Top - Citations de films de l'année 2004

La mort doit être une belle aventure.

- Allez au Diable !
- Non, je le quitte au contraire !

- Je ne vois aucun endroit moelleux où atterrir !
- Et pourquoi pas sur ton cul…

- Des fois, t’as pas un peu envie de pas rien faire ?
- Non.

- … Une belle voix d’bariton !
- Une voix d’quoi ?
- De bariton, c’est pas une insulte, c’est quand on chante avec une voix grave.

La quantité de venin que ce reptile peut inoculer par une seule morsure peut être gargantuesque. C’est un mot que j’adore « gargantuesque », on a rarement l’occasion de le placer dans une conversation…

Les amis… Ils passent des années à essayer de vous caser et dès l’instant où vous trouvez un Jules, il vous somment de le plaquer.

- Oui tu es un oiseau.
- Toi aussi t’es un oiseau.
- Si tu en es un, j’en suis un moi aussi.

Je n’ai plus que deux hommes dans ma vie. Le premier se nomme Ben… et l’autre Jerry’s.

Toi tu vas ta gueule fermer.

Je suis persuadé qu’à la base, l’amour est une farce qui a mal tourné.

Vous avez aucun message, zéro, pas même de vote mère.

Le capitaine Crochet : Tu meurs seul et sans amour… Comme moi !
Wendy : NOOOOOON !!
Inconnu : Taisez vous tous pour l’adieu de Wendy.
Wendy : Pardon, mais je dois grandir Peter. Ceci est à toi.
[Crochet bloque le bras de Wendy]
Wendy : Un dé à coudre, rien de plus.
Le capitaine Crochet : Mais faites dont jeune fille, donnez ce dé à coudre si précieux.
Wendy : Je te l’ai donné, il t’appartient et pour toujours.
[Wendy embrasse Peter]
John : Ça un dé à coudre ? Sûrement pas !
Michaël : Ça c’était son baiser caché.
Un enfant perdu : Gros temps en perspective.
Un enfant perdu : C’est puissant ces choses là.
Le capitaine Crochet : Pan, mord bleu, tu rougis !… Par l’imparfait du subjonctif !

Où est cet amour dont tu parles ? Je ne peux pas le voir, je ne peux pas le sentir. Je peux l’entendre. J’entends des mots, mais je ne peux rien faire de ces paroles faciles.

De beaux fragments tout ruisselants
Leurs déroulements indolents
L’un après l’autre
Au fur et à mesure que je me les rappelle et que j’y pense
Des vrais poèmes
Ce que nous appelons poèmes n’est qu’image
Les poèmes de l’intimité de la nuit et d’homme comme moi
Ces poèmes qui retombent timides et invisibles que je porte toujours avec moi
Et que portent tout les hommes

Le courage ce n’est pas l’absence de peur mais plutôt la conviction que la peur n’est pas le plus important.

Tu n’auras plus d’yeux ce soir, ni d’oreilles, ni de langue. Tu vas errer dans les Enfers aveugle, sourd et muet.
Et tout le monde saura qui est Hector !
Le fou qui a cru avoir tué Achille.

Pour toi poupée, je me couperais en quatre…

- Why Didn’t you write me? Why? It wasn’t over for me. I waited for you for seven years. But now, it’s too late.
- I wrote you everyday for a year.
- You wrote me?
- Yes. It wasn’t over… It still isn’t over.

Action… Réaction !