Top - Citations de films de l'année 2008

- Je suis folle c’est ça ?
- Tu vois, je te dis que je lis dans les pensées et tu crois que c’est toi qui est folle…

César ne vieillit pas, il mûrit ! Les cheveux de César ne blanchissent pas, ils s’illuminent ! Avé moi !

- Quoi ?
- J’suis nulle en danse…
- J’devrais peut-être te forcer…
- J’ai pas peur de toi…
- Tu sais que t’aurais jamais du dire ça ?

- Ah. On s’attendait à voir entrer quelqu’un d’un peu plus grand.
- Tu t’es regardé avant de parler ?

La vérité ? Mais je viens de vous la dire la vérité. Et ça fait mal. Elle tache, elle éclabousse la vérité.

Mais moi aussi je t’emmerde ! Comme j’emmerde tous ceux qui, tous petit déjà avaient toujours la bonne gomme, le bon cahier à l’école. Toujours le bon forfait, le bon bonnet en classe de neige. Parce que c’est dans vos gênes d’être irréprochable ! Puis vous me faites chier, tient. Je sais même pas pourquoi je vous dis tout ça.

- Bouge pas !
- Ça me fera pas rester, tu sais.
- Sur les photos si, éternellement !

- On voit en vous le Léonard de Vinci du siècle.
- N’importe quoi, je ne suis pas peintre.
- Que pensez vous de votre autre surnom: « le marchand de mort » ?
- C’est pas mal. Mrs Brown, c’est un monde imparfait mais nous n’en avons pas d’autres. Je vous assure que le jour où la paix n’aura plus besoin des armes, je vendrai briques et mortiers pour hôpitaux pour enfants.
- Vous répétez souvent ?
- Chaque soir, devant le miroir, avant de me coucher.

Anne : LOLA ! LOLA !
Lola : Ça va maman ?
Anne : Alors on commence par quoi, les pétards ou les capotes ?
La mère d’Anne : C’est pas moi hein…
Anne : Oh maman ça va hein, c’est pas drôle !
Lola : J’v… j’vais t’expliquer c’est pas c’que tu crois hein…
Anne : Ouais… Ouais explique moi ?
Lola : C’est Stéphane qui a ramené ça avec Medhi.
Anne : Et ils ont vidé toute la boite de capotes ?!
La mère d’Anne : Mais je peux te la vider la… la poubelle.
Anne : Maman ça va ! Merci ! [À Lola] J’t’écoute.
Lola : Mais je sais pas moi… j’é… j’étais pas avec eux… j’étais ici… et puis euh…
Anne : Tu te fous de moi Lola.
Lola : Mais non j’me fous pas d’toi maman… J’te promet je… j’ai…
Anne : Tu te fous de ma gueule là Lola.
Lola : Mais non j’me fous pas d’ta gueule.
Anne : SI TU TE FOUS DE MA GUEULE.
Lola : Mais m’tape pas une crise pour quelques malheureux pétards alors que toi t’en fume tous les soirs dans ta chambre quand même.
Anne : Pardon ?! Mais moi j’ai 40 ans madame ! J’ai mon bac, j’ai ma maîtrise d’archi, alors quand t’auras tous ça peut-être que tu pourras en reparler ! Si j’te chope encore une fois avec ça à la maison, tu sais quoi ?! TU VIRES TU VAS VIVRE CHEZ TON PÈRE OK ?!
Lola : Ah ouais mais t’attends que ça toi d’toute manière ; que j’ailles vivre chez mon père ! Que j’me casse c’est ça ! Comme ça tu pourras t’éclater comme une ado ?! Ouais ! Parc’que t’es jalouse de moi ouais ! Tes jalouse de moi ! [Elle part] Fais chier ! Puis tu t’fais tellement chier d’puis 40 ans que t’es même pas capable de trouver un autre mec que papa, t’es même pas capable de ça en 40 ans !
La mère d’Anne : Alors euuh… toi aussi tu te défonces avec des pétards…?!
Anne : Hein ?! Qu’est ce que vous avez tous à me faire chier aujourd’hui là ?! Ça va ! Ça va !

- Où est ta ferme ?! Américain !
- Ma ferme ? … Ma ferme ta gueule ! … Je sème du plomb tête de con !

Comporte toi comme un humain, j’ai des voisins j’te rappelle !

Tu es cette nuance qui ajoutée à la palette fait que la couleur devient belle.

- Il n’y a pas de justice.
- Et Duke, c’est juste ? Et l’Europe, c’est juste ? Dans mon état, je peux pas aller à Londres, tu trouves ça juste ? Le bowling… c’est tout ce que je peux faire. Le bowling.

Introduire une goutte d’anarchie, déranger l’ordre établi et tout devient brutalement… chaotique…

En fait gagner ou perdre y a pas de différences, ça s’arrête ce soir, c’est mon combat, chacun a le sien.

Je préférerais mourir que de vivre dans un monde où tu n’existes pas !

Le ciel est sans limites. Le monde est vaste.

C’est pas compliqué de parler le ch’timi. On ne dit pas : « pardonnez-moi je n’ai pas bien saisi le sens de votre question », on dit : « Hein ? ».

Tu trouves toujours du bon dans les gens même quand il n’y en n’a pas.

Tout en moi a été conçu pour te sembler attirant, ma voix, mon visage, et même mon odeur. Comme si j’avais besoin de tout ça. Comme si tu pouvais m’échapper. Comme si tu pouvais te battre contre moi !