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Les citations qui parlent du bonheur.

Je vais te dire un truc que tu sais déjà. Le soleil, les arcs en ciel, c’est pas le monde ! Y’a de vraies tempêtes, de lourdes épreuves aussi grand et fort que tu sois la vie te mettra a genoux et te laissera comme ça en permanence si tu la laisses faire. Toi, moi, n’importe qui, personne ne frappe aussi fort que la vie, c’est pas d’être un bon cogneur qui compte, l’important c’est de se faire cogner et d’aller quand même de l’avant, c’est de pouvoir encaisser sans jamais, jamais flancher. C’est comme ça qu’on gagne !

9 (602 votes)

Il arrive un jour, un jour où t’es debout quelque part, ou tu te rends compte que tu ne veux être personne de ton entourage. Tu veux pas être ce putain de looser à qui t’a démonté la tête, ni ton père, ni ton frère, personne de ta putain de famille. Tu refuses aussi d’être Madame la juge, tu ne veux même pas être toi-même, tout ce que tu veux c’est partir en courant et sortir à fond la caisse de l’endroit où tu te trouves.
Et soudain ça arrive, quelque chose se déclenche et à ce moment-là tu sais que les choses vont changer, elles ont déjà changé. Et à partir de là plus rien ne sera jamais pareil.
Et tout à coup tu te rends compte que tout est fini, pour de bon. Il n’y a pas de marche arrière, tu le sens. Et puis après tu essaies de te rappeler à quel moment tout a commencé et tu découvres que c’est plus vieux que ce que tu pensais, bien plus vieux. Et c’est là, seulement à ce moment-là que tu réalises que les choses n’arrivent qu’une fois. Et quelques soient tes efforts, tu ne ressentiras plus jamais la même chose, tu n’auras jamais plus la sensation d’être à trois mètres au-dessus du ciel.

8.96 (539 votes)

Notre peur la plus profonde n’est pas d’être inapte, notre peur la plus profonde est d’avoir un pouvoir extrêmement puissant. C’est notre propre lumière et non notre noirceur qui nous effraie le plus. Nous déprécier ne servira jamais le monde et ce n’est pas une attitude éclairé de se faire plus petit qu’on est en espérant rassurer les gens qui nous entourent. Nous sommes tous conçus pour briller comme les enfants. Cette gloire n’est pas dans quelque uns elle est en nous et si nous laissons notre lumière briller nous donnons inconsciemment aux autres la permission que leurs lumières brillent. Si nous sommes libérés de notre propre peur notre présence suffit alors à libérer les autres.

8.6 (233 votes)

Tu m’as offert l’éternité dans un nombre de jours limités, et j’en suis heureuse.

9.42 (541 votes)

Le meilleur moyen de réaliser l’impossible est de croire que c’est possible.

9.4 (2174 votes)

Il y a des chansons qui nous donnent envie de danser. D’autres qui nous donnent envie de chanter à tue-tête. Mais les meilleurs chansons sont celles qui nous ramènent à l’instant précis où on les a entendus pour la première fois, et qui à nouveau vous brisent le cœur.

9.38 (1414 votes)

- Tu m’aimes comment ?
- Je t’aime jusqu’aux étoiles !

9.37 (1018 votes)

La meilleure chose qui m’soit arrivée dans la vie c’est toi, mais tu sais quoi ? Le problème c’est que c’est aussi la pire !

9.36 (1780 votes)

C’est vrai, perdre ce dont on rêve est tragique, mais réaliser ses rêves, je pense qu’on ne peut rien souhaiter de mieux. Cette année j’ai rêvé de trouver l’amour, de plonger mon âme dans une autre, réveiller un cœur anesthésié par la peur de souffrir. Mon rêve s’est réalisé et si ça, c’est une tragédie, alors je souhaite la connaître à nouveau. Parce qu’il n’y a rien de plus précieux au monde.

9.34 (835 votes)

- Ne pars pas avec lui, s’il te plait !
- Pourquoi ? Donne moi une raison.
- Parce que tu ne le veux pas.
- Insuffisant…
- Parce que je ne le veux pas.
- Insuffisant…
- Qu’y a-t-il d’autre ?
- La vraie raison… je resterai exactement où je suis et ne monterai pas en voiture… Trois mots… Sept lettres, dis-les et je suis à toi.
- Je… Je…
- Merci. C’est tout ce que j’avais besoin d’entendre.


