Kaakook

Tag - cruelle

Les citations cruelles.

Mets moi un flingue sur la tempe et décore les murs avec ma cervelle.

9.14 (441 votes)

La capote c’est le soulier de verre de notre génération, on l’enfile quand on rencontre une inconnue, on « danse » toute la nuit, et puis on la balance… la capote j’veux dire, pas l’inconnue.

9.13 (531 votes)

- T’sais quoi ? On va jouer à un jeu. Ça s’appelle « répète après moi ». Tu répètes après moi.
- Ok.
- J’ai un prénom de fille. [il s’appelle Andréa]
- J’ai un prénom de fille
- Je sais pas comment m’y prendre avec les filles, à part les attacher au radiateur.
- Je sais pas comment m’y prendre avec les filles, à part les attacher au radiateur.
- Pourquoi ?
- Pourquoi ?
- J’ai envie de baiser avec toi !
- J’ai envie de baiser avec toi.
- C’est vrai ça ?
- C’est vrai ça.
- Ok, on va chez toi ?
- Ok. On va chez toi.
- Non ! T’as pas compris ! On va chez toi. Je t’attends dehors.

9.12 (252 votes)

Messire, messire, un sarrasin dans une charriote du diable ! c’est tout ferré y’a point d’bœuf pour tirer !

9.12 (367 votes)

J’ai le manteaux de la nuit pour me dérober à leurs yeux, mais si tu ne m’aime pas laisse les me trouver ici. Mieux vaut perdre la vie par leur haine que d’attendre la mort sans être aimé de toi.

9.1 (313 votes)

Écoute Bernard… J’crois que toi et moi, on a un peu le même problème ; c’est qu’on peut pas vraiment tout miser sur notre physique, surtout toi. Alors si je peux me permettre de te donner un conseil, c’est oublie qu’t’as aucune chance, vas-y, fonce ! On sait jamais, sur un malentendu ça peut marcher…

9.1 (705 votes)

Dans l’éventail des amours possibles, il y en est un de la pire espèce. Sa cruauté est telle qu’il tue ses victimes. On l’appelle l’amour non partagé. Celui là je le connais, je suis experte en la matière. Dans la plupart des histoires d’amour, les sentiments sont réciproques, et dans les autres ? Et nous alors ? Les laissées pour compte ? Nous qui aimons sans retour, tout seul, dans notre coin ? Nous sommes les victimes de l’amour à sens unique, les oubliés dans la distribution du bonheur. Nous sommes les mal-aimés, les bancales, les handicapés du cœur, et ça ne nous donne même pas le droit à des places réservées au parking.

9.08 (426 votes)

C’est plus facile de tomber dans la drogue que d’affronter la vie, plus facile de piquer ce que vous avez envie que d’essayer de le gagner, plus facile de battre un enfant que de l’élever. L’amour par contre, ça demande des efforts, du courage.


La première règle du Fight Club est : il est interdit de parler du Fight Club.
La seconde règle du Fight Club est : il est interdit de parler du Fight Club.
Troisième règle du Fight Club : quelqu’un crie stop, quelqu’un s’écroule ou n’en peut plus, le combat est terminé.
Quatrième règle : seulement deux hommes par combat.
Cinquième règle : un seul combat à la fois, messieurs.
Sixième règle : pas de chemises, ni de chaussures.
Septième règle : les combats continueront aussi longtemps que nécessaire.
Et huitième et dernière règle : si c’est votre première soirée au Fight Club, vous devez vous battre !

9.05 (601 votes)

On est les enfants oubliés de l’histoire mes amis. On n’a pas de but ni de vraie place. On n’a pas de grande guerre, pas de grande dépression. Notre grande guerre est spirituelle, notre grande dépression c’est nos vies.

9.05 (674 votes)

On est une génération d’hommes élevés par des femmes, je suis pas sur qu’une autre femme soit la solution à nos problèmes.

