Kaakook

Top - Citations de films de l'année 2008

Do I really look like a man with a plan ?

#261 8.73 (45 votes)

- Tu sais Eg’ c’est une romantique, genre tu débarques chez elle avec un million de roses et tu lui fais un spitch, comme dans les films à la Hugh Grant !
- C’est trop pourri les spitch dans les films.
- Non mais va te coucher, on en rêve toutes. Tu sais nous les filles, faut nous retourner, sinon on vous calcule pas !
- Sauf quand on s’appelle Vincent quoi !
- Non mais t’a vu comme il est beau gosse aussi.
- Merci ça m’aide grave ça.

#262
8.73 (61 votes)

Je te rappelle que t’es son modèle sur terre. Alors si elle commence à te suivre sur la route du cul…

#263
8.73 (108 votes)

- Tu vas lui proposer de sortir un soir ?
- Sortir un soir ? Nan, c’est une mauvaise idée, très mauvaise. Non, ça ne fera rien sur le plan thérapeutique.
- Et t’as une meilleure idée ?
- C’est simple, je vais m’amuser un peu avec elle…

#264
8.72 (29 votes)

This is what happens when an unstoppable force meets an immovable object.

#265 8.71 (52 votes)

Putain de sa race, la chatte à sa mère la pute !

#266
8.71 (408 votes)

Slaughter is the best medicine.

#267 8.71 (60 votes)

- Je me disais que rien ne dure et que c’est vraiment dommage.
- Certaines choses durent.

#268
8.71 (60 votes)

- Toi tu pues l’alcool à plein nez !
- C’est parce que j’ai bu pov’conne !

#269
8.71 (60 votes)

Vendredi 3 décembre 93, le premier jour du reste de ma vie…

#270
8.71 (60 votes)

- You’re funny.
- I’ve been called a lot of things, but never funny.

#271
8.7 (36 votes)

Cher Charlie,

Bonjour. Comment s’est passée cette année ? Charlie, j’ai des choses à te dire. Lors de notre première rencontre je t’ai dis que mon fiancé m’avait plaquée, c’était un mensonge. La vérité c’est qu’il est mort. Sur le mot qu’il a laissé il a seulement écrit « Je suis désolé, je souffre trop ». J’étais anéantie, je ne pouvais pas l’accepter. J’ai commencé à boire ce qui, comme tu l’as vu, me convient très mal. J’étais souvent ramenée en taxi à la maison par des étrangers, c’est pour ça que mon père s’est comporté ainsi avec toi. Franchement si t’étais amené à le connaitre tu verrai que c’est quelqu’un de bien. J’étais très proche de la mère de mon fiancé, j’ai essayé de continuer à la voir. Elle disait qu’elle voulait me faire rencontrer un type super. Rien que l’idée me faisait mal ! Et je t’ai rencontré. Tu me fais penser à lui, comme lui tu es solide, gentil et sûr de toi à ta manière. Physiquement vous vous ressemblez. Vous avez beaucoup d’autres points communs, des petits détails, mais qui ont leur importance. On s’était rencontré sur un quai de métro, comme toi et moi, comme lui tu avais un mouchoir. J’étais très malade à l’époque et il s’est occupé de moi, comme toi. Au fur et à mesure que je te fréquentais je voyais mon brouillard se dissiper un peu, j’ai mis ça sur le compte de vos ressemblances. Alors j’ai décidé que toi et moi on ferait tout ce que je faisais avec lui de cette façon ça serait comme s’il n’était jamais mort et ma douleur disparaitrait. Pour le trente-troisième jour de notre rencontre il m’avait apporté un rose, je t’ai demandé de faire pareil. On avait évoqué notre avenir sous cet arbre, c’est le même que j’ai choisi pour toi et moi. Il avait un restaurant préféré, je t’y ai emmené. Il s’est noyé dans l’océan, j’ai fais en sorte que tu y tombes et je t’ai sauvé. Tout ça c’était complètement dingue et égoïste, je me suis trompée je sais mais la douleur peut rendre fou. De toute façon ça ne marchait pas. Et à un moment j’ai réalisé que je t’aimais bien, et pas parce que tu faisais tout comme lui, mais parce que c’était toi que j’aimais bien. Chaque fois que je commençais à être heureuse, je refoulais ce sentiment, je me sentais coupable d’être heureuse, coupable de me laisser aller, de l’oublier ne serait-ce qu’une minute. J’avais l’impression de le trahir et je ne pouvais que te blesser et ça ne me ressemble pas. Je ne suis pas comme ça, un jour j’espère pouvoir te le prouver. Il fallait faire quelque chose, pour donner une chance à l’avenir je devais rompre avec le passé. Pour ça j’avais besoin de temps. J’espère avoir guéri un an plus tard et être près de toi au moment ou tu lis cette lettre. Mais je ne suis pas là. Non pas parce que je ne suis pas amoureuse de toi, parce que je le suis. Et non parce que tu ne m’as pas manqué, parce que tu me manques déjà. C’est juste moi qui ne vais pas bien. Notre histoire n’est pas terminée. Tu m’attendras, tu peux m’attendre ? De tout mon cœur j’espère que oui.
Je t’aime, Jordan.

#272
8.7 (44 votes)

- Vas te faire voir !
- Ouais, c’est ce que je te disais.

#273
8.7 (36 votes)

- Tu sais à qui je dois ces cicatrices ?
- Non, mais je sais à qui tu devras celle-là !

#274 8.69 (143 votes)

- Ravie de vous voir, il nous faut une arbitre.
- Elle croit qu’on triche.
- Je sais que vous trichez. Sifflez à votre guise, Bella.

#275 8.69 (365 votes)

Dans mon monde à moi, il n’y a que des poneys, ils mangent des arcs-en-ciel, et ils font des cacas papillons !

#276
8.69 (158 votes)

J’ai choisis le basketball, mais j’ai aussi choisis le théâtre. L’université de Californie à Berkeley m’offre de faire les deux, c’est pourquoi à l’automne prochain je rejoindrais celle-là. Mais plus important encore, je choisis la personne qui fait inspire mon cœur, l’université où j’irai, se trouve à exactement 52,30 kilomètres de toi.

#277
8.68 (134 votes)

- J’lui ai envoyé un texto, j’me suis fait passer pour un jeune mec.
- Tu lui as écrit quoi ?
- T’es belle j’te kiffe trop grave.

#278
8.67 (50 votes)

- Pas reçu argent, maintenant vouloir 100 millions ! Toi payer ou sinon demain simple Jack mourir !
- Excellent… Une minute, je note, alors : 100 millions… Oh mais attendez, j’ai une meilleur idée, on aurait dit qu’au lieu de 100 millions, à la place je vous aurais envoyé une photo dédicacée de mes couilles, et puis vous pourrez le buter, flinguer cette pelle à merde, vous faire plaisir, vous pouvez vous lâcher, en attendant et selon la formule consacrée, vas te faire enculer grave !

#279
8.67 (65 votes)

Il arrive que deux âmes se rencontrent pour n’en former plus qu’une. Elles dépendent alors à jamais l’une de l’autre. Elles sont indissociables et n’auront de cesse de se retrouver, de vie en vie. Si au cours d’une de ces existences terrestres une moitié venait à se dissocier de l’autre, à rompre le serment qui les lie, les deux âmes s’éteindraient aussitôt. L’une ne peut continuer son voyage sans l’autre.

#280
8.67 (50 votes)

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