Kaakook

Top - Citations de films des années 2000

- Bon cap ou pas cap ?
- Cap…
[Il descend son pantalon]
- Mouaiiis…
- Quoi mouais ?
- C’est juste à cause de çà qu’les hommes sont mieux payés qu’les femmes ?
- Aux bons ouvriers les bons outils !… À mon tour… montres-moi ta zizette !
- C’est pas du jeu c’est MON gage t’as pas l’droit d’copier…
- Cap ou pas cap ?
[Sophie se résigne à soulever sa robe]
- Cap !
- C’est tout ?! Mais on voit rien du tout !
- Tu vois qu’les femmes sont plus malignes que les hommes !

#181
9.33 (1501 votes)

Je ne suis pas gros ; ma fourrure fait de l’épaisseur, c’est trompeur. J’ai le poil bouffant.

#182 9.33 (183 votes)

- Mais Monsieur ça se fait trop pas.
- Si ça se fait.

#183
9.33 (496 votes)

Faites-vous quelque chose de sale ? Faites vous par exemple une chose dont vos parents ne savent rien ? Est-ce que vous transgressez la loi ? Outrepassez-vous les règles ? Écartez les genoux et sentez le petit vent fou ? Parce que Gavin est pour toujours… parmi vous. Maintenant c’est entre toi et moi. Et figure toi que je regarde droit sous ta jupe.

#184
9.33 (95 votes)

J’aurais aimé pouvoir dire qu’elle avait guéri miraculeusement, mais ça n’a pas été le cas. Elle a juste cessé de respirer. Et j’aurais aimé pouvoir vous dire qu’elle n’était pas morte pour rien, que sa mort avait eu un sens pour la suite de notre vie ou même que sa vie avait eu une signification particulière, qu’on avait donné son nom à un parc, à une rue, ou que la cour suprême avait changé une loi à cause d’elle. Mais rien de tout ça ne s’est produit. Elle est partie c’est tout. Elle est redevenue un morceau de ciel bleu et nous devons tous continuer à vivre.

#185
9.33 (365 votes)

On dit jamais rien pour rien, ça veut toujours dire quelque chose.

#186
9.33 (290 votes)

Il devrait y avoir prescription pour le chagrin. Un code stipulant que se réveiller tous les matins en pleurant n’est admis que pendant un mois.

#187
9.33 (154 votes)

Vole ! Part ! Soit libre ! Gentil oiseau qui ne sait pas voler.

#188 9.33 (125 votes)

- Mixte, votre prénom est mixte.
- Ouais, comme les sandwichs jambon fromage.

#189
9.33 (334 votes)

Tu n’es pas quelqu’un de mauvais. Tu es quelqu’un de bon à qui il est arrivé de mauvaises choses.

#190 9.33 (183 votes)

- Ça va être tout noir !
- Ta gueule !

#191
9.32 (907 votes)

- Et tu vas faire quoi, hein ? On a ratissé toute la zone, tu n’as rien. Rien à part tes poignards ridicules et tes prises de karaté minables, contre nos flingues.
- Non, vous avez des balles et l’espoir que je sois à terre quand vos armes seront vides. Parce que dans le cas contraire vous mourrez avant d’avoir pu recharger.

#192
9.32 (385 votes)

- La meilleure baise de votre vie ?
- Britney Spears.
- Waow!
- Nan je déconne… Elle était pitoyable !


Je t’aime plus que ma propre vie…

#194
9.32 (2092 votes)

On dit que nous perdons tous 21 grammes au moment précis de notre mort… Le poids de cinq pièces de monnaie. Le poids d’une barre de chocolat. Le poids d’un colibri. 21 grammes. Est-ce le poids de notre âme ? Est-ce le poids de la vie ?

#195
9.32 (315 votes)

- Très bien, on va faire l’appel.
[Voix off : nous sommes à l’âge de pierre]
- Pierre ?
- Présent.
- Pierre ?
- Présent.
- Pierre ?
- Présente.
- Pierre ?
- Présente.
- Ah, Pierre ?
- Présent.
- Pierre ? … Pierre… Évidemment encore absent celui là. J’imagine que Pierre n’est pas là non plus ! Comme par hasard, toujours ensemble ces deux là.

