son pantalon, il reprend sa course. Et chaque fois son pantalon il tombe quand il me tend la main.
- Et alors après qu’est-ce qui s’est passé ?
- Rien, Gonvalski est mort de froid.

8.87 (52 votes)

T’es comme le « c cédille » de surf… t’existes pas !

8.84 (291 votes)

Quand un homme à eu la chance de gouter au foie gras, ça me surprend toujours qu’il puisse se contenter de pâté pour chat.

8.84 (128 votes)

Tu es comme une drogue pour moi, c’est comme si tu étais ma propre marque d’héroïne.


Ce n’est pas personnel, c’est uniquement les affaires.

8.8 (181 votes)

Ne mieux vaut-il pas inspirer la crainte que l’amour ?

8.73 (203 votes)

- Elle allait te quitter Pan, ta précieuse Wendy. Elle te quittait. D’ailleurs pourquoi resterait-elle ? Qu’as-tu à lui offrir ? Tu n’es qu’une esquisse. Elle préfère grandir que de rester près de toi… Jetons un regard furtif dans le futur, que vois-je ? Est ce la ravissante Wendy ? Elle est dans la chambre des enfants, la fenêtre est fermée.
- Je vais l’ouvrir.
- Mais à la fenêtre il y a des ba… rreaux.
- Je l’appellerai en hurlant.
- Elle ne t’entend pas.
- Non.
- Elle ne te voit pas.
- Wendy !
- Elle a oubliée jusqu’à ton existence.
- Arrête s’il te plaît. Tais toi !
- Qu’est ce donc que j’aperçois ? Il y en a un autre à ta place, et cet autre ça s’appelle un mari !

8.72 (131 votes)

Je meurs à l’instant si un jour j’te reparle.

8.64 (56 votes)

Ce fut tout un mariage, et alors que j’étais là en spectatrice, il m’est revenu en tête quelque chose que j’avais oublié depuis très longtemps. Parfois dans la vie, il se forme un lien indestructible entre deux personnes et parfois vous finissez par rencontrer cette personne sur qui vous pouvez comptez quoi qu’il arrive. Il peut s’agir d’un être avec qui vous vous unirez lors d’un mariage de rêve, mais il se peut aussi que la personne sur qui vous pourrez comptez pendant toute votre vie, la seule qui vous connaisse vraiment, peut-être encore plus que vous même, soit la même personne qui est a vos côtés depuis le tout début.

8.61 (235 votes)

Notre peur la plus profonde n’est pas d’être inapte, notre peur la plus profonde est d’avoir un pouvoir extrêmement puissant. C’est notre propre lumière et non notre noirceur qui nous effraie le plus. Nous déprécier ne servira jamais le monde et ce n’est pas une attitude éclairé de se faire plus petit qu’on est en espérant rassurer les gens qui nous entourent. Nous sommes tous conçus pour briller comme les enfants. Cette gloire n’est pas dans quelque uns elle est en nous et si nous laissons notre lumière briller nous donnons inconsciemment aux autres la permission que leurs lumières brillent. Si nous sommes libérés de notre propre peur notre présence suffit alors à libérer les autres.

8.6 (233 votes)

Je suis venu chercher une tête…

8.57 (32 votes)

Tu prends la pilule bleue, l’histoire s’arrête là, tu te réveilles dans ton lit, et tu crois ce que tu veux. Tu prends la pilule rouge, tu restes au Pays des Merveilles et je te montre jusqu’où va le terrier.

8.57 (81 votes)

Les excuses c’est comme les trous de cul, tout le monde en a !

8.52 (71 votes)

On ne devient plus fort qu’en affrontant un adversaire plus fort.

8.33 (44 votes)

- Vas-y, enferme moi.
- On enferme les hommes, mais on pique les chiens !

8.28 (48 votes)

Entre mes amis et toi je choisirais toujours mes amis ! Entiendes ?

8.21 (57 votes)

On vit… comme des cons. On mange, on dort, on baise, on sort. Encore et encore. Et encore… chaque jour est l’inconsciente répétition du précédent : on mange autre chose, on dort mieux, ou moins bien, on baise quelqu’un d’autre, on sort ailleurs. Mais c’est pareil, sans but, sans intérêt. On continue, on se fixe des objectifs factices. Pouvoir. Fric. Gosses. On se défonce à les réaliser. Soit on ne les réalise jamais et on est frustré pour l’éternité, soit on y parvient et on se rend compte qu’on s’en fout. Et puis on crève. Et la boucle est bouclée. Quand on se rend compte de ça, on a singulièrement envie de boucler la boucle immédiatement, pour ne pas lutter en vain, pour déjouer la fatalité, pour sortir du piège. Mais on a peur. De l’inconnu. Du pire. Et puis qu’on le veuille ou non, on attend toujours quelque chose. Sinon, on presserait sur la détente, on avalerait la plaquette de médocs, on appuierait sur la lame de rasoir jusqu’à ce que le sang gicle…

8.21 (29 votes)

Mieux vaut vous que moi…

8.19 (84 votes)

Je ne suis pas une pute qui vole, je suis M. Montana Tony prisonnier politique renvoyé par cuba et j’exige mon putain d’asile politique maintenant.

8.11 (154 votes)

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