Top - Citations de films de l'année 2008

La vie est trop courte pour se faire chier un samedi soir.

Peter : [à Lucy] Quand tu seras plus grande, tu comprendras…
[Baiser du prince Caspian avec Susan]
Lucy : [à peter] Quand je serais plus grande, je comprendrais ?!
Edmund : Bah moi, je suis plus grand et j’ai pas envie de comprendre…

Why so serious?

Donc tu admets que croire au mariage serait comme croire au père noël ?

C’est quelque chose de revenir chez soi. C’est le même cadre, la même odeur, la seule chose qui ait changé, c’est vous.

Je suis jamais sorti avec Alice. La vérité, c’est que je l’aime trop pour ça.

Notre vie est définie par des opportunités… Même celles qu’on manque.

Le monde est un terrain de jeu, tous les enfants savent ça, mais on finit par l’oublier en grandissant…

Je me souviens d’un commentaire d’un de tes professeurs sur ton carnet de note : « A touché le fond… mais creuse encore ! »

- De toute façon, qu’on l’ait ou qu’on l’ait pas cette saloperie de Bac, dans 20 ans, on sera grosse avec 3 gamins casses couilles… Et on sera cocufiées jusqu’à la moelle…
- Mais attends ne soit pas si pessimiste ! Si ça se trouve on est stérile !

C’est bien, tu as de l’humour, tu as fait les soldes !

- C’est à toi ce T-shirt ?
- Euh non, en fait c’est à ma grand-mère. Elle me l’a prêté pour la fête.
- Arrête tes conneries, y en a beaucoup des comme ça ?!
- Bin euh… j’peux pas trop lui demander parce qu’elle est morte.

Je crois que je n’ai plus la force d’être loin de toi un instant.

Hier est derrière, demain est mystère, et aujourd’hui est un cadeau, c’est pour cela qu’on l’appelle le présent.

- Je vais être sincère avec vous, mon père avait une philosophie : « la paix, c’est en avoir une plus grosse que le voisin ».
- Réplique idéale de la part du grossiste.

Je voudrai te serrer encore et encore, jusqu’à ne plus savoir si je suis toi ou moi,
me blottir dans tes bras sans baisers ni paroles, oublier qui je suis et n’être plus qu’à toi.

La mort est paisible, simple. C’est beaucoup plus difficile de vivre.

On rencontre souvent sa destinée par les chemins qu’on a pris pour l’éviter.

- Part avec moi Latika !
- Et on vivrait de quoi ?
- D’amour.

- Eeeh regarde la famille avec la meuf trop chelou, là ! J’suis sûr que c’est pour nous, ça !
- Ouais bah ça va, ça te change pas trop de ta famille, toi !