#196
9.32 (756 votes)

Pierre (le blond) : Pour le localiser, il faut le faire parler…
Pierre (le chef) : Tu es pour ou contre l’avortement ?
Pierre (le guérissologue) : Ouais, et toi ?
Pierre (le chef) : C’est difficile comme question ça. Bah, disons que si la femme est enceinte, je suis pour. Par contre si elle ne l’est pas, c’est inutile qu’elle se fasse avorter. Enfin je pense !

#197
9.32 (694 votes)

Il me pète un peu les noix guillaume avec ses questions niaiseuses !

#198
9.32 (210 votes)

- I hate everyone.
- And what about your family?
- Everyone.

#199
9.32 (123 votes)

Je sais que je ne peux prouver que ce n’est pas un de leurs pièges mais ça m’est égal. Je suis moi. Je m’appelle Valérie. Je ne pense pas que je vivrais encore très longtemps et je voulais raconter ma vie à quelqu’un. Voici la seule autobiographie que j’écrirais. Et Mon dieu ! Je le fait sur du papier toilette !

Je suis née à Nottingham en 1985. Je ne me rappelle pas grand chose de cette époque lointaine mais je n’ai pas oublié la pluie. Ma grand-mère possédait une ferme à total brook et elle avait coutume de dire que Dieu vivait dans la pluie. Après avoir réussi l’école primaire je suis rentrée au collège de jeunes filles. C’est là que j’ai rencontré ma première petit amie. Elle s’appelait Sarah. Ses poignets… Ils étaient magnifiques. Je pensais qu’on s’aimerait pour toujours. Je me souviens de notre professeur nous expliquant que ce n’était qu’une phase de l’adolescence qu’on oublierait. Sarah a oublié, pas moi.

En 2002 je suis tombée amoureuse d’une fille qui s’appelait Christina. C’est cette année là que j’ai tout dit à mes parents. Je n’aurais pas pu si Chris ne m’avait pas tenu la main. Mon père ne m’a même pas regardé. Il m’a ordonner de partir et de ne plus jamais revenir. Ma mère, ne disait rien. Mais je n’avais fait que leur dire la vérité. Était-ce si égoïste ? On peut abandonner son intégrité pour presque rien, mais c’est tout ce que nous possédons réellement, tout ce qui nous reste à la fin ; et dans ce petit espace, nous sommes libres.

J’ai toujours su ce que je voulais faire de ma vie. Et en 2015 j’ai joué dans mon premier film, Les marais salant. ça a été le rôle le plus important de ma vie. Pas pour ma carrière mais parce que c’est là que j’ai rencontré Ruth. Dès notre premier baiser j’ai su que jamais je ne voudrais embrasser d’autres lèvres que les siennes. Nous avons emménagé ensemble dans un petit appartement à Londres. Pour moi, elle faisait pousser des Scarlet Carson dans notre jardinière et notre intérieur embaumait toujours la rose. Ce furent les plus belles années de ma vie.
Mais la guerre ne faisait qu’empirer aux États-Unis et elle finit par toucher Londres. Après ça il n’y eut plus jamais de roses, pour personne. Je me souviens de quelle façon le sens des mots se mit à changer, de quelle façon des mots peu familiers comme « collatéral » et « interprétation » devinrent effrayants ; tandis que d’autres comme « le feu nordique » ou « article d’allégeance » montaient en puissance. Je me rappelle quand « différent » a pris le sens de dangereux. Je ne comprends toujours pas, pourquoi nous détestent-ils à ce point ?
Ils arrêtèrent Ruth alors qu’elle faisait les courses. Je n’ai jamais autant pleuré de ma vie. Ils n’ont pas tardé à venir me chercher.
C’est bizarre de me dire que ma vie finira dans un endroit aussi horrible. Mais pendant trois ans j’aurais eu des roses sans jamais devoir m’excuser.
Je vais mourir ici. Toutes les parties de mon être vont périr ; toutes, sauf une, un détail, un tout petit détail fragile, mais qui est la seule chose dans ce monde qui ait de la valeur. Il ne faut jamais le perdre ou l’abandonner. Il ne faut jamais laisser personne nous le prendre.

J’espère, qui que vous soyez que vous vous échapperez d’ici, j’espère que le monde changera, et que tout s’arrangera. Et ce que j’espère plus que tout, c’est que vous me comprendrez quand je vous dit que même si je ne vous connaît pas, même si je n’ai jamais eu l’occasion de vous rencontrer, de rire avec vous, de pleurer avec vous ou de vous embrasser, je vous aime. De tout mon cœur. Je vous aime.
Valerie

#200
9.32 (443 votes)

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