J’étais très bien comme j’étais, occupé à me détruire, et puis tu t’es pointée et tu m’as dis de me bouger, et pour la première fois de ma vie j’ai eu l’impression que quelqu’un en avait quelque chose à foutre de ma gueule et que cette personne méritait que je fasse des efforts. Aujourd’hui, je pulvériserai le record du plus gros sandwich si tu me le demandais, je tabasserais les mamies, je remplirais de soda les fleuves du pays… J’ai merdé sur toute la ligne je l’admets, t’imagines pas comme je regrette. Je t’aime Jal, t’es tout ce que j’ai au monde… T’as de la morve qui est entrain de couler.

9.34 (1679 votes)

Je sais que je ne peux prouver que ce n’est pas un de leurs pièges mais ça m’est égal. Je suis moi. Je m’appelle Valérie. Je ne pense pas que je vivrais encore très longtemps et je voulais raconter ma vie à quelqu’un. Voici la seule autobiographie que j’écrirais. Et Mon dieu ! Je le fait sur du papier toilette !

Je suis née à Nottingham en 1985. Je ne me rappelle pas grand chose de cette époque lointaine mais je n’ai pas oublié la pluie. Ma grand-mère possédait une ferme à total brook et elle avait coutume de dire que Dieu vivait dans la pluie. Après avoir réussi l’école primaire je suis rentrée au collège de jeunes filles. C’est là que j’ai rencontré ma première petit amie. Elle s’appelait Sarah. Ses poignets… Ils étaient magnifiques. Je pensais qu’on s’aimerait pour toujours. Je me souviens de notre professeur nous expliquant que ce n’était qu’une phase de l’adolescence qu’on oublierait. Sarah a oublié, pas moi.

En 2002 je suis tombée amoureuse d’une fille qui s’appelait Christina. C’est cette année là que j’ai tout dit à mes parents. Je n’aurais pas pu si Chris ne m’avait pas tenu la main. Mon père ne m’a même pas regardé. Il m’a ordonner de partir et de ne plus jamais revenir. Ma mère, ne disait rien. Mais je n’avais fait que leur dire la vérité. Était-ce si égoïste ? On peut abandonner son intégrité pour presque rien, mais c’est tout ce que nous possédons réellement, tout ce qui nous reste à la fin ; et dans ce petit espace, nous sommes libres.

J’ai toujours su ce que je voulais faire de ma vie. Et en 2015 j’ai joué dans mon premier film, Les marais salant. ça a été le rôle le plus important de ma vie. Pas pour ma carrière mais parce que c’est là que j’ai rencontré Ruth. Dès notre premier baiser j’ai su que jamais je ne voudrais embrasser d’autres lèvres que les siennes. Nous avons emménagé ensemble dans un petit appartement à Londres. Pour moi, elle faisait pousser des Scarlet Carson dans notre jardinière et notre intérieur embaumait toujours la rose. Ce furent les plus belles années de ma vie.
Mais la guerre ne faisait qu’empirer aux États-Unis et elle finit par toucher Londres. Après ça il n’y eut plus jamais de roses, pour personne. Je me souviens de quelle façon le sens des mots se mit à changer, de quelle façon des mots peu familiers comme « collatéral » et « interprétation » devinrent effrayants ; tandis que d’autres comme « le feu nordique » ou « article d’allégeance » montaient en puissance. Je me rappelle quand « différent » a pris le sens de dangereux. Je ne comprends toujours pas, pourquoi nous détestent-ils à ce point ?
Ils arrêtèrent Ruth alors qu’elle faisait les courses. Je n’ai jamais autant pleuré de ma vie. Ils n’ont pas tardé à venir me chercher.
C’est bizarre de me dire que ma vie finira dans un endroit aussi horrible. Mais pendant trois ans j’aurais eu des roses sans jamais devoir m’excuser.
Je vais mourir ici. Toutes les parties de mon être vont périr ; toutes, sauf une, un détail, un tout petit détail fragile, mais qui est la seule chose dans ce monde qui ait de la valeur. Il ne faut jamais le perdre ou l’abandonner. Il ne faut jamais laisser personne nous le prendre.

J’espère, qui que vous soyez que vous vous échapperez d’ici, j’espère que le monde changera, et que tout s’arrangera. Et ce que j’espère plus que tout, c’est que vous me comprendrez quand je vous dit que même si je ne vous connaît pas, même si je n’ai jamais eu l’occasion de vous rencontrer, de rire avec vous, de pleurer avec vous ou de vous embrasser, je vous aime. De tout mon cœur. Je vous aime.
Valerie

9.31 (442 votes)

Ne laisse personne t’empêcher de croire en toi, même pas moi… Si tu as un rêve, tu dois le protéger. Tu verras que les gens incapables d’y arriver feront tout pour te décourager. Si tu veux vraiment quelque chose, t’as qu’à te battre, point-barre.

