Top - Citations de films de l'année 2004

Après la pluie… le gazon est mouillé.

- Oh, Peter… J’étais sûre que tu reviendrais ! J’ai gardé ton ombre en attendant. Oh, mais j’espère qu’elle n’est pas froissée ! Tu sais, tu es exactement comme je t’avais imaginé, oh, un peu plus grand peut-être mais… Oh, tu ne pourras pas la recoller avec du savon, voyons, il faut la recoudre. C’est le meilleur moyen d’y arriver ! Cela dit, c’est drôle, je n’y avais jamais pensé auparavant, à recoudre une ombre, je veux dire. Évidemment, dès que je l’ai vue j’ai su que c’était ton ombre ! Et je me suis dit aussitôt, je me suis dit « je vais en prendre soin pour lui jusqu’à ce qu’il revienne. Oh, je suis sûre qu’il va revenir… », et te voilà, en chair et en os, Peter ! Mais c’est normal je ne connais personne qui ait perdu son ombre sans la regretter tôt ou tard ! Euh… tu n’es pas de cet avis ? Mais ce que je n’arrive toujours pas à comprendre, c’est comment Nana a pu s’en emparer ! Elle n’est pourtant pas… oh assieds-toi ce ne sera pas long. Elle n’est pas méchante pour un sou. C’est une merveilleuse bonne d’enfant, quoi qu’en pense mon père…
- Les filles sont trop bavardes !

J’aimerai vivre à la campagne, dans un endroit où on verrait le ciel.

La première règle de la guerre est de faire soi-même ce que l’on exige de ses hommes.

T’as ton ticket pour l’enfer et crois-moi tu seras bien entouré !

- T’aimes les feuilles ?
- Oui…
- C’est comme moi !

Do you want to play a game?

Reviens Véro c’était juste un petit coup de biiitte !

Rendez-vous a Montauk…

Je ne suis pas allé bosser ce matin. J’ai pris un train pour Montauk. Je ne sais pas pourquoi.

Les lions ne pactisent pas avec les hommes.

Sourissez , sourissez.

S’ils racontent un jour mon histoire, laissez-les dire que j’ai marché au côté de géants. Les hommes se lèvent et tombent comme le blé d’hiver, mais leurs noms ne meurent jamais. Laissez-les dire que j’ai vécu à l’époque d’Hector, dresseur de chevaux. Laissez-les dire… que j’ai vécu à l’époque d’Achille.

Un cœur qui bat, un nez qui flaire, une décision qui tombe, c’est Bernard Frédéric !

Alors toi, tu vas nous être aussi utile qu’un parpaing à un morpion.

Tu vois t’es allergique à cette piquette tu vas nous faire une réaction et si tu crois que je vais te cataplasmer les bronches avec du désurtiquant… T’as mal cru !

Les hommes sont des hommes si ils sont tous égaux.

Et je crois qu’on devrait affliger aux enfants qui essayent de tuer leur mère… une fessée. En fait on devrait même les tuer !

La terre a tourné pour nous rapprocher ; elle a tourné sur elle-même et en nous, jusqu’à ce qu’elle nous réunisse enfin, dans ce rêve…

Si tu m’trouvais si merveilleuse, Evan. Pourquoi tu n’as jamais appelé ? Pourquoi tu m’as laissé pourrir dans un coin ?