Top - Citations de films de l'année 2004

On va te présenter Papa, Maman ! Ravis d’avoir l’avantage d’être tes fils.

- Là, à 3h un zombie ! Tire !
- … [coup de feu]
- Et là, à 11h45 un autre zombie !
- Hein ?
- Midi moins le quart, tiiire !

This belongs to you, and always will.

Après tout c’est moi qui vous ai branchés toi et beau gosse !

Je connais tous les chemins de mon pays !

Il existe bien des façons d’aimer.

Gordon, tu toucherais pas l’eau si on te faisait tomber d’un bateau.

Put the coconut down, NOW!

Elle est chaude comme une baraque à frites !

- Eh ben, 101 dollars pour un sandwich au pâté de crabe…
- Avec du fromage Calamar, avec du fromage !

Max, un gars dans le métro, ici, à Los Angeles il meurt, tu crois qu’on le remarquera ?

Moi parfois je prie que ma femme ait le syndrome de Goldfield. Comme ça elle ne se souviendrait pas qu’hier soir j’ai traité sa mère de sale poivrote qui avait le cul de Godzilla à la place de la tête.

Un jour, un jour mon rêve se réalisera ! Un matin tu te réveilles et tu comprends que ce rêve n’arriveras jamais, toutes ces années il t’a taraudé, il fout le camp, t’es au bout de la route. Il ne s’est rien passé, ça n’arrive jamais, parce que finalement t’as rien fait pour ça ! Tu le ranges dans un coin de ton cerveau et tu t’affales dans ton fauteuil pour t’abrutir de séries télé jusqu’à ce que ton existence de merde s’achève. Alors me bassine pas avec tes meurtres !

Une balle dit toujours la vérité.

Fais gaffe toi, t’as pas intérêt à passer prêt d’une gouttière sinon j’te flanque dedans !

Oui je suis malade, inspecteur. Malade de la saleté qui me ronge de l’intérieur. Malade de voir des gens qui ne connaissent pas leur chance. Malade de voir des gens se moquer de la souffrance des autres. Ça me rend malade.

Putain. J’ai tellement faim que j’échangerais ma grand-mère contre un tic-tac !

Comme disait le grand Jules César : l’avenir appartient à ceux qui se lavent tôt… Parce qu’il reste de l’eau chaude.

Rien ne sert de courir, l’autobus est déjà passé.

- Y’a ce moment dans ta vie, tu sais, où tu t’rends compte que tu t’sens plus vraiment chez toi dans la maison où t’as grandi. Du jour au lendemain, même si tu peux toujours y poser tes valises, ce qui était ta maison n’a plus cette saveur.
- J’me sens toujours chez moi à la maison.
- Tu verras le jour où tu partiras, ça arrive forcément : c’jour-là, c’est fini et tu sais que ça reviendra jamais… Un peu comme la nostalgie d’une chose qui n’existe plus et qui t’manque. Et puis, c’est p’t’être un rite de passage, va savoir, une impression que tu retrouves seulement le jour où tu réinventes ta propre maison… Tu vois c’que j’veux dire ? Pour toi, tes enfants, ta famille… Si ça s’trouve c’est un cycle, un truc dans c’genre ! Je sais pas mais cette sensation me manque… Puis peut-être qu’au fond une famille c’est ça : un groupe de gens en manque du même lieu imaginaire…
- Peut-être…