Top - Citations de séries des années 1990

- Il t’a tout raconté, pas vrai ? Pacey ?
- Je sais pas, qu’est-ce que tu penses ?
- Je pense que je vous déteste tous les deux.
- Mmm. Tu risques de me détester encore plus en entendant ce que je vais dire. Il a fait la bonne chose, tu sais. Tous les deux vous avez besoin de gardez vos distances pour le moment.
- Comment tu pourrais savoir de quoi j’ai besoin ?
- Oui t’as probablement raison. C’est vrai que je ne sais pas combien c’est dur de laisser l’être qu’on aime s’en aller. Combien c’est douloureux… de savoir que si on est fait l’un pour l’autre, ça ne signifie pas forcement qu’on est fait l’un pour l’autre maintenant. Oh mais oui, qu’est-ce que j’en sais ? C’est vrai comment je pourrais comprendre moi qu’on est parfois malheureux au point d’avoir envie de hurler… de frapper quelqu’un. S’asseoir au clair de lune et pleurer.
- De toutes les personnes qui auraient pu me voir dans cet état, il fallait que ce soit toi…
- Joey une nouvelle année commence. Et qui sait ? tout les deux, on pourrait même peut-être devenir amis.
- Pacey. Je suis déjà assez démoralisée comme ça.
- [rires] Viens par là Potter. [Elle s’appuie contre lui et pleure]

Oh oh alerte aux gogoles ! Alerte aux gogoles les enfants ! Toi aussi tu aimes les spaghettis volants monstrueux, pauvre imbécile ?

C’est son homard !

J’suis sûre qu’on va devenir un de ces vieux couples qui cultive des orchidées ou qui ont des cages avec pleins d’oiseaux.

- On va boire un café ?
- Où ça ?

Donnez-moi un instant… et surtout une pompe à oxygène si cela ne vous ennuie pas.

- Tu sais que ce n’est pas ton monde ici, tu appartiens à un autre monde.
- Tu as raison… ce n’est pas mon monde… Dans mon monde, les gens sont enchaînés et je peux les monter comme des poneys !

Les bonnes idées ça se trouvent pas sous les sabots d’une botte de foin.

[Joey pousse Ross contre le frigo]
Ross : Je peux savoir ce qui t’a pris, là ?
Joey : Quoi ? Tu me demandes ce qui m’a pris ? Tu viens de bousiller mon frigo !
Ross : Quoi ? Mais qu’est-ce que tu racontes ? Et comment tu sais qu’il est bousillé ?
Joey : Oh ! Tu crois que je sais pas ce qui peut flinguer mon frigo ? Attends, excuse-moi ! [Il ouvre la porte du frigo] Voilà ! Qu’est-ce que je disais ? Bousillé ! T’en as pour 400 dollars !
Chandler : Joey, je t’ai vu le pousser contre la porte.
Joey : C’est toi qui l’a poussé !
Ross : Bon, arrête ! J’ai rien bousillé du tout. D’accord ? [Il renifle la puanteur dans le frigo] Ce frigo est mort depuis déjà longtemps.
Joey : [À Chandler] Tu te rappelles que je t’en ai déjà parlé du frigo ? Et tu ne m’as toujours pas filé la moitié de la somme !
Ross : [À Chandler] Tu n’as absolument pas à lui filer du fric.
Joey : Toi, tu la fermes ! Tu as bousillé mon frigo !

L’amour, c’est comme poser sa pêche, Butters. Parfois, ça coule tout-seul, mais il arrive des fois où ça coince un peu. Et pour que ça sorte, il faut que tu pousses.

Écoute-moi bien Miss Monde 82 !

Silence ! Ou je fais éjaculer la salle !

- L’un de vous sait-il ce que veut dire « harcèlement sexuel » ?
- C’est quand on essaie d’avoir des rapports avec une copine et qu’un autre mec vient vous chatouiller les couilles par derrière.

- Oh my god! They killed Kenny!
- YOU BASTARDS!

- Va te faire foutre, gros-lard !
- Je le ferai. Je vais aller me faire foutre, Kyle. Si tu m’empêches de me congeler, je trouverai ce que ça veut dire et j’irai me faire foutre. Ça, je te le promet, Kyle.

Jessie : Nous sommes de retour…
James : Pour vous jouer un mauvais tour.
Jessie : Afin de préserver le monde de la dévastation.
James : Afin de rallier tous les peuples à notre nation.
Jessie : Afin d’écraser l’amour et la vérité.
James : Afin d’étendre notre pouvoir jusqu’à la voie lactée.
Jessie : Jessie !
James : James !
Jessie : La Team Rocket, plus rapide que la lumière.
James : Rendez-vous tous ou ce sera la guerre !
Miaouss : Miaouss, oui, la guerre !

Pour moi le monde est un mariage lesbien permanent.

Sachez que je ne mets jamais rien dans mes yeux !

[En lisant] Zelda et le ramoneur étaient seuls dans la grange. Son père le vicaire, le vicaire ? Ne rentrerait pas avant des heures, elle tendit sa main et la posa sur son gros [À voix haute] Woh ! Waouh c’est un livre porno !

Vis le moment présent parc’que demain tu seras peut-être morte.