Top - Citations de séries des années 1990

- What are you doing here… Five words or less!
- Out. For. A. Walk… Bitch!

I may be love’s bitch, but at least I’m man enough to admit it!

Joey doesn’t share food!

Y’a un proverbe en arabe qui dit : « Petits seins passe ton chemin, gros seins passe dans mon lit s’te plaît ! »

De toute façon les grands génies ne sont jamais compris ! Pasteur quand il a inventé la rage il y a quatre ans, personne l’a cru… et maintenant, la rage sa marche !

Tout ça, c’est à cause de l’université ! Au fait, vous savez ce que c’est ? C’est comme le lycée sauf que les élèves ne vont pas en classe.

- [En parlant de Giles] C’est pas vrai. Il a quand même dû jouer quand il était jeune.
- Tu rigoles ? Ses couches étaient en tweed.

Monica : Tu as brisé la jambe de cette fillette ?
Ross : Oui ça va, je me sens déjà assez mal comme ça.
Chandler : Tiens, je suis en train de lire qu’une marionnette a été tuée en quittant le plateau du Muppet Show, hier soir. Où est-ce que tu étais aux alentours de 10h, toi ?
Ross : Bon, je voudrais aller la voir, mais j’aimerais lui apporter un cadeau. Qu’est-ce qui pourrait lui plaire ?
Monica : Une poupée, ce serait une idée. Une poupée qui sait marcher !
Ross : Bon allez, à plus-tard.
Chandler : Cachez-vous, les enfants, il arrive.

- Pourquoi du sang ? Pourquoi celui de Dawn ? Pourquoi ça peut pas être un rituel à base de lymphe ?
- Parce qu’il n’y a que le sang qui soit vraiment important.
- Je ne parlais pas de tes préférences culinaires !
- Mais non ! Le sang c’est la vie espèce de crétin ! Pourquoi tu crois qu’on le boit ? Le sang c’est ce qui maintient en vie, qui réchauffe le corps !

Je rigole face au danger et puis je vais me cacher dans un trou.

L’avenir ne peut exister que si on met sa vie en jeu.

- MAMAN, MERDE ! ROULE PLUS VITE !
- Le KFC de Salida est très loin de chez nous, poussin. Sois patient.
- ROULE PLUS VITE ET FERME TA GUEULE ! J’ai envie de poulet depuis trop longtemps !
- Eric, on est presque à Frisco. On peut aller au Church Fried Chicken, si tu veux.
- QUOI ? LE CHURCH FRIED CHICKEN A UN GOÛT DE MERDE DE CHATS !
- Bon, chéri. Inutile de t’énerver.
- JE T’ENCULE !

Stan : J’ai vu un film, une fois. Il y avait un mec qui mettait un pétard, comme ça, dans le cul d’un chat.
Kyle : Oh cool ! On va essayer avec le chat de Cartman.
Cartman : EH ! SI VOUS OSEZ TOUCHER À UN POIL DU CUL DE MON CHAT, JE FOUTRAI UN PÉTARD ALLUMÉ DANS VOS SLIBARDS POUR VOUS EXPLOSER LES COUILLES !
Stan : Putain, Cartman !
Cartman : Ben moi, tout ce que j’ai dit, c’est qu’on n’embête pas mon chat. C’est tout.

Servietsky : Voulez-vous votre sauce Chang très épicée ?
Le client : Mais enfin ! Nous n’avons pas encore commandé !
Servietsky : Oh merde ! J’ai aucune idée de ce que je fous là !
Le gérant : Est-ce que tout se passe bien, monsieur ?
Le client : Oui, très bien excepté que cette serviette mélange de la sauce Chang depuis plus de quinze minutes ! C’est un bon à rien !
Servietsky : Tu me traites pas de bonsaï-nain ! C’est toi, le bonsaï-nain !
Le client : Mais enfin ! Vous êtes une serviette !
Servietsky : C’est toi, la serviette !
Le gérant : Très bien, ça suffit ! Allez-vous en ! Vous êtes viré !
Servietsky : Ouais !
Le gérant : Pas lui ! Vous !
Servietsky : Oh…

On dirait que j’ai autre chose que des attardés dans ma classe. N’est-ce pas les enfants ?

- C’est toi qui aurais dû être dedans pour que je puisse voir ton zizi !
- Désolé, mais mon zizi et moi étions dans notre chambre…

- J’ai d’autres choses à faire si voUS VOYEZ CE QUE JE VEUX DIRE !!
- … Y’a marqué quoi dehors ?
- Salle d’attente.
- EH BEN VOILA !! Y’A PAS MARQUÉ « SALLE OÙ TU GUEULES TA RACE » ! ALORS DÉGAGE MONSIEUR LE MALADE !

- Tu ne sais pas conduire ? Pourquoi tu n’as pas dit que tu ne savais pas conduire ?
- Parce que je ne pouvais pas savoir que je ne savais pas conduire avant d’essayer.

Il n’a pas l’air dangereux, mais je me demande si on peut lui faire confiance ?!

- Est-ce qu’on a le droit de tuer une personne qui veut qu’on la tue parce qu’elle est très vieille et qu’elle souffre ?
- […] Même pour un million, je ne pourrais pas répondre.