9.3 (896 votes)

Ne pleurez pas votre passé car il s’est enfui à jamais. Ne craignez pas votre avenir car il n’existe pas encore. Vivez votre présent et rendez le magnifique pour vous en souvenir à jamais.

9.3 (3619 votes)

À bien des égards, la tâche du critique est aisée. Nous ne risquons pas grand-choses, et pourtant, nous jouissons d ’une position de supériorité par rapport à ceux qui se soumettent avec leur travail, à notre jugement. Nous nous épanouissons dans la critique négative plaisante à écrire et à lire. Mais l’amère vérité, qu’il nous faut bien regarder en face, c’est que dans le grand ordre des choses, le mets le plus médiocre a sans doute plus de valeur que la critique qui le dénonce comme tel. Il est pourtant des circonstances où le critique prend un vrai risque : c’est lorsqu’il découvre et défend l’innovation. Le monde est souvent malveillant à l’encontre des nouveaux talents et de la création. Le nouveau a besoin d’amis. Hier soir, j’ai vécu une expérience inédite. J’ai dégusté un plat extraordinaire d’une origine singulière s’il en est. Avancer que son plat et son créateur ont radicalement changés l’idée que je faisait de la grande cuisine serait peu dire. Ils m’ont bouleversé au plus profond de mon être. Je n’ai jamais fais mystère du mépris que m’inspirait la devise d’Auguste Gusteau : « Tout le monde peut cuisiner ».
Mais ce n’est qu’aujourd’hui, aujourd’hui seulement que je comprends vraiment ce qu’il voulait dire. Tout le monde ne peut pas devenir un grand artiste. Mais un grand artiste peut surgir n’importe où. Il est difficile d’imaginer origine plus modeste que celle du génie qui officie maintenant chez Gusteau et qui est à nos yeux rien moins que le plus grand cuisinier de France. Je retournerai bientôt chez Gusteau, plus affamé que jamais.

9.29 (172 votes)

Faîtes un vœu et placez-le dans votre cœur. Tout ce dont vous avez envie, tout ce que vous voulez. C’est bon ? Bien.
Maintenant croyez que ça peut se réaliser. On ne sait jamais quand un miracle peut arriver, un sourire ou un souhait se réaliser. Mais si vous croyez que ça peut arriver au détour d’une rue et que vous ouvrez votre cœur et votre esprit à cette possibilité, à cette certitude, il se pourrait que vos souhaits se réalisent. Le monde est plein de magie. Il suffit d’y croire.
Alors faîtes un vœu. C’est bon ? Bien. Maintenant croyez-y de tout votre cœur.

9.28 (599 votes)

Les amours de vacances finissent pour toutes sortes de raisons mais au bout du compte, elles ont une chose en commun. Ce sont des étoiles filantes, lumières tout à fait spectaculaires venues des cieux, un fugace aperçu de l’éternité qui disparaît en un éclair.

9.27 (822 votes)

Moi je fais des petites bulles
Des belles bulles que j’crache en l’air
Elles sont si belles, volent jusqu’au ciel
Comme dans mes rêves, à la fin, elles crèvent
Ou se cache donc la chance, ça me met en transe
Moi je fais des petites bulles
Des belles bulles que je crache en l’air
UNITED !!
UNITED !!
UNITED !!

9.27 (249 votes)

Il y a un adage qui dit qu’on fait toujours du mal à ceux qu’on aime mais il oublie de dire qu’on aime ceux qui nous font du mal.

9.26 (2251 votes)

Et là, ça était le pire. Plus rien, plus rien pendant 10 ans, plus rien pendant 3652 jours et 3653 nuits. Fini le jeu, les jeux, le piment de mon existence. J’ai erré dans ma vie comme quand on erre dans une tragédie de Racine. Hermione version mec. Où suis-je ? Qu’ai-je fait ? Que dois-je faire encore ? Quel transport me saisit ? Quel chagrin me dévore ? Ah ne puis-je savoir si j’aime ou si je hais. Sophie m’a assassiné. Trucidé. Egorgé. Baisé. Enculé. Et tant d’autres rimes tarées. Et puis j’ai fini par y penser à l’imparfait. Me résoudre au bonheur fade de ma naissance. L’amour, la famille, le boulot, l’antenne parabolique. Du Racine j’vous dis.

9.24 (1436 votes)

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