- La religion s’est réfugiée derrière le paranormal depuis l’aube des temps pour justifier certaines des pires exactions de l’Histoire. - Comme on dit, les voies du Seigneur sont impénétrables. Dieu doit avoir ses raisons. - Oui, il a sûrement de bonnes raisons de faire ce qu’il fait mais c’est fou le nombre de psychopathes à qui il délègue ses pouvoirs.
- Mr Beckett, vous avez eu l’honneur d’être la première personne à communiquer sous le nouvel Internet. Qu’avez-vous fait ? - Eh bien j’ai envoyé un e-mail avec une photo à mon vieux copain Thomas Wingger qui vit dans le Connecticut. - Et qu’avez-vous dit à M. Wingger ? - Je lui ai envoyé une teub et je l’ai traité de tarlouze.
- Heidi, faut vraiment que t’arrêtes d’être une pétasse ! - Retraite-moi de pétasse ! Vas-y, retraite-moi de pétasse ! - Tu es une… enfin… t’es une… méchante amoureuse.
- Aujourd’hui, nous allons parler de ce que le Seigneur a à nous offrir. Il le fait parce que nous ne pouvons contrôler nos tentations. - Comme un prêtre dans une chambre pleine de garçonnets à poil ?
Je ne suis ni un saint ni un dieu. Libre a vous de m’appeler « l’homme des miracles », mais tous ceux que j’ai réussi à sauver jusqu’à présent étaient des des gens capables de se prendre en main, pas des incapables se contentant d’appeler à l’aide. Tous les pays que j’ai sauvés de la pauvreté et de la guerre étaient peuplés de gens courageux dont je n’ai fait que stimuler la rage de vaincre. Les miracles n’arrivent qu’à ceux qui on la volonté de se battre ! Ne crois pas qu’ils te tombent tout cuits dans le bec !
- Pourquoi toi, t’es le parrain et moi, je serais pas le parrain ? - Parce que t’es musulman. - Eh ben toi aussi, t’es musulman. - … Ah ouais.
Dupond : C’est ça, vous avez lâché votre château… Dupont : Pour courir vers le râteau ! Nestor : Oui !
Ah c’est du cinéma ! Bon ben vous me féliciterez le metteur en scène, cette reconstitution historique est d’une pure réussite oui les costumes sont magnifiques et à voir ces figurants, on dirait vraiment pas qu’ils jouent la comédie, ils sont très bons.
- T’aimes pas les chiens ! Quand on n’aime pas les chiens, on n’aime pas les hommes. - Tu sais quoi, moins je vois des hommes avec des chiens, plus j’aime les hommes. - Espèce de chienne !
- Ça va ? Tu as fait un très beau discours. - Merci. - Dawson… ce que tu as dit, tu le penses vraiment ? - Chaque mot. C’est pour ça que tu peux faire demi-tour. Va… rejoindre Pacey. - Quoi ? - L’an dernier, tu devais aller à paris et à cause de moi tu n’y es pas allé. - Non c’était pas ta faute ! - Si, c’était la mienne. J’aurais du t’encourager à partir mais j’ai été trop égoïste ; je voulais que tu reste ici à Capside avec moi. Je ne veux pas répéter la même erreur. - Oui mais cette fois je veux pas partir, c’est mon choix non ? - Joey je t’en prie, même moi je le vois, Pacey c’est comme l’année à Paris et cette fois-ci tu dois y aller. Je peux te répéter que c’est une bêtise et que ta place est ici avec moi mais ça ne ferait pas la moindre différence. Des paroles et encore des paroles, ça ne sert à rien en vérité, ce qui compte c’est ce que toi tu veux. - Je sais même pas ce que je veux. - Si, c’est lui, tu veux de lui comme moi je veux de toi, tu l’aimes comme moi je t’aime. La seule différence c’est qu’il t’aime également, parce que tu le mérites. Je ne m’interposerai pas, tu as le droit de recevoir cet amour, tu es libre, fais ce que tu veux. - Mais tu sais je tiens beaucoup à notre amitié et j’ai besoin de savoir que tu ne m’en voudras pas… - Ce ne sont que des mots, ce ne sont que des mots. Quand tu auras terminé, tu t’en iras de toute façon, tu me tourneras le dos et tu t’en iras, ce n’est pas vrai ? - Il le faut, autrement je ne serai jamais… - Allez, va-t-en. - Dawson ! - Joey, va-t’en, pars s’il te plaît, ne me fais pas regretter ce que je viens de te dire, va-t’en, va-t’en.
Oui et à la fin de la pièce il s’est levé, c’est fou, il a commencé à frapper ses mains l’une contre l’autre.
Dupond : Rire Madame, nous Madame, dans notre métier, vous voulez rire, Madame ! Dupont : Je rirais même plus, Madame, dans notre métier, on ne rit pas ! Dupond et Dupont : Nous vous saluons !
- Ta mère et moi nous voulons laisser mûrir la profondeur de notre attachement. Et si tout va comme je le souhaite, peut-être que très bientôt nous parlerons mariage et que nous aurons la joie de nous unir. Dis-nous ce que tu penses de ça ? - Si vous faites ça, je me suiciderai.
Bien je vous’l disais, se droguer c’est mal. Il ne faut pas vous droguez. Euh si vous vous droguez, c’est mal. C’est mal de consommer de la drogue, alors ne vous droguez pas. Aucune drogue m’voyez, parc’que c’est mal. La drogue c’est mauvais m’voyez.
Peu importe d’où nous venons, ce que nous avons fait ou enduré, nous vivons conformément à notre idéal afin de montrer au monde ce qu’un jour il pourrait être.