Top - Citations de films et séries des années 1970

- Y’en a bien pour 17 heures, dis-lui.
- Y’en a au moins pour 25 heures !

- Je n’ai pas confiance en lui.
- Moi, je n’ai confiance en personne.

Mon père lui a fait une offre qu’il ne pouvait pas refuser.

Mais ce qui est fou c’est que tu ne puisses pas comprendre que ton pote ai pu faire une erreur en te chronométrant. Alors ça, ça te passe au dessus du cigare ! Mais tu ne peux pas faire moins de 40 secondes au slalom : t’es mauvais, t’es mauvais !!

- Ce que je ne vois pas encore dans tout ça c’est, qu’est ce que cela peut bien te foutre ?
- Un homme, un vrai doit croire en quelque chose.
- Dans ma vie j’ai rencontré toute sorte de gens : escrocs, assassins, prêtres plus ou moins défroqués, putains, macros, receleurs, même parfois quelques types réguliers. Mais un homme qui soit un homme, jamais.
- C’est de ceux la dont je parle on ne les rencontre jamais, mais ce sont les seuls valables.

Nous voulions changer le monde, mais c’est le monde qui nous a changé.

J’sais pas trop c’que l’bestiau va faire de tout c’t’attirail ? P’t-êt’e l’avaler après tout ? Une fois j’ai vu un requin boulotter un fauteuil.

Personne ne connaît la longévité des requins. Ils vivent deux mille, trois mille ans, on en sait rien, c’est le noir total…

Vous êtes grotesque avec ça sur le crâne !

- Ça n’a pas d’sens. C’est vrai, on paye un gars comme vous pour observer des requins ?
- Bah, euh… Euh, ça n’a pas beaucoup d’sens non plus qu’un aquaphobe joue les insulaires…
- Vue de l’eau, c’est un île, mais quand on est dessus, c’est la terre ferme.
- Ah, par contre, voilà qui est sensé !

- Qu’est-ce que tu vas faire maintenant ?
- À ton avis…
- T’as pas d’argent ?
- Non.
- T’as pas de relations ?
- Non.
- Tu sais rien faire ?
- Presque rien.
- Alors, deviens conseiller !

- J’ai le sens des affaires, j’en suis sûr, je l’sais, c’est là, là, là…
- Qu’est-ce que c’est le sens des affaires ? Tu peux m’expliquer ?
- C’est… c’est un mystère !

- C’est qui, Mathivet ?
- C’est, c’est… Ses parents vendaient des légumes sous l’Occupation. Ils ont fait fortune.

- C’est une combine ?
- Non… J’connais pas c’mot-là !

Vous voyez, Julien, c’est une forêt. D’abord, nous coupons les arbres puis nous vendons la terre. Les gens en achètent beaucoup, surtout en Allemagne. Alors nous faisons un grand trou. Nous le louons à des usines pour y enfouir des déchets dangereux. Quand le trou est plein, nous recouvrons et par-dessus nous lotissons. C’est enfantin !

- Tu lui dis non ?
- Oui.

Et pour finir, je lègue à mon neveu Julien Pardot mon bureau en acajou avec mon fauteuil Voltaire, « L’histoire des Girondins » d’Alphonse de Lamartine dans la reliure en maroquin rouge et une somme de cent quatre vingt mille francs.

Mais c’est un coup énorme ! Mais nous avons tout à apprendre de cet homme-là ! Nous sommes des enfants, parfaitement, mais vous et moi. Génial, cet homme-là, absolument génial ! Il faisait des affaires même quand il était mort !

En somme, à cause de cet homme qui n’existait pas, vous n’existiez pas ?

- Depuis quand est-ce un règlement en vigueur ?
- Le seul règlement en vigueur, c’est de faire ce qu’ils veulent qu’on fasse !