Kaakook

Top - Citations de films de l'année 1999

Bien sûr je pourrais être aigri de ce qui m’est arrivé. Mais c’est inutile. Il y a tant de beauté dans le monde. Parfois j’ai l’impression qu’elle me submerge, de partout en même temps, mais c’en est trop. Mon cœur se remplit comme un ballon, prêt à exploser. Et là, je comprends qu’il faut que je lâche prise, que j’arrête d’essayer sans cesse de m’y raccrocher. Et ça glisse sur moi comme de la pluie. Et je ne peux plus rien éprouver d’autre que de la gratitude pour chaque instant de mon insignifiante petite vie. Vous ne comprenez pas ce que je suis en train de vous dire n’est ce pas ? Ne vous en faites pas, un jour, vous comprendrez.

#21
9.2 (216 votes)

La pub nous fait courir après des voitures et des fringues, on fait des boulots qu’on déteste pour se payer des merdes qui nous servent à rien !


On a affaire à une rêveuse totalement déconnectée de la réalité, en sautant elle a du penser qu’elle s’envolerait.

#23
9.2 (189 votes)

Avec l’insomnie, plus rien n’est réel ! Tout devient lointain. Tout est une copie, d’une copie, d’une copie…

#24
9.19 (395 votes)

Les rasoirs font mal
Les rivières vous trempent
Les acides font que dalle
Les drogues donnent des crampes
Les nœuds sont coulants
Les flingues sont bouillants
Le gaz sent mauvais
Autant vivre c’est plus gai !

#25
9.19 (52 votes)

La haine est une saloperie, la vie est trop courte pour passer son temps à avoir la haine, ça n’en vaut pas la peine…

#26
9.19 (571 votes)

Je suis fatigué patron, fatigué de devoir courir les routes et d’être seul comme un moineau sous la pluie… Fatigué d’avoir jamais un ami pour parler, pour me dire où on va, d’où on vient et pourquoi… Mais surtout je suis fatigué de voir les hommes se battre les uns contre les autres, je suis fatigué de toute la peine et la souffrance que je sens dans le monde…

#27
9.19 (2098 votes)

Il les a tuées avec leur amour. C’est comme ça tous les jours dans le monde entier.

#28
9.18 (270 votes)

Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles.

#29
9.17 (675 votes)

C’est seulement quand on a tout perdu qu’on est libre de faire tout ce qu’on veut.

#30
9.17 (2399 votes)

Putain, j’vois ici les hommes les plus forts et les plus intelligents que j’aie jamais vu. J’vois tout ce potentiel, et j’le vois gâché. J’vois une génération entière qui travaille à des pompes à essences, qui fait le service dans des restos, qui est esclave d’un petit chef dans un bureau. La pub nous fait courir après des voitures et des fringues, on fait des boulots qu’on déteste pour se payer des merdes qui nous servent à rien. On est les enfants oubliés de l’histoire mes amis, on n’a pas de but ni de vraie place ; on n’a pas de grande guerre, pas de grande dépression. Notre grande guerre est spirituelle, notre grande dépression, c’est nos vies. La télévision nous a appris à croire qu’un jour on serait tous des millionnaires, des dieux du cinéma ou des rock stars, mais c’est FAUX. Et nous apprenons lentement cette vérité. On en a vraiment, vraiment, plein le cul.

#31
9.17 (1141 votes)

T’as entendu parler du mec qui a inventé le fight club ? Il parait qu’il est né dans un hôpital psychiatrique et qu’il dort pas plus qu’une heure par nuit. C’est un grand homme.

#32
9.17 (327 votes)

- On est des consommateurs. On est des sous-produits d’un mode de vie devenu une obsession. Meurtres, banditisme, pauvreté, toutes ces choses ne me concernent pas. Ce qui me concerne moi ce sont les revues qui parlent de stars, la télévision avec 500 chaînes différentes, les slips avec un grand nom marqué dessus, le viagra, les repas minceurs…
- Madame Propre ?
- J’emmerde madame Propre ! Madame Propre elle astique les cuivres du Titanic ! Tout est en train de couler, mec. Alors merde ! j’emmerde tes canapés à motif, tes strings à rayures vertes bordel ! Moi je te dis ne soit jamais complet, je te dis arrête d’être parfait. Je te dis qu’il faut évoluer et que ce qui doit arriver arrive.

#33
9.16 (310 votes)

On est pas le meilleur quand on le croit, mais quand on le sait.

#34 9.15 (250 votes)

Ça va, ça va, ça va, j’ai compris, j’ai pigé, j’ai pigé ! Merde, je pige plus.

#35
9.15 (505 votes)

Je le considère comme un impôt sur la connerie.

#36
9.15 (238 votes)

La capote c’est le soulier de verre de notre génération, on l’enfile quand on rencontre une inconnue, on « danse » toute la nuit, et puis on la balance… la capote j’veux dire, pas l’inconnue.

#37
9.15 (529 votes)

J’avais envie de loger une balle entre les deux yeux de tous les pandas qui n’était pas foutu de baiser pour sauver leur espèce.

#38
9.14 (818 votes)

Mets moi un flingue sur la tempe et décore les murs avec ma cervelle.

#39
9.13 (439 votes)

Mon dieu ! On ne m’avait plus baisé comme ça depuis l’école primaire.

#40
9.12 (1194 votes)

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