9.04 (513 votes)

- Ça fait des années que j’attends de t’en parler.
- Me parler de quoi ?
- De moi.
- De toi ! Mais t’as jamais parlé d’autre chose que de toi !
- Bon ben alors disons de mon cœur. [il lui prend la main] Sophie je suis amoureux.
- T’es amoureux ? Comme ça ?
- Non pas comme ça non. Ça fait des années… des années de silence. Je voudrais me marier. D’accord ?
- Tu me demandes quoi là ? Si je suis cap ? Tu te souviens je t’avais demandé de dire non si tu te mariais t’avais dis cap.
- Et aujourd’hui tu dis quoi ?
- Tu veux vraiment te marier ?
- Mais j’ai besoin de toi pour ça.
- Ça c’est sur, se marier ça se fait pas tout seul !
- [Il lui donne les alliances] Je te les confies et tu les gardes jusqu’au jour de la cérémonie.
- Écoute c’est…
- D’accord ?
- Oui.
- [Il se lève] Elle est d’accord [Tous les gens du restaurant applaudissent]. Tu va être le témoin à mon mariage. Merci Sophie.

9.02 (692 votes)

Une bonne action trouve toujours sa punition.

9.02 (72 votes)

J’avais trouvé la liberté. Perdre tout espoir, c’était ça la liberté.

8.96 (460 votes)

Tuer, c’est faire un choix.

8.92 (212 votes)

Quand tes parents te disent que c’est bien, c’est que c’est de la merde.

8.92 (184 votes)

- Ça veut dire quoi ça un livre sur le rapport entre les femmes et les animaux ?
- Ça veut dire exactement ce que ça veut dire ! C’est un livre qui parle du raport qui peut exister entre un animal d’une part et une femme d’aut’ part.
- C’est pas des photos à caractère sexuel au moins ?
- Écoutes ma fille, si ça t’intéresse, t’as mon numéro qu’est là, si ça t’intéresse pas au revoir Monsieur bon weekend… qu’est ce que tu veux que j‘te dise moi ?
- Enfin y’a moyen que… ?
- Y a moyen de tout, tout est négociable je dis ; n’a pas pas un plan tarifaire avec les prix hein euh… Est-ce-que t’es épilée, pas épilée, est-ce-que t’as des copines, pas d’copines, en tout cas y t’ont pas loupée, j’sais pas si c’est un ch’val ou une truie là, t’as vu ta tronche ou quoi ? Peut aussi faire un bouquin sur Halloween s’tu veux hein !

8.89 (207 votes)

Personne me tue tant que j’l’ai pas décidé !

8.89 (116 votes)

Croyez ce qui vous aide à mieux dormir la nuit.

8.89 (386 votes)

- ça fait vraiment du bien de chier un coup ! Vous croyez en Dieu ? il faut pas se demander si on croit en Dieu mais si Dieu croit en nous.
J’avais un ami qui s’appelait Gonvalski, on était déportés ensemble en Sibérie, quand on va en Sibérie dans les camps de travail, on voyage dans le train à bestiaux qui traverse la steppe glacée pendant 2 journées entières sans croiser personne, on se tient chaud ensemble mais le problème c’est qu’il faut se soulager, faut chier, c’est pas possible dans le wagon, le seul moment où l’on s’arrêtait c’était pour mettre de l’eau dans la locomotive mais Gonvalski était très prude même quand nous devions nous laver ensemble il était très gêné. Et moi je me moquais souvent de lui à cause de ça.
Donc le train s’arrête et tout le monde en profite pour aller chier en dehors du wagon et moi j’ai tellement embêté Gonvalski avec ça, il préférait aller un peu plus loin. Donc le train repart et tout le monde saute dedans car le train il n’attend pas.
Le problème c’est que Gonvalski s’était éloigné derrière un buisson il n’avait pas fini de chier, donc je le vois il sort de derrière un buisson en tenant son pantalon dans sa main pour ne pas qu’il tombe, il essayait d’attraper le train. Je lui tends la main mais chaque fois quand il me tend la sienne il lâche son pantalon qui tombe sur ses chevilles. Il remonte son pantalon, il reprend sa course. Et chaque fois son pantalon il tombe quand il me tend la main.
- Et alors après qu’est-ce qui s’est passé ?
- Rien, Gonvalski est mort de froid.

8.89 (53 votes)

Haut de page