Top - Citations de films de l'année 1999

Écrabouille la ! Avec le pied !

En voilà… une qui… qui nous dérangera plus…

La première règle du Fight Club est : il est interdit de parler du Fight Club.
La seconde règle du Fight Club : il est IN-TER-DIT de parler du Fight Club.

Je ne sais pas comment Tyler avait déniché cette baraque, mais il disait y habiter depuis un an. On avait l’impression qu’elle attendait d’être rasée. La plupart des fenêtres étaient condamnées par des planches. Il n’y avait plus de serrure à la porte d’entrée depuis que la police ou dieu sait qui l’avait défoncée. L’escalier était prêt à s’écrouler. Je ne savais pas s’il en était propriétaire ou s’il l’a squattait. Ni l’un ni l’autre ne m’aurait surpris.
Quel trou de merde ! Rien ne fonctionnait. Si l’on allumait une lampe, ça en éteignait une autre dans la maison. Il n’y avait pas de voisins, seulement des entrepôts et une usine de papier. L’odeur fétide de la vapeur rappelait celle d’un pet, et l’odeur de la sueur rappelait celle d’une cage à hamster.

Je n’aurais pas dû venir à Sleepy Hollow, mon amour pour la raison se heurte au monde des esprits.

Ma femme et ma fille me considèrent toutes les deux comme un lamentable perdant, et… elles ont raison.

Nous venons de subir une brusque dépressurisation.

Au début j’étais une fille féminine. Puis plus masculine. Et je suis devenue un salaud.

James Bond ne trimballe jamais une bande d’emmerdeurs lui !

- Non, il faut me croire, c’était un cavalier, il était mort, sans tête.
- Nous le savons.
- Vous ne le savez pas ! Vous n’étiez pas là ! Tout est vrai, tout.
- Tout est vrai je vous l’ai dit. Nous avons tous essayé de vous le dire.
- Je l’ai vu. Il était horrible …

I see dead people.

Ne touchez pas à mon monte-charge !

- Écoute, je vois que j’te plais, ça oui, ça s’voit mais je dois te dire que j’plais à des tas d’mecs. Je plais, ça veut dire mon cul, mes jambes ou bien mes cheveux ou bien l’mélange d’un peu tout ça.
- Je crois qu’ce sont vos yeux.
- Les yeux ? Génial, il aime les yeux ! Seulement, ça ne marche jamais. Et puis j’ai pas besoin d’te raconter ma vie.

- J’suis pas amoureux de lui, moi.
- Quoi ? Oh, attends une seconde, non, attends une minute ! Je te ferais remarquer que je n’tombe pas amoureuse de mecs bizarres que j’connais que depuis cinq ou six jours.
- Mais si voyons.
- Et je n’m’amourache pas de mecs qui collectionnent les images de base-ball !
- Mais si voyons.
- Ou, ou de mecs qui pissent dans leurs frocs en voyant l’océan !
- Mais si voyons.
- Ou, ou de mecs qui connaissent les bonnes manières !

- Eve, Eve, ce mec a voulu entrer dans ta vie. C’est le garçon le plus poli et le plus gentil et le plus riche que tu n’aies jamais vu.
- Et j’ai essayé de l’faire enfermer.
- Oui, tu as essayé.
- Ouais… Mais je suis tombée amoureuse bien avant d’savoir qu’il était riche, ça c’est nouveau…

- Il était surexcité devant des trucs pornos ?
- Oui !

- Je sais pas où j’habite. J’suis perdu. Vous savez où j’habite ?
- Non.
- Vous voulez bien m’excuser ?
- Avec joie.

- Alors, pour quatre mille dollars, tout ce que j’dois faire, c’est te conduire à ton hôtel ?
- Hunhun.
- C’est sûr ?
- Oui.
- T’insisteras pas pour m’faire visiter ton vaisseau spatial ?
- Non. Quoi ?

- Adam, y’a écrit « Pute » sur le haut d’son front ! Tu sais c’que ça veut dire « pute » ?
- Oui, oui, oui, c’est sûr, oui, j’ai un dictionnaire mais c’que je n’saisis pas, c’est sur quoi tu t’bases pour dire ça de la femme qui est là, et sur quoi s’est basé Cliff pour dire ça d’toi ?

Oh mon dieu, ça y est, oui, une Noire !