Top - Citations de films et séries des années 1970

Je suis pas pour tirer à la courte paille, je suis pour tuer cette saloperie et tout de suite !

Un coupable est beaucoup moins dangereux en liberté qu’en prison… Parce que, en prison, il contamine les innocents.

À la question « Quelle est la loi ? » doit être répondu « Ne pas marcher à quatre pattes, telle est la loi ! »

Vous verrez à noël, on en reparlera !

Il y a un requin dans ce bassin !

- Mais qu’est-ce que c’est que ces galipettes à répétition ? Vous pouvez pas travailler avec votre tête de temps en temps ?
- Quand ?
- Hein ?
- Quand travailler avec ma tête ? Il a passé la nuit à coincer mes cheveux dans sa braguette, à s’envoyer des coups de cornemuse, à jouer son opéra, et accessoirement à me faire l’amour… très bien d’ailleurs.

Tout le monde s’en fout de votre thèse !

Tous avec Perrin, l’avenir est pour demain !

Alors, toujours aussi con dans la police ?

- Dans le rapport que j’ai lu, vous mentionnez un cadavre accroché au grand mât, le cadavre d’un homme, c’est exact ?
- Affirmatif, c’était bien ça. C’est bien un homme, oui. Et même qu’il s’appelle Martin, Peter Martin.
- Alors nous ne sommes pas d’accord avec vous. Nous, nous avons trouvé une femme. Elle a de longs cheveux blonds. Elle doit mesurer environ un mètre soixante-dix et peser cinquante-cinq kilos.

- Est-ce que, est-ce que vous croyez au destin ?
- Je crois à tout ce qui est agréable.

Eh bien, mon époux a un territoire de chasse plutôt étendu. Oh, avec les transports modernes, ça équivaut à peu près à deux cents kilomètres à la ronde. Mais il faudra bien qu’il se montre, tous ses vêtements sont encore là.

- Pfff, les architectes…
- Hum, c’est toujours notre faute.
- Vous savez tous qu’il nous est très difficile de combattre un feu au-dessus d’un septième niveau mais vous avez la rage de bâtir plus haut que le voisin.
- Dites, c’est le feu qu’vous venez combattre ou c’est moi ?

- Figurez-vous, monsieur l’architecte, que c’est la seule tour que je croyais à l’épreuve du feu.
- Moi aussi.

Une chose est sûre, on ne connaîtra jamais notre liaison.

- Je suis même pas fichu de fournir un faux certificat. Vous comprenez ce que je dis ?
- Parfaitement.
- Mais vous n’est pas scandalisée ? Ou tout au moins déçue ?
- Mais pas du tout.
- Ça n’est pas normal.
- C’est très normal.

- Comment comptez-vous monter les explosifs ?
- Oh, ils trouveront certainement un pauvre connard pour le faire…

Nous devons encourager l’effort même s’il n’est pas couronné de succès. Les coups d’éclat sont le pire exemple. Tout le lycée est au courant de cette composition et tout le monde rigole ! Regardez la composition de chimie des premières ce matin, sujet l’eau. Regardez ce que m’a fait celui-là : « L’eau, H2O, ce liquide douteux qui trouble le Ricard. »

Écoutez-moi, tas de bouseux à cervelle nouée ! Nous allons vous enseigner l’art de la guerre, le métier le plus noble qui soit. À la fin de votre entraînement, vous serez en mesure de massacrer vos ennemis comme des êtres civilisés ! Mais d’abord, vous apprendrez à marcher au pas et à manier vos armes sans même avoir à réfléchir. Un bon soldat ne réfléchit pas, il obéit ! Est-ce que l’homme qui réfléchit accepterait de mourir pour sa patrie et sa reine ? Je n’en ai pas l’impression. Il préférerait une bonne partie de cricket. Un seul regard sur vos gueules de paysans tarés et je me dis : il y a là de quoi former une troupe d’élite ! Cet homme par exemple, au crâne en forme de cacahuète, cet homme a l’étoffe d’un pur héros !

Vous ne pensez qu’à vous bronzer et à faire les lézards au soleil. Mais si vos petits-fils aryens sont condamnés à vivre dans un monde pourri dominé par les Juifs et les bandes de Nègres, de Tziganes et d’Arabes, vous vous en foutez !