Top - Citations de films et séries des années 1970

Je retourne en Espagne, le roi répudie la reine, la vieille épouse le perroquet, César devient roi, j’épouse César et je deviens reine !

Eh ! Vous avez oublié vot’ Scrabble !

- Mais vous voyez pas qu’on est crevées non ?
- Bon écoute, tout le monde est fatigué, dans un quart d’heure on est à la station !
- Un quart d’heure… Ça fait deux heures qu’ça fait un quart d’heure…

I believe in America. America has made my fortune. And I raised my daughter in the American fashion. I gave her freedom, but I taught her never to dishonor her family. She found a boyfriend; not an Italian. She went to the movies with him; she stayed out late. I didn’t protest. Two months ago, he took her for a drive, with another boyfriend. They made her drink whiskey. And then they tried to take advantage of her. She resisted. She kept her honor. So they beat her, like an animal. When I went to the hospital, her nose was a’broken. Her jaw was a’shattered, held together by wire. She couldn’t even weep because of the pain. But I wept. Why did I weep? She was the light of my life… beautiful girl. Now she will never be beautiful again. I went to the police, like a good American. These two boys were brought to trial. The judge sentenced them to three years in prison - suspended sentence. Suspended sentence! They went free that very day! I stood in the courtroom like a fool. And those two bastards, they smiled at me. Then I said to my wife, for justice, we must go to Don Corleone.

- Tu sais t’es moins tarte que t’en as l’air.
- Oh merci.

Les Viets, ils font pas de surf !

Il y a toute une faune qui sort la nuit : putes, chattes en chaleur, enculés, folles, pédés, pourvoyeurs, camés, le vice et le fric. Un jour viendra où une bonne pluie lavera les rues de toute cette racaille.

Voilà seize ans que je travaille dans cette administration. On projette ceci, on projette cela… Mais je vais vous dire une chose, moi, ça va de pire en pire, ça c’est certain !

- Mon colonel, nous avons tué votre ami mais vous n’avez pas l’air de nous en vouloir.
- Ce que vous avez fait là était un acte de guerre, mais vendre des renseignements à l’ennemi, c’est une trahison, c’est une infamie commise pour de l’argent.

Depuis le moment où on vient au monde, on essaie de s’occuper en attendant l’heure de sa mort !

Vous avez voulu créer le parfait alibi, et c’est votre parfait alibi qui vous a trahi.

Tu m’as perdue, pour toujours !

Verjeat, il est à Montpellier, Verjeat !

- Y a pas que l’argent dans la vie… Ça te fait rire ?
- Quand j’entends ça : toujours, oui.

Ecoutez, mon vieux Martin, c’est dur pour tout le monde, hein !

J’vous pisse au cul, moi, monsieur !

Pauv’ con !

- Je suis américaine. Qu’est-ce qui nous rend différend des Américains d’origine italienne ou germanique ?
- Pearl Harbor, c’est tout.

- Colonel, ma seule consolation, c’est que grâce à ma sœur, votre plan a échoué.
- Grâce à elle ? Je croyais, moi, que c’était parce qu’un de mes hommes s’est sacrifié pour sauver une fillette de chez vous.

- Tu sais ce que ça veut dire deux centimètres et demi d’épaisseur, jeune homme ?
- C’est la moitié tout juste de cinq centimètres !