Top - Citations de films de l'année 1995

Hé les gars, venez voir, venez voir ! C’est le maire ! Hé le maire, nique sa mère au maire, fils de pute, j’baise ta grand-mère.

- Je comprends pas cette histoire de jus de fruit…
- Usufruit…

- Tu n’es qu’un jouet. Tu n’es pas le vrai Buzz L’éclair, tu es un, un pantin articulé, tu n’es qu’un jouet en plastique.
- Quel curieux personnage vraiment dépriment, oui tu me fais pitié, salut.
- Oui c’est ça bon débarra pauvre andouille.

CHIKAKA !!

Nous vous devons une reconnaissance éternelle !

Tu chausses… du deux !

- On passera vous reprendre dans exactement quinze minutes.
- Hey c’est ça. De toute façon dans quatre minutes je suis mort.

La seule chose insupportable c’est que rien n’est insupportable.

S’il vous plait, « sac à merde », c’est une insulte ?

- Je suis à 98,5% d’accord avec l’encyclique, je vais même dire je suis à fond pour le pape !
- Hum ça va de soi, mais quand vous dites que vous êtes à 98,5% à fond pour l’encyclique, les 1,5% qui restent portent sur quelles restrictions ? J’vous titille…
- Attendez mon père, quand on est un catho convaincu comme moi à 98,5% pour cent, c’est kif kif bourricot ! Par contre, celui qui ne croit pas à toutes ces salades et bien croyez-moi, l’encyclique, IL S’EN FOUT !

C’est toi la cave !

Finalement c’était le colonel Moutarde le coupable !

- Et c’est quoi toute cette nourriture pour animaux ?
- Je les mange.

To infinity and beyond!

Chuuut ! Ya bambi qui fait dodo.

- … Mais il n’y a apparemment aucune espèce intelligente en vue.
- Coucouuuuuuuuu !!

C’est bizarre ça semblait bien moins douloureux quand vous le faisiez au cheval.

- C’est l’histoire d’un mec qui sort d’un bar et il croise une bonne sœur. Là, il lui met une cacahuète dans les dents, Bim une deuxième cacahuète… et la il la regarde il lui dit : « j’te croyais plus fort que ça, batman ! »
- Oué j’la connaissais mais avec un rabin.

- Attends, t’as déjà vu un mec mourir électrocuté dans sa baignoire ?! Faut arrêter un peu de délirer. [il allume la radio]
- Et après Claude François…

Je suis allé chez vous ce matin, après votre départ, j’ai essayé de jouer au mari, de gouter la vie d’un homme ordinaire, ça n’a pas marché. Alors, j’ai emporté un petit souvenir… sa jolie p’tite tête.