Kaakook

Top - Citations de films de l'année 1995

- Vous détruisez toujours tous les véhicules que vous utilisez ?
- Le règlement m’impose cette procédure. Joujou pour voyou…
- Ah. Il faut que je trouve un moyen de transport pour notre escapade à Cuba.
- Notre escapade ?
- Est-ce que vous sauriez désarmer cette arme ?
- Bah… euh… je pense juste que ça dépend de la sorte d’arme que vous voudriez me voir désarmer !
- Alors ? Dites moi… est-ce que ce fameux règlement vous impose d’autres procédures dont vous devriez m’informer, Commandeur ?
- Des milliers… mais je ne parle de tout cela que du bout des lèvres…

#341 5 (0 vote)

Je n’avais pas su vivre ma vie d’homme, je ne savais pas vivre celle d’un chien. Mais je venais de comprendre que la vie doit être aimée, sous toutes ses formes.

#342
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- Je ne bougerai pas d’ici, pas avant qu’on me coffre ou que vous me fassiez vos excuses !
- La loi ne fait pas d’excuses ! Jamais je n’ai fait d’excuses…

#343
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Ça c’est du créneau vieux !

#344
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Si jamais tu te fais remarquer là-bas, je te mets une tronche mon con, ton chapeau de cowboy il aura l’air d’un dé à coudre, bouseux de merde !

#345
5 (0 vote)

Jesus Christ, what happened?

#346
5 (0 vote)

Moi, faire un gosse tu rigoles ?! Y a pas marqué SPA !

#347
5 (2 votes)

This is your life. Right here, right now.

#348
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Ton fric, mais comment tu crois que je vais le sortir maintenant ? Tu crois qu’il va te filer ton putain de blé ? Tu rèves, t’es malade ! Tu te rends compte de ce que t’as fait à ce pauvre mec ? Putain, mais si tu l’avais bouclé, espèce de connasse… oh et puis merde, va chier !

#349
5 (0 vote)

- Dis moi que tu m’aimes.
- Je t’apprécie beaucoup.

#350
5 (0 vote)

L’amour n’existe pas. L’amour est à réinventer.

#351
5 (0 vote)

A friend in need is a friend in deed.

#352
5 (0 vote)

Celui qui ne désire rien est invincible.

#353
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- Verlaine m’a montré quelques uns de vos poèmes.
- Ah oui ?
- Remarquable. Très prometteur. Mais il me semble que toute cette ingénuité est un peu gâtée par… je ne dirais pas exactement un désir puéril de choquer mais… il y a de ça.
- Et vous avez été choqué ?
- Moi ? Non, bien sûr.
- Alors pourquoi supposez-vous que j’ai cherché à le faire ?
- Mais là n’est pas vraiment la question.
- Je crois que si, elle est là justement.
- Je pourrais critiquer votre technique.
- Et moi votre cravate.

#354
5 (0 vote)

Un baron de gueuze pour la trois.

#355
5 (0 vote)

Aaahhh, j’me casse la gueule !!

#356
5 (2 votes)

- Beau-papa dit qu’on y dort comme un loir.
- … Bon, on va bouffer.

#357
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Ce qu’il faut savoir, c’est qu’il y a plusieurs types de toxicomanes. Y a les gosses de riches qui ont toujours assez de pognon pour filer sur la Riviera à chaque fois qu’ils ont passés les bornes et qui crèvent de peur. Les autres junkies les supportent mal, mais c’est des acheteurs. Et leur pognon les rend plus tolérable. Il y a aussi les petits bourgeois, les coincés genre BCBG. Ils appartiennent à la même catégorie. Mais eux, ils ouvrent les yeux de papa et maman à la réalité sociale et à son virus et en plus, ils poussent le gouvernement à agir au lieu de parler. Et y a nous, les gosses des rues. Et on se défonce de plus en plus jeunes, autour de 13 ans. On croit qu’on contrôle la situation, qu’on ne deviendra pas accro. En général on se plante. J’en suis la preuve vivante. Mais en fin de compte, il suffit de se dire que le junkie aussi fait ses huit heures par jours. Sauf qu’elles le conduisent le plus souvent dans les ténèbres.

#358
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Je suis tout seul. Y a pas que moi. On est tous tout seul. A jamais seul. Et qui m’attend au bout de ce tunnel d’éternité ? Au bout de l’avenue avec ces gratte-ciels en guise de papier peint ?

#359
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Je regardais son corps, pour la première fois synonyme de mort. Il avait le visage émacié, ridé, presque simiesque. Pour toute chevelure, quelques touffes grises sur le crâne. Il avait l’air d’avoir 60 ans, il en avait 16. Il était d’une maigreur squelettique, encore plus que lorsqu’il était à l’hôpital. C’était comme si on vous mettait sous le nez le squelette d’un de vos amis. J’étais médusé, comme après un film de quatre heures auquel je n’aurais rien compris. Je n’arrêtais pas de penser à son visage. Et à la mort. Tout ça c’était vraiment de l’arnaque.

#360
5 (0 vote)

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