Kaakook

Top - Citations de films des années 2000

Je m’effondre. Place Vendôme à sept heures du matin. Une fille à genoux qui mord sa main ensanglantée. Et qui hurle. Qui hurle une plainte incohérente. Comme si le désespoir avait pris forme. La forme d’un cri. Je crie la fin d’un rêve, je cris la fin du monde. Je crie la fin de l’homme que j’aime et qui s’est planté comme un con, en sortant de boîte, dans sa caisse à cinq cent mille balles qui n’a même pas été foutu de le préserver. Mort sur le coup. Mort. Je crie l’atroce réalité de cette vie de merde qui donne, et qui reprend. Je crie ce qu’on a vécu, ce qu’on aurait pu vivre encore. Je crie ce qu’il est. Était. Ce qu’il aurait pu devenir. Je crie ma détresse, ma douleur, mon amour, mon amour, mon amour…

#441
9.26 (126 votes)

- Oh ça va, j’ai compris ! J’les ramène… Vous aurez votre famille, et moi j’finirai seul !… Sans personne au monde… Une forteresse de solitude !… Dans la glace… Pour la vie… Esseulé, seul et solitaire…
- Ça fait beaucoup de solitude !
- C’est bien c’que j’dits

#442 9.26 (84 votes)

J’ai tout appris dans les livres. Mais il y a des choses beaucoup plus importantes, le courage, l’amitié.

#443 9.26 (246 votes)

Nul ne peut bafouer l’empire romain ! Quand on l’attaque, l’empire contre-attaque !

#444
9.25 (472 votes)

- Je suis, mon cher ami, très heureux de te voir.
- C’est un alexandrin !

#445
9.25 (467 votes)

La plupart des gens n’ont aucune reconnaissance d’être en vie.

#446 9.25 (295 votes)

Notre amour est comme le vent. Je ne peux pas le voir, mais je peux le sentir.


C’est trop calme… j’aime pas trop beaucoup ça… J’préfère quand c’est un peu trop plus moins calme…

#448
9.25 (1337 votes)

Moi je vais rester là pour raviver le feu parce que des fois il se déravive.

#449
9.25 (634 votes)

Une fois, j’me suis couché il était minuit dix. Bonjour comment j’étais fatigué !

#450
9.25 (457 votes)

- On va se laver tes cheveux ?
- Non, je ne suis pas du genre à me doucher dès le premier soir !

#451
9.25 (389 votes)

Je vous présente ma vie vers 35 ans. J’avais tout. Une femme, deux enfants, trois potes, 4 crédits, 5 semaines de vacances, 6 ans dans la même boite, 7 fois mon poids en matériel hi-fi, 8 coïts conjugaux par trimestre, 9 fois le tour de la terre en emballages plastiques, couvercles de polystyrène et autres packaging alimentaires non biodégradables et 10 ans sans voir mon père. Le bonheur. La panoplie du parfait tyran dont j’avais rêvé toute mon enfance.

#452
9.25 (928 votes)

Ignore ce que je suis et procure-moi quelque déguisement qui conviendrait au dessein que je forme.

#453
9.25 (151 votes)

- C’est bon, t’as pas le monopole de la discrimination non plus.
- Nan, tu vois la j’ai plutôt le monospace de l’angoisse.

#454
9.25 (628 votes)

Putain mais regardez moi ces têtes de vainqueur, sérieux !

#455
9.25 (548 votes)

Deuxième étoile à droite et tout droit jusqu’au matin.

#456
9.25 (349 votes)

- Lebel Stephane ?
- Présente !
- Euh pardon, Stéphanie !
- Nan m’sieur c’est Stephane ! Ça c’dit pour les deux en fait.
- Pour les deux quoi mademoiselle ?
- Baaah… pour les deux sexes…
- Et connaissez vous le mot français qui veut dire cela mademoiselle ?
- … j’sais pas.
- Mixte ! Votre prénom est mixte !

#457
9.25 (672 votes)

- Dites moi, monsieur Sergueï Nimov Nemovitch, avez-vous dit bonjour à votre femme récemment ?
- Euh, non, pas depuis hier. Mais vous ? Madame Nimov Nemovitch, vous avez dit « je t’aime » à votre mari, récemment ?
- Non, pas depuis 100 ans. J’t’ai jamais dit « ornithorynque » non plus, et je pense qu’il faut réparer cet oubli. Ornithorynque.

#458
9.25 (822 votes)

- Et qu’est-ce qui se passe si une voiture arrive ?
- On meurt !

#459
9.25 (417 votes)

Même si l’on peut substituer la matraque à la conversation, les mots conserveront leur pouvoir. Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ?

#460
9.25 (204 votes)

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