Kaakook

Top - Citations de films de l'année 1999

Voyez cela je vois mon père.
Voyez cela je vois ma mère et mes sœurs et mes frères.
Voyez cela je vois tous mes ancêtres qui sont assis et me regardent.
Et voilà, voilà qu’ils m’appellent et me demandent de prendre place à leurs côtés dans le palais de Valhalla là ou les braves vivent à jamais.

#221
8.3 (225 votes)

- Mais peut être êtes vous un peu sorcière Katrina.
- Pourquoi dire cela ?
- Parce que vous m’avez ensorcelé.

#222
8.3 (43 votes)

On fait pas d’omelettes sans casser des œufs.

#223
8.26 (105 votes)

Bien sûr notre compagnie a pour règle de ne jamais conclure que le voyageur est le propriétaire du gode, nous devons employer l’article indéfini : « un » et jamais… jamais… « votre » gode.

#224
8.25 (30 votes)

- J’ai déjà embrassé un garçon ! J’ai embrassé des garçons et… Et je n’ai pas ressenti cette chose.
- Cette chose ? C’est comme ça que les jeunes appellent ça maintenant ?
- Cette chose, le moment, quand on embrasse une personne et que tout autour de vous disparaît derrière un voile léger. Et que la seule chose que l’on voit, c’est soi et cette personne. Et que l’on prend conscience que cette personne est la seule personne que l’on veut embrasser jusqu’à la fin de ses jours ! Et pendant le moment, on reçoit cette bénédiction divine, et on a envie d’éclater de rire et de s’effondrer en larmes. Parce qu’on est heureux de l’avoir trouvé et que l’on éprouve aussitôt la crainte immense qu’il disparaisse à jamais.

#225
8.24 (24 votes)

- Je n’ai pas triomphé d’elle, j’ai triomphé de toi.
- Tu peux répéter ?
- Tu étais vraiment amoureux fou d’elle, et tu l’es toujours en fait, mais ça m’a amusé de faire en sorte que tu en aie honte, tu as renoncé à ton tout premier amour tout simplement parce que j’ai mis ta réputation en danger… Faut t’faire un dessin ?! Tu n’es qu’un jouet Sébastien. Un petit joujou entre mes mains expertes. Te voilà complètement grillé avec elle. Jamais je n’ai entendu une histoire aussi triste. Santé !… Délicieux. Alors je suppose que tu venais me voir pour régler nos petites affaires, malheureusement pour toi, je ne baise pas avec les loosers… Adieu Sébastien.

#226
8.24 (24 votes)

Hey Pilpoil, mais toi pille là-dessous, ça va être au poil !

#227 8.24 (24 votes)

- So, Janie, how was school ?
- It was cool…
- Just cool ?
- No, dad. It was spectacular.

#228
8.21 (46 votes)

Certaines choses changent, et d’autres ne changeront jamais.

#229 8.21 (57 votes)

Comment définir le réel ? Ce que tu ressens, vois, goûtes ou respires, ne sont rien que des impulsions électriques interprétées par ton cerveau.

#230 8.2 (112 votes)

Savez-vous pourquoi on a peur quand on est seul ? Moi je sais pourquoi, je sais.

#231
8.18 (34 votes)

Chère Catherine,

Pardon de ne pas t’avoir parlé depuis si longtemps. J’avais le sentiment d’être perdu, sans repère ni boussole. Je n’arrêtais pas de me cogner partout. J’étais devenu un fou. Jamais encore je n’avais été perdu, c’était toi qui m’indiquais le nord. Je retrouvais toujours mon chemin, car tu étais mon chemin. Pardonnes la colère que m’as causé ton départ, je pense encore qu’une erreur à été commise et j’attends de dieu qu’il la répare. Je vais mieux
maintenant, le travail me soutient, mais par dessus tout, c’est toi qui me soutient. Tu m’es apparu en rêve, cette nuit et tu avais ce sourire, qui comme l’étreinte des amants et qui me berce comme un enfant. Tout ce que j’ai gardé du rêve, c’est un sentiment de paix. Je l’éprouvais encore à mon réveil et je me suis efforcé de le prolonger aussi longtemps que possible. Je t’écris pour te dire que je m’embarque à la recherche de cette paix et pour te demander pardon pour tant de choses.
Pardon de n’avoir pas mieux veillé sur toi, pour que tu n’ai jamais froid, jamais peur, que tu ne sois jamais malade. Pardon de n’avoir pas su trouvé les mots pour exprimer ce que je ressentais. Pardon d’avoir tant tardé à réparer la porte, c’est fait aujourd’hui. Pardon pour les fois ou nous nous sommes disputé, pardon de n’avoir pas su m’excuser, c’était par orgueil et pour tous les compliments que je ne t’ai jamais fait, sur tes coiffures et les vêtements que tu choisissais et par dessus tout de ne pas t’avoir serré si fort que dieu n’aurait pu t’emporter.

Avec tout mon amour,

G.

#232
8.18 (23 votes)

- Qui c’est que tu hais Danny ?
- Je hais tous ceux qui ne sont pas blancs et protestants.
- Pourquoi ?
- Parce qu’ils sont un fardeau pour l’avancement de la race blanche. Y’en a parmi eux qui doivent être bien j’suppose…
- Nan y’a pas un de ces enfoirés qui est bien Danny tu piges ? C’est rien que de la vermine tout ça. Souviens toi de ce que Cameron dit : « On veut pas les connaître mais on sait que l’ennemi c’est ces fils de pute. » Qu’est ce que t’aime pas chez eux exactement, et soit un peu convainquant bordel de merde.
- Je hais le fait que ce soit cool d’être noir à l’heure actuelle, je hais tout cette putain d’influence hip-hop qui déferle dans les quartiers blanc.

#233
8.17 (94 votes)

Welcome to the real world.

#234 8.16 (93 votes)

Mon père a tué ma mère parce qu’il croyait qu’elle le trompait. Et il s’est tué deux jours après parce qu’il s’était trompé.

#235
8.16 (28 votes)

T’as les lasers qui s’croisent ou quoi ?

#236 8.16 (39 votes)

Cours Beni, cours, à l’intérieur, vas à l’intérieur. Hey ferme pas la porte, ferme pas la…

#237
8.15 (17 votes)

On se réveille dans différents aéroports : Seattle, San Francisco, Los Angeles. On se réveille à Chicago, à Dallas, à Baltimore. On change de fuseau horaire, on perd une heure, on gagne une heure. C’est votre vie et elle s’achève minute après minute. On se réveille dans un aéroport dont on ne sait même pas le nom. Si l’on se réveillait à une heure différente, dans un endroit différent, pourrait-on se réveiller dans la peau d’une personne différente ?

#238
8.15 (55 votes)

J’ai trouvé quelque chose qui, récemment encore, était un homme.

#239
8.14 (33 votes)

Quand on change le code, on prévient !

#240
8.13 (22 votes)

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