Top - Citations de films et séries des années 1970

Si vous n’aimez pas quelqu’un, criez seulement « C’est un marxiste ! », il sera abattu dans les deux minutes qui suivent.

Tout le monde par terre ! À plat ventre ! Les mains derrière la nuque ! Derrière la nuque, merde !

- Lieutenant Herrera, septième compagnie.
- Herrera, parlons clairement. Nous connaissons vos tendances. D’après moi, il s’agit plutôt d’erreurs de jeunesse. Mais ce qui est cause aujourd’hui, c’est l’unité de l’armée, de l