Kaakook

Top - Citations de films de l'année 2004

- Y’a ce moment dans ta vie, tu sais, où tu t’rends compte que tu t’sens plus vraiment chez toi dans la maison où t’as grandi. Du jour au lendemain, même si tu peux toujours y poser tes valises, ce qui était ta maison n’a plus cette saveur.
- J’me sens toujours chez moi à la maison.
- Tu verras le jour où tu partiras, ça arrive forcément : c’jour-là, c’est fini et tu sais que ça reviendra jamais… Un peu comme la nostalgie d’une chose qui n’existe plus et qui t’manque. Et puis, c’est p’t’être un rite de passage, va savoir, une impression que tu retrouves seulement le jour où tu réinventes ta propre maison… Tu vois c’que j’veux dire ? Pour toi, tes enfants, ta famille… Si ça s’trouve c’est un cycle, un truc dans c’genre ! Je sais pas mais cette sensation me manque… Puis peut-être qu’au fond une famille c’est ça : un groupe de gens en manque du même lieu imaginaire…
- Peut-être…

#281
8 (25 votes)

- Je ferai la cuisine, tu parleras !
- Tu veux que je parle ? Avec des mots ? pourquoi crois tu qu’ils ont inventé les fleurs ?!

#282
8 (25 votes)

Max, un gars dans le métro, ici, à Los Angeles il meurt, tu crois qu’on le remarquera ?

#283
8 (25 votes)

Couscous, c’est l’ignoble pourceau qui n’arrêtes pas d’bouffer, et que je vous demande de respecter comme moi-même. Car il est et restera le meilleur Michel Polnareff de sa génération…

#284
8 (15 votes)

Un jour, un jour mon rêve se réalisera ! Un matin tu te réveilles et tu comprends que ce rêve n’arriveras jamais, toutes ces années il t’a taraudé, il fout le camp, t’es au bout de la route. Il ne s’est rien passé, ça n’arrive jamais, parce que finalement t’as rien fait pour ça ! Tu le ranges dans un coin de ton cerveau et tu t’affales dans ton fauteuil pour t’abrutir de séries télé jusqu’à ce que ton existence de merde s’achève. Alors me bassine pas avec tes meurtres !

#285
8 (25 votes)

- Dieu nous a donné le pétrole, c’est pour l’utiliser !
- Il vous a aussi donné un cerveau et ça vous a pas empêché d’être con !

#286
8 (15 votes)

Pourquoi tu ne vas pas faire joujou avec ta panoplie du parfait chimiste ?

#287 8 (30 votes)

Enfoiré d’Chuck Norris !

#288
7.95 (29 votes)

- J’assume mes fautes et j’essaie de ne pas fuir mes responsabilités.
- On pourrait oublier le passé ?
- Cette femme a le droit de se venger et nous méritons de mourir ! Mais cela dit [éclat de rire] elle aussi, donc on a qu’à dire qu’on verra tu crois pas ?

#289 7.95 (34 votes)

La paix c’est bon pour les femmes, et les faibles. Les empires sont forgés par la guerre.

#290
7.95 (29 votes)

Putain t’as encore faim ? Mais tu viens de t’enfiler un seau d’frites ! T’as l’ténia ou quoi ?

#291
7.92 (14 votes)

On passe à côté de l’âme sœur si on la rencontre trop tôt ou trop tard. À une autre époque, en un autre lieu, notre histoire eut été différente.

#292
7.91 (33 votes)

- Qu’est ce qu’il faisait Claude François tout les matins ?
- Euh… Il déjeunait ?
- Il faisait son (y)jogging bande de buses !

#293
7.89 (28 votes)

Oui je suis malade, inspecteur. Malade de la saleté qui me ronge de l’intérieur. Malade de voir des gens qui ne connaissent pas leur chance. Malade de voir des gens se moquer de la souffrance des autres. Ça me rend malade.

#294 7.89 (28 votes)

- Tu mens souvent ?
- Qu’est ce que tu appelles « souvent » ?
- Suffisamment pour être traitée de menteuse.

#295
7.88 (23 votes)

Depuis qu’il n’est pas venu à l’enterrement de l’arrière grand oncle d’un neveu du côté de la sœur de mon mari, pour moi, il ne fait plus partie de la famille.

#296
7.88 (70 votes)

Son art c’est la mort. Et il s’apprête à peindre son chef d’œuvre.


- Tu veux un papillionsse ? C’est un papillion séché.
- Non merci, tu veux une cloque ?
- Non, j’essaie d’arrêter.

#298
7.88 (221 votes)

Brad… En une seule année, vous avez déserté 68 fois, commis 89 vols de matériel, mis en danger la vie de vos coéquipiers 216 fois, violé 584 articles du Code de règlements et prononcé 14 850 remarques désobligeantes et/ou blessantes. Est ce que vous pouvez être plus désagréable ou c’est votre max ?

#299
7.88 (23 votes)

C’est le sens du toucher. Dans une vraie ville tu marches. Les gens s’effleurent, se bousculent. À Los Angeles personne ne se touche. On est toujours entourés de ce métal. Le sens du toucher nous manque tant, qu’on se rentre dedans pour sentir quelque chose.

#300
7.86 (18 votes)

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