Top - Citations de films de l'année 2008

- Mais t’es cinglé je ne suis pas un astronaute !
- Est-ce que tu portes des vêtements en aluminium ?
- Hum, ouais.
- Est-ce que tu es dans une fusée ?
- Ouais.
- Est-ce que tu es dans l’espace ?
- Ouais.
- Est-ce que tu es David Bowie ?
- Non.
- Alors t’es sûrement un astronaute !

Tu savais ma belle, qu’il fallait sucer plusieurs crapaud avant de tomber sur le prince charmant.

Along the way you bump into people who make a dent on your life. Some people get struck by lightning. Some are born to sit by a river. Some have an ear for music. Some are artists. Some swim the English Channel. Some know buttons. Some know Shakespeare. Some are mothers. And some people can dance.

There’s a Hole Like a Great Black Pit
And It’s Filled With People Who Are Filled With Shit
And The Vermin Of The World Inhabit It.

C’est une psychotique obsédé par l’ordre et l’ambition, complètement coincé !

Il est pas trop chum Paul-Henry ?

Goûteur de miroir !

Tu as des ennuis, mon pote. De gros ennuis. Les grizzlis enragés te paraitront adorables quand tu verras ce qui t’attend à ton retour.

La ni pattes ni sushi.

You either die hero or you live long enough to see yourself become the vilain.

La vie étant ce qu’elle est, une série d’existences et d’incidents qui s’entrecroisent et que… PERSONNE ne peut maitriser !

- Why didn’t you call the police?
- Well you know, I prayed for them to come but nobody answered.

- Tu ne m’as pas dit bonjour ce matin.
- Ah, bonjour.

At last! My arm is complete again!

Let me get this straight: You think that your client, one of the wealthiest, most powerful man in the world, is secretly a vigilante who beats criminals to a pulp with his bare hands. And your plan is to blackmail this person? Good luck.

- Trois façades mari…?
- Marinées !
- Maritimes !

J’ai compris que j’ai besoin de toi. J’ai besoin de l’absence de tes bras quand tu me serres contre toi, j’ai besoin de sentir le poids de ton corps sur le mien, j’ai besoin de parler avec toi, de rire, j’ai besoin de toi, j’ai besoin de toi pour vivre, j’t’en supplie mon amour, pardonne-moi, pardonne-moi…

- Harvey ?! Je te croyais mort.
- À moitié.

- Va, fonce et conquiert cette femme ! Tu suis ? Tu vas lui regarder le blanc de l’œil, tu vas te pencher en avant, tu suis ? Un peu en avant ou presque jusqu’au bout, hum, La tu la laisses genre se pencher vers toi, presque encore un peu jusqu’à ce que vous soyez penché à une épaisseur de lèvre l’un de l’autre hein ? Et c’est là que tu lui dis… combien tu la hais.
- En fin de compte, je… je… j’aimerais autant dire que je l’aime…
- Oooh ! Non d’un chien de ma chienne ! Youh youh ! Tu sais que tu es un bourreau des cœurs ?! Hein ! Tu le sais ?! Alors, écoute ma parole ! Tu vas te lever ! Tu entends cette parole ?
- Oui…
- Je ne t’ai pas entendu !
- Oui !
- Bien ! Tu vas sortir de là ! Tu vas quitter ce trou ! Tu vas te présenter tout près de cette femme ! Tu vas te présenter tout près de son nez !
- Et je lui dis quoi ?
- Et c’est là que tu lui diras : « Baby, JE TE KIFFE » !

My monkey man!