Kaakook

Top - Citations de films de l'année 2008

- Putain tu t’es marié ?
- Elle était en cloque, tu voulais que je fasse quoi ?
- Ah bah lui, il s’est enterré deux fois…

#421
8.04 (41 votes)

Les chats ne font pas les chiens, vieille chose !

#422
8.04 (36 votes)

Qu’est ce que vous lui voulez les négros ?

#423
8.04 (41 votes)

Mon cœur, on finit tous par porter des couches.

#424
8.03 (66 votes)

- Je suis fort, je suis Titan.
- Ferme ta bouche on voit tes dents.

#425
8 (15 votes)

Ce ne sont pas des sales cons, ce sont des gens !

#426
8 (35 votes)

Si on quitte cette damnée vallée autrement qu’en sac à viande, j’vous jure qu’je pose sur la table mes 2 billets juste pour voir ce puceau d’brooklyn jeter sa gourme dans l’pot à saké d’un des bijou d’mama-san.

#427
8 (25 votes)

C’est drôle non. On sait tous pertinemment qu’on va mourir un jour ou l’autre, et pourtant on vit comme si on était immortel. C’est quand même trop drôle.

#428
8 (15 votes)

Tu voles la bible, tu vas en Enfer, c’est comme ça.

#429
8 (15 votes)

Tu vas voir à force d’aider les autres, tu vas même plus pouvoir m’aider moi, ça va me retomber dessus encore cette histoire…

#430
8 (15 votes)

On a peu d’opportunités dans la vie et on en vient très vite à se demander comment on est devenu médiocre.

#431
8 (25 votes)

- Vous vous êtes fait dévorer par un tigre ?
- Non par un chien.
- Hein ?
- Un énorme chien !

#432 8 (45 votes)

Bon chance.

#433
8 (45 votes)

En voyant cette fille, magnifique j’me suis dit que c’était vraiment horrible la beauté. Rajouté à la jeunesse, c’est carrément injuste, presque indécent. J’observais son visage, ses sourcils, ses yeux, sa bouche, elle avait un visage sublime. Je me suis dit mais pourquoi ? Pourquoi elle ? Pourquoi elle elle est aussi belle ? Et pourquoi les gens autour n’sont pas… ne sont pas moches, disons qu’ils sont banals, invisibles. Il y a quelque chose d’affreux… C’est vraiment dégueulasse la beauté !

#434
8 (15 votes)

Qu’es ce que tu fous ? Apparemment y’a une soirée mousse à la Cave.

#435
8 (45 votes)

Il me faut simplement quelqu’un qui aime aller dans les volcans pour se faire manger par les Dieux.

#436 8 (15 votes)

J’espère que tu seras fière de ta vie. Et si tu découvres que ça n’est pas le cas, j’espère que tu auras la force de tout recommencer.

#437
8 (20 votes)

Oh un hérisson ! J’aime bien les hérissons.

#438
7.97 (54 votes)

Ne soupçonne pas les répercutions que peuvent avoir les décisions. En en tuant un, il est possible d’en sauver des centaines. C’est le code de la confrérie. C’est ce qui nous maintient et c’est pour ça que nous agissons.

#439
7.95 (29 votes)

Comment te dire maman. C’est plus fort que moi, malgré moi j’peux pas t’écouter. J’ai besoin de te montrer que j’veux pas être ce que t’es. J’voudrais te dire que je t’aime, mais j’refuse ta position, te ressembler. Je peux pas accepter l’inacceptable, de ta relation avec cet homme qui est mon père. J’ten veux d’obéïr toujours, je sais que t’as pas le choix. Mais cette peur que tu transpires j’en veux pas. J’ai besoin de me battre, c’est vital j’ai besoin de ça, l’ouvrir tout le temps sinon rien, vivre sans ça je veux pas, je peux pas, plutôt crever. Mais maman c’est une médaille pour mutilée de guerre qu’il faudrait te remettre. Jamais de ma vie dans l’épreuve de la douleur j’ai vu une femme en passer par autant de positions. J’tai vue à la verticale, à l’horizontale, par terre, sur le ventre, sur le dos, hématome en pleine face, trempée de peur, se cacher dans les chiottes devant l’évier, ensanglantée, crâne ouvert, bouche pendante, menaçante, vouloir se défendre, rapidement allongée, agrippée au pied de table, se faire traîner, un gros trou dans les cheveux, énorme poignée de mèches dans les mains du père, rage montée, genoux en sang, supplier, prier. Courage chèrement payé. Souffrance sans prix, statut de mère durement vécu, préserver, défendre, faire le moins de dégâts possible, pour les autres vies au moins. Mais rester maternelle avant tout. Ah lui l’père ça le dérange pas de te défoncer, ça veut rien dire il peut pas comprendre. Trop encombrant. Jamais soucié par son rôle d’homme. Le semblant de paix, le bonheur qu’on te fait bouffer à l’extérieur, je vois bien que tu t’y fais pas. Je sais que c’est de la dignité devant moi, t’as toujours nié, jamais avoué. Mais seule j’entend les cris de ton cœur devenus trop bruyants. Alors on peut vivre de cette façon comme si ça dérange personne, comme si ton existence a si peu de valeur. Tellement inexorable, tellement rien du tout. Mais tu pourrais crever dans cette incompréhension, crever dans le silence, crever dans l’indifférence générale, crever dans l’idée que toi et tes semblables se courberont toujours et encore. Dure constatation, mais maman même si maintenant ta bouche est close, ta face, ta gueule, ton visage est marqué par le passé. Mais sur ton front se lit que le malheur, la souffrance t’ont traversée. Sous mes yeux ta vie se déroule. Je veux pas collaborer au putain de rôle que père tente de tenir. Tout seul il peut se persuader qu’il a rien fait, il peut se convaincre que c’est pas sa faute, mais moi rien, que dalle. J’arrive pas à gober, j’avalerai rien, j’contribuerai pas, je lui rappellerai. J’y veillerai maman, je t’aime. Je t’aime.

#440
7.93 (19 votes)

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