Kaakook

Top - Citations de films de l'année 2012

L’amour c’est n’avoir jamais à dire qu’on est désolé.

#121
8.68 (43 votes)

- I count six shots, nigger.
- I count two guns, nigger.

#122
8.65 (27 votes)

Qui êtes-vous, vous qui êtes armés aux portes de Thorïn, fils de Thraïn, fils de Thror, Rois sous la Montagne, et que voulez-vous ?

#123 8.64 (56 votes)

On pourrait le faire tu sais, s’enfuir et vivre dans les bois.

#124 8.64 (130 votes)

Vous êtes la petite étincelle qui pourrait embraser Panem.

#125 8.62 (106 votes)

Mon cher Frodon, tu m’as demandé un jour si je t’avais tout raconté à propos de mes aventure, bien que je puisse affirmer que je t’ai dit la vérité, je ne t’ai peut être pas tout dit. Je suis vieux maintenant Frodon, je ne suis plus le hobbit que j’étais. Je pense qu’il est temps que tu saches ce qu’il s’est réellement passé. Tout commença, il y a fort longtemps, dans une lointaine contrée à l’est. Une contrée comme on en trouve pas dans le monde d’aujourd’hui.
Là, était la ville de Dale, ses marchés connus à des lieux à la ronde, regorgeant des produits de la ville et de la vallée, paisible et prospère. Car cette ville était située aux portes du plus grand royaume de la terre du milieu, Erebor, place forte de Thror, roi sous la montagne, le plus puissant des seigneurs nains. Thror régnait avec la plus grande confiance et il ne doutait pas de l’avenir de sa maison car sa lignée était assurée dans la personne de son fils et celle de son petit fils. Ah Frodon, Erebor, la splendeur de cette ville fortifié, bâtie au sein même de la montagne était légendaire. Sa richesse provenait de la terre, de pierres précieuses, de roc et d’immenses filons d’or qui couraient telles des rivières à travers la roche. L’habileté des nains était sans égale, ils façonnaient des objets d’une grande beauté, incrustés de diamants, d’émeraudes, de rubis et de saphirs. Ils creusaient toujours plus profond, loin dans l’obscurité et c’est là qu’ils le trouvèrent, le cœur de la montagne : l’Arkenstone. Thror l’appela le joyau du roi, il y vit un signe, le signe qu’il était roi de droit divin. Tous devraient lui rendre hommage, même le grand roi des elfes : Thranduil. Mais les années de paix et d’abondance ne devaient pas durer, peu à peu les jours devinrent lugubres et les nuits de veilles s’installèrent. L’amour de l’or était devenu chez Thror une passion dévorante. Une maladie avait commencé à s’emparer de lui, une maladie de l’esprit. Et quand la maladie vous ronge, le malheur n’est pas loin. Ils entendirent tout d’abord un bruit semblable à celui d’un ouragan qui venait du nord. Et les pins de la montagne qui grinçaient et craquaient sous l’assaut du vent roulant.
« - Balin, sonne l’alarme. Appelle tout de suite la garde !
- Qui a t il ?
- Un dragon, UN DRAGON ! »
C’était un cracheur de feu venu du nord, Smaug était venu. Ce jour vit des morts aussi cruelles qu’inutiles car cette ville des hommes n’était rien pour Smaug. Il visait un tout autre but, les dragons convoitent l’or avec une avidité féroce. Erebor était perdue car un dragon veille sur son butin aussi longtemps qu’il vit.
« Sauve qui peut, aidez nous, je vous en prie !! »
Thranduil ne mettrait pas la vie des siens en péril face à la colère du dragon, aucune aide ne vint des elfes ce jours là, ni aucun autre jour depuis. Dépouillés de leur royaume, les nains d’Erebor furent réduis à l’errance dans les terres désolés. Peuple jadis puissant et désormais abattu. Le jeune prince nain accepta les besognes qui se présentaient et travailla dur dans les villages des hommes. Mais il se rappela toujours la montagne qui fumait sous la lune, les arbres qui flambaient, torches de lumières, car il avait vu le feu du dragon dans le ciel et une ville réduite en cendres. Jamais il ne pardonna et jamais il n’oublia.

#126 8.62 (84 votes)

Ah ! Tu crois que l’obscurité est ton allié. Tu n’a fait qu’adopter la pénombre. Moi je suis né dedans, j’ai été façonné par elle. Je n’ai découvert la lumière qu’a l’âge d’homme, et alors, elle m’a juste paru AVEUGLANTE !

#127 8.61 (69 votes)

- Croyez-vous que l’homme et la femme devraient être égaux ?
- Seigneur non, les hommes seraient hors de contrôle.

#128
8.61 (26 votes)

Sous le vieux saule, au fond de la prairie,
L’herbe tendre te fait comme un grand lit
Allonge-toi, ferme tes yeux fatigués,
Quand tu les rouvriras, le soleil sera levé
Il fait doux par ici, ne crains rien
Les pâquerettes éloignent le soucis
Tes jolis rêves s’accompliront demain
Dors, mon amour, oh, dors, mon tout-petit.

#129 8.61 (62 votes)

Nous saurons retrouver le chemin qui nous ramène à l’autre.

#130
8.6 (90 votes)

- T’as fumé ou quoi ?
- Sachez Mademoiselle, qu’on a essayé de me brûler à maintes reprises mais que je n’ai jamais émis une seule fumée !

#131
8.6 (33 votes)

- Je refuse d’être seulement un pion dans leur espèce de jeux.
- Tu veux dire que tu ne tueras pas ?
- Non, c’est pas ça, je tuerais s’il le faut, je ferrai comme tout le monde c’est évident mais, je veux juste pouvoir leur montrer, d’une façon ou d’une autre, que je ne leur appartiens pas… et, et si je dois mourir, je veux rester celui que je suis.

#132 8.6 (33 votes)

Le voilà mon secret Captain… je n’ai jamais cessé d’être en colère.

#133 8.6 (33 votes)

- Qu’est ce que j’ai… dans ma poche ?
- DES MAINS !
- Faux, deuxième essai…
- Des arrêtes, des dents de gobelins, des coquillages, des ailes de chauve souris… Nan… UN COUTEAU !! Rhoo tais toi !!
- Faux, hélas, dernier essai…
- DE LA FICELLE… Ou rien du tout !!

#134 8.59 (89 votes)

And may the odd be ever in your favor.

#135 8.57 (102 votes)

Montre-toi, ménestrelle lilliputienne !

#136
8.57 (32 votes)

Je ne veux pas perdre le garçon avec le pain.

#137 8.57 (95 votes)

Si on ne peut pas protéger la Terre… je peux vous assurer qu’on la vengera.

#138 8.57 (25 votes)

Comment peut on regarder la femme qu’on aime et se dire que c’est le moment de lui tourner le dos ?

#139
8.56 (136 votes)

Sam : Tu comptes faire quoi, quand tu termineras le lycée ?
Charlie : Eh bien, ma tante Helen m’a dit que je devrais être écrivain. Mais je ne sais pas sur quoi écrire.
Sam : Tu devrais écrire sur nous.
Patrick : Oui, appelle le « La salope et le Faucon ». Fais de nous des détectives !

#140
8.55 (45 votes)

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