Top - Citations de séries des années 1990

De toute façon les grands génies ne sont jamais compris ! Pasteur quand il a inventé la rage il y a quatre ans, personne l’a cru… et maintenant, la rage sa marche !

Écoutez, je n’irai pas loin. Alors, si c’est l’Apocalypse ce soir… Bipez-moi.

La haine est ma religion.

- Où sommes-nous ?
- Dans un goulag. Un endroit où les coupables enferment les innocents.

- Si tu veux, je te fais des macaronis au gruyère pour le dîner.
- Ouais, tant que c’est pas ce que les pèlerins mangeaient, je peux les bouffer.

- What’s a soulmate?
- It’s uh… It’s like a best friend but more. It’s the one person in the world who knows you better than anyone else. That someone who makes you a better person. No, actually they don’t make you a better person. You do that by yourself because they inspire you. A soulmate is someone you carry with you forever. It’s one person who knew you, accepted you and believed in you before anyone else did or when no one else would. And no matter what happens, you’ll always love them. And nothing could ever change that.

Z’auriez pas un p’tite pièce ?

La vie est un cadeau.

- MAMAN, MERDE ! ROULE PLUS VITE !
- Le KFC de Salida est très loin de chez nous, poussin. Sois patient.
- ROULE PLUS VITE ET FERME TA GUEULE ! J’ai envie de poulet depuis trop longtemps !
- Eric, on est presque à Frisco. On peut aller au Church Fried Chicken, si tu veux.
- QUOI ? LE CHURCH FRIED CHICKEN A UN GOÛT DE MERDE DE CHATS !
- Bon, chéri. Inutile de t’énerver.
- JE T’ENCULE !

Allez, venez. On va sauvez nos connards de parents.

- C’est toi qui aurais dû être dedans pour que je puisse voir ton zizi !
- Désolé, mais mon zizi et moi étions dans notre chambre…

Les Chinois ils ont tous la même tête c’est comme quand tu regardes un cageot de poussins.

Je sais ce que c’est que d’être forcé d’être quelqu’un qu’on n’est pas, ça fait mal, mal jusqu’à l’os. On essaie d’enfouir la douleur mais le trou n’est jamais assez profond. On a beau creuser, elle ressort toujours. Comme des débris de verre qui vous poignardent à chaque respiration et qui vous blessent à l’intérieur. Il n’y a qu’un seul moyen pour faire cesser la douleur… Faire mal à quelqu’un d’autre…

- Je te demande de m’excuser. J’ai eu peur. Peur de devenir l’ami.
- Oh non ! L’ami, c’est affreux ?
- Oui, c’est affreux. Je ne veux pas devenir le confident à qui tu viendrais raconter tes petites aventures. Je veux que ce soit moi, ton aventure.

Ma dernière copine, Tally, on prenait le petit-déj’. D’accord ? J’avais fait des pancakes, il devait y en avoir cinquante. Tu vois ? Et d’un seul coup, elle se tourne vers moi et elle me dit « Eddie… » je fais « oui », elle dit « Eddie, je n’ai plus du tout envie de te voir. » Et là, ça m’a fait comme si elle plongeait la main dans ma poitrine, qu’elle m’arrachait le cœur d’un coup et qu’elle maculait de sang toute ma vie. C’était incroyable. Là, j’ai eu l’impression de tomber au fond d’un abysse et je sentais que je tombais sans arrêt. Je n’arrêtais pas de tomber. J’avais la sensation que ça n’allait jamais s’arrêter.

Enfoiré de juif !!

Me voila devant vous les burnes sèche votre honneur.

[À propos de Ben] oh mais à son âge tout le monde a déjà vu des orgies ! [regard incrédule de Monica et Phoebe] Ah bon, y’a que moi…

Grand dieu mamie, je crois qu’on est dans le pétrin maintenant !

Judy ramassez la chaussette ! Ramassez la chaussette ! RAMASSEZ LA CHAUSSETTE !!