Quand quelqu’un disparaît de ta vie, il se peut malheureusement que tu le revois plus jamais. Et t’auras peut-être plus l’occasion de lui dire toutes les choses que t’as pas eu le temps de lui dire. Alors tu prends un crayon et une feuille de papier, et t’écris une lettre. Ça peut être une longue lettre ou t’écris ce que tu ressens ou simplement un petit mot. T’écris cette lettre à la personne qui est partie mais tu l’envoies pas. Non, au lieu de ça tu la plies et tu l’approches d’une flamme pour la brûler. Comme ça le vent l’emporte et la douleur qui est en toi s’envole.
C’est le syndrome du camp de vacances. Tu pars en camp de vacances et tu t’éclates comme un malade, c’est les meilleures vacances de ta vie. Puis c’est la rentrée et tu passes ton année à rêver aux prochaines vacances ou tu feras tout en mieux. Et une fois que tu y es… tout est différent. Les moniteurs, les gonzesses… même tes potes ont changés, ils sont plus comme avant. Et là tu piges. C’était ça tes meilleurs années… les meilleures. Et elles reviendront plus.
- Ma tante a vécut la même chose. Mais elle a réussi à changer sa vie. - Elle devait être forte. - C’était la personne que j’adorais le plus, jusqu’à maintenant…
- Tu vois la route là ? - Oui ? - Tu marches tout droit pendant 2 heures sans te retourner ! - Ah ! Et ça va me faire quoi ? - Des vacances pour tout le monde !
- Dites moi Roxane, c’est une ceinture ou une jupe que vous avez là ? Un peu plus on verrait votre culotte. - Bah oui, c’est pour ça que j’en mets pas en fait.
Je croyais que t’étais la meilleure chose qui me soit arrivé mais maintenant je suis en train de me dire que t’es peut-être la pire chose au contraire.
Peeta : Tu le connais ce type… Haymitch… Katniss : … Peeta : Katniss, c’est notre mentor il a gagné autrefois ! Katniss : … Peeta : Je sais que tu es énervée mais un peu d’aide ça ne serait pas trop demander ! [Silence puis arrivé d’Haymitch] Haymitch Abernathy : Mes félicitations… [Silence] Peeta : Bon alors, on commence par quoi ? Haymitch Abernathy : Oh là, oh là on a tout le temps, d’habitude ils sont pas aussi impatients ! Peeta : Ah bon, vous êtes notre mentor… Haymitch Abernathy : Votre mentor ?! Peeta : Oui notre mentor, vous devez nous aider à attirer des sponsors et nous conseiller ! Haymitch Abernathy : Ah d’accord, eh bien… acceptez la possibilité de votre mort imminente et comprenez au plus profond de vous même que je ne pourrais rien faire pour vous sauver ! Peeta : Bah vous êtes là pour quoi alors ? Haymitch Abernathy : Heu… pour les rafraîchissement ! Peeta : Bon, c’est bon je crois que vous en avez assez abusé ! Haymitch Abernathy : Tu m’as fait renverser mon verre sur mon nouveau pantalon, alors je pense que je vais finir ce verre dans ma chambre ! [Haymitch quitte la pièce] Peeta : Je vais le faire changer d’avis ! Katniss : Mais arrête ça sert a rien ! Peeta : Je vais essayer !
- Monsieur Candie… [Il range ses lunettes dans sa veste]. Normalement je vous dirais « auf wiedersehen », mais attendu que « auf wiedersehen » signifie « jusqu’à l’au revoir » et attendu que je ne désire nullement vous revoir, je me contenterais de vous dire : adieu. [Il s’en retourne vers Django et son épouse pour repartir quand…] - Un dernier instant, Docteur ! - Quoi ? - [Il se lève] C’est la coutume, ici dans le Sud, une fois qu’un accord est conclu, que les deux partis… se serrent la main. [Il ricane] C’est un gage de bonne foi… - Oh, je ne suis pas du Sud. - Mais vous êtes sous MON toit, Docteur… Je crains de devoir insister. - D’insister ? Mais à quel sujet ? Que je vous serre la main ? En ce cas je me dois d’insister lourdement en sens inverse. - [Piqué au vif] Savez-vous ce que je pense de vous ? - Quoi, ce que vous pensez de moi ? Ça non, je n’en sais rien. - Je pense que vous êtes un mauvais perdant… - [Froidement] Et moi je pense que vous êtes un abominable vainqueur. - [Tout aussi froidement] Il n’en reste pas moins, qu’ici dans le comté de Shicasso, qu’un accord ne vaut rien tant que les deux partis ne se sont pas serrés la main… Toutes ces signatures de papelard ne signifient que dalle… Si VOUS ne ME serrez pas la main ! - [Imitant la mimique de Candie] Alors… Si JE ne VOUS serre pas la main… Vous allez sacrifier 12 000 dollars ? Cela m’étonnerait fort. - Monsieur Putch [son bourreau], si elle essaye de sortir avant que ce lèche-nègre d’allemand ne me serre la main… trucidez-la… [L’homme de main pointe son fusil vers Bromehilda, Django s’interpose calmement avant d’échanger un regard avec le Docteur. Celui-ci se retourne lentement vers Candie.] - [Sur un ton faussement léger] Vous tenez absolument à ce que je vous serre la main ? - [Frétillant d’une fausse joie tout en lui tendant la main] J’insiste ! - [En haussant des épaules] Ohoh, si vous insistez… [Il s’avance et sort son pistolet de poignet miniature avant de lui tirer en plein cœur. Candie titube et tombe, raide mort.] [Parlant à Django pendant que Putch pointe son fusil vers le Docteur] Je suis désolé. Je n’ai pas pu résister…
- Hé toi, tu ne m’as quand même pas oublié, j’espère ? J’avoue que je n’ai pas du tout apprécié ce que tu m’as fait l’autre jour. Je vais vous écraser Kise et toi. - Bien sûr que je me souviens de toi Taiga Kagami mais il faut que je te prévienne d’une chose : je peux tolérer qu’un joueur de mon équipe peut s’adresser à moi sans baisser les yeux en revanche, je ne laisse jamais un adversaire me regarder de haut. À genoux insolent. - Pourquoi il a fait ça ? Il n’a pas utilisé toutes ses forces. - Quant à toi Tetsuya, si tu veux te mesurer à moi, prépare-toi à en baver car n’oublie pas que c’est moi qui ai fait révéler tes capacités hors-normes quand on était à Teiko.
- Je ne me suis jamais servi d’une épée ! - Et j’espère que ça n’arrivera jamais. Mais si ça arrivait rappelez-vous ceci : Le vrai courage n’est pas de savoir quand supprimer une vie… mais quand en épargner une.
Le théâtral et les subterfuges en imposent aux non initiés mais nous, nous avons été initié, n’est ce pas Bruce, au sein de la Ligue des Ombres… Et tu nous as trahis.
T’as peur de te sentir vivant, t’as peur de vivre, c’est ça la vérité. T’es un hypocrite, t’es un conformiste, t’es un menteur. Je me suis confié à toi et tu m’as jugée. T’es qu’un sale con.
J’ai remarqué que quand on est triste ou qu’il y a une mauvaise nouvelle, la vie autour ne change pas. Comme le jour où mamie est morte, j’étais dehors, et il y avait du vent, et quand on m’a dit que mamie était morte, il a quand même continué à y avoir du vent dans mes mollets. Quand on est triste, les objets ne sont pas tristes et ils font comme si de rien n’était, et ça, ça me rend encore plus triste.