Top - Citations de films de l'année 2004

I can’t remember anything without you.

Si je suis trop vieille pour ça, alors je n’ai rien d’autre. Ça vous suffit comme vérité ?

- Qu’elle heure il est s’il vous plaît monsieur ?
- Disons qu’il est l’heure que tu ôtes tes vêtements.
- Vous vous gourez espèce de pourriture, c’est l’heure du jugement qui vient de sonner. Dans les 30 secondes qui suivent vous aurez un choix à faire. la première option va évidemment traumatiser votre enfant à jamais. Cela va changer votre fille et transformer votre enfant joyeuse et innocente en une carapace vide dont la seule notion de conscience sera trahie par son salopard de père pédophile ce qui au bout du compte va la conduire au suicide. Bien joué Papa !
La solution qui s’offre à vous est de traiter Kelly comme… N’importe quel père prévenant traiterait sa fille ! On est d’accord papa ? Alors écoutez espèce de pourriture, si vous détruisez à nouveau sa vie, je vous jure que je vous castrerais.

- J’ai été franc avec vous à cent pour cent ! Tout ce que je vous ai raconté était la vérité.
- Je veux ce document Monsieur Brown !
- D’accord… je ne m’appelle pas Brown : c’est Gates. J’ai été franc à quatre-vingt-dix-huit pour cent.

- Tu reviendras me voir ?
- Si tes histoires parlent de moi !

- What happens if a car comes ?
- We die.

- Pourquoi ne dis-tu jamais ce que tu as dans la tête ?
- Pourquoi dis-tu toujours ce que tu as dans la tienne ? Pourquoi faut-il que tu mènes, quand je voudrais mener ? Si je veux danser, je t’inviterai à danser. Si je veux parler, j’ouvrirai la bouche et je parlerai. Tout le monde me presse de parler. À quoi bon te dire que tu occupes mes pensées, dès le matin ? À quoi bon avouer que je n’arrive parfois plus à réfléchir ni à faire correctement mon travail ? Ça avancerait à quoi que je te dise que les seules fois où j’ai peur comme les autres, c’est quand je te sais en danger ? C’est pour ça que je suis sur cette terrasse… Je m’inquiète pour toi, plus que pour tout autre… Et, oui… Je danserai avec toi, le soir de nos noces.

D’accord, je sais qu’il n’y a pas de musique, et il ne neige pas, mais on peut se dire qu’on vit un moment unique.

Je veux jouer à un jeu…

- Vous en étiez où dans vos acquis ?
- On était très évolués, on allait juste se mettre à croire on Dieu !
- Ah, et sinon dans vos acquis, vous en étiez où ? Ah non j’viens d’le d’mander ça !

- Fais voir ta main !
- Laquelle ? [En montrant son pied]
- Oh c’est comme moi regarde, les doigts de cette main ils ont pas du tout poussé !

- En quoi n’ai-je pas d’envergure ?
- Tu n’es qu’un enfant…

20 million, ça fait 10 euros par tête, à peine le prix d’un happy meal !

- C’est pas possible Leïto ! On tue pas 2 millions de personnes sous prétexte qu’on arrive pas à résoudre leurs problèmes.
- On en a bien tué 6 millions sous prétexte qu’ils n’étaient pas blond aux yeux bleus !

Tu n’auras plus d’yeux ce soir, ni d’oreilles, ni de langue. Tu vas errer dans les Enfers aveugle, sourd et muet.
Et tout le monde saura qui est Hector !
Le fou qui a cru avoir tué Achille.

Il y a des choses qu’on préférait ne pas entendre…

Come back and make up a good-bye at least. Let’s pretend we had one.

Ooooh ! Pauvre Nana…

J’arrive pas à le croire… Pourquoi c’est pas lui qui s’en est sorti ? Ian a eu une prémonition, une espèce de rêve. Il savait. Il a essayé de me le dire mais je l’ai pas cru… Avant qu’on monte dans le taxi il m’a dit que c’était moi qui lui avait appris à aimer… C’était tellement facile de l’aimer…

Inconnu : Qui veut un lézard-mayo’ ?
Inconnu : Un mammouth-cornichon pour moi !
Inconnu : Ils sont très bons tes sandwichs, tu les as tous réussis ! Sauf ceux à la terre.