Top - Citations de films des années 2000

Gardez votre langue fourchue derrière vos dents ! Je ne suis pas passé par le feu et la mort pour échanger des paroles malhonnête avec un vil serpent !

Enfin je sais pas… enfin peut-être.

- Il faut qu’on trouve un code ! Oui euh… quelque chose qui voudra dire « le bébé arrive !! »
- Hum… Par exemple : « Ahhh !! Le bébé arrive ! » C’est pas mal ça, non ?

J’organise une magnifique réception et vous n’êtes pas invités.

C’est mon nouveau parfum : cannabis pour homme.

- J’ai un p’tit zob moi en tout cas, mais je m’en contente, comme ça je peux porter des sous vêtement moins grands.
- J’ai rien compris, ça doit être génial mais j’ai rien compris.

Face à la mort celui qui méritera de vivre et celui qui vivra sont deux choses bien différentes.

Pierre (le chef) : Eh, c’est la cueillette ! Qu’est ce que vous foutez ?
Pierre (le blond) et Guy : On cueille.
Pierre (le chef) : Allez, debout.
Pierre (le blond) et Guy : …
Pierre (le chef) : Non, j’avais préparé cette phrase au cas où vous seriez couchés…

Règle n°3 : méfiez-vous des toilettes.

Je suis un serviteur du Feu Secret, détenteur de la flamme d’Anor. Le feu sombre ne vous servira à rien, flamme d’Udûn. Repartez dans l’ombre ! Vous ne passerez pas !

- C’est coquet chez toi !
- J’ai un goût de chiottes… C’est pour ça que tu me plais !

Retourne manger tes graines de soja avec tes SDF, espèce de bobo-connasse !

Il a fait quatre mille kilomètres à pied pour la retrouver et maintenant il veut traverser la Manche à la nage. Toi quand t’es partie, j’ai même pas été foutu de traverser la rue pour te rattraper.

Parfois, toute une vie se résume à un geste fou.

Je vole, I believe I can fly !!

Garons nous chers amis, d’oublier nos chers amis les calamars. Sublime petite saucisse volante. Mettez les ensemble, ils se dévoreront aussitôt les uns les autres. C’est la nature humaine… ou poissonnière.

Qu’est ce qu’il te manque Holly ? C’est quoi ? Parce que j’en ai assez de deviner. Tu veux un plus grand appartement ? Je vais prendre un deuxième emploi. Tu veux un enfant ? Tu ne veux pas d’enfant ? C’est quoi ? Je sais ce que je veux, moi parce que je le tiens dans mes bras, à l’instant même.

On s’embrasse à la photocopieuse, on se tient la main chez Ikea, on baise dans la douche… T’appelles ça juste des amis toi ?

- Pauvre tigrounet à grande quenottes qui ve se retrouver tout seul comme un gros naze, pauvre tigrounet à grandes quenottes.
- Sid…
- …
- Le tigrounet va être notre guide.

Je m’effondre. Place Vendôme à sept heures du matin. Une fille à genoux qui mord sa main ensanglantée. Et qui hurle. Qui hurle une plainte incohérente. Comme si le désespoir avait pris forme. La forme d’un cri. Je crie la fin d’un rêve, je cris la fin du monde. Je crie la fin de l’homme que j’aime et qui s’est planté comme un con, en sortant de boîte, dans sa caisse à cinq cent mille balles qui n’a même pas été foutu de le préserver. Mort sur le coup. Mort. Je crie l’atroce réalité de cette vie de merde qui donne, et qui reprend. Je crie ce qu’on a vécu, ce qu’on aurait pu vivre encore. Je crie ce qu’il est. Était. Ce qu’il aurait pu devenir. Je crie ma détresse, ma douleur, mon amour, mon amour, mon amour…