Top - Citations de séries des années 1990

- Il faut te mettre les points sur les « i ». Tu es nouveau et un peu simplet. Alors je vais t’expliquer comment ça fonctionne. Tu ne possèdes, ni ne mérites rien. Quand tu veux quelque chose, tu le prends, mais RIEN n’est à toi. Pas même elle.
- Tu te trompes. On s’appartient, Drusilla et moi.
- Tu es décidément un poète, n’est-ce pas, Willy ?
- William !
- Oui… William ! Tu sais, je crois… que tu devrais te trouver un nouveau nom. Celui-ci n’est pas assez terrifiant à l’oreille. Tu veux que je te dise, William ? Si tu la veux… Viens la chercher !

- Vas-y héros, explique-moi ! Aide-moi à comprendre ! Et je te dirai pourquoi tu ne peux pas me supporter !
- Parles-en à ton psy !

- Des stéroïdes ? Je vais quand même pas aller dans les étoiles !
- Sabri ? T’es différent de nous tous…

C’est bien mon con t’as pas moufté… Et dis-donc, Banania, t’es venu en pirogue ?!

Je vais pas me traumatiser ici !

Tout de suite, on sait pas qui accuser, on accuse les deux arabes ? Elle est belle, la mentalité. En plus, sans preuve. Alors ça veut dire que les deux buts de Zinédine Zidane en finale de la coupe du monde, ils ont servi à rien du tout ? Bah c’est bien triste.

- Nom ?
- Henry.
- J’ai demandé le nom, pas le prénom.
- Non mais c’est mon nom. Je m’appelle Henry. Thierry Henry.
- Nan, nan, nan. Ça, c’est un nom composé.

- Il m’a fait une bonne impression, le nain.
- Redis pas « Le nain », c’est dégueulasse ! On dit « Les personnes de petite taille ».
- On dit « Blanche-Neige et les sept personnes de petite taille » ?

- Tu m’appelles ?
- Émilie ?
- Oui ?
- C’est bon, je t’ai appelée.

Très vite, mon analyse montra que le Joker, souvent décrit comme un psychopathe dangereux et cruel, n’était en fait qu’une âme torturée qui avait besoin d’affection. En conclusion, c’était un enfant maltraité qui cherchait à faire rire par ses bouffonneries. Malheureusement, à chaque fois surgissait le vertueux Batman qui s’obstinait à rendre impossible la vie de mon poussin !

À partir de ce soir minuit, moi, votre bien-aimé oncle Joker, fais le serment solennel de ne plus tuer personne pendant toute une année, ce qui veut dire que je vais devoir travailler très vite et que beaucoup d’entre vous mourront aujourd’hui !

T’as vu Phoebe le monsieur va à la cave tout seul.

Mille sabords, je sais bien qu’il est sourd mais tout de même !

Le colonel Sponsz : Ce n’est pas ici que vous les trouverez espèces d’andouilles ! Demi tour et que ça saute ! Veuillez excuser ces brutes, Madame ! Ils sont à la recherche de deux espions très dangereux !
Bianca Castafiore : Oh, racontez-moi ça colonel, j’adore les histoires d’espionnage !
Le colonel Sponsz : Oh ce n’est pas une affaire très importante, ces deux espions sont à la recherche d’un de leurs amis que nous retenons prisonniers à la forteresse de Bakhine. Mais cela, ils l’ignorent bien sûr. J’ai dans mon manteau son ordre de libération signé et demain, il devra choisir : soit il nous donne ses plans, soit personne n’entendra plus jamais parler de lui.
Tintin : C’est gagné !

- Mon parapluie, mon cher petit parapluie et maintenant je dévisse le manche et regardez ce qui apparaît hein ? Le microfilm des plans pour ma machine, il a disparu ! Saperlipopette, ça y’est, je me souviens ! Le voilà, je l’avais oublié sur ma table de nuit, c’est une arme très dangereuse et certains pourraient l’utiliser à des fins guerrières et cela, je ne le veux à aucun prix. Il faut donc détruire ceci immédiatement, merci capitaine !
- Tonnerre de tonnerre de Brest, je ne sais pas ce qui me retient de vous chasser à coups de carabine, vous m’avez donc juré de me rendre fou ?
- Comment dites-vous, des poux, à votre âge ? Oh mon Dieu mais je suis désolé !
- Gnaar !

Ferme ta putain de gueule et nique ton oncle t’es qu’un enfoiré de fils de pute et nique ton oncle.

My eyes! My eyes!

Cartman, there is an ice cream truck sticking out of your ass!

Putain maman tu vas pas encore me baiser!

Qu’est ce quelle a Maïté, elle a des problèmes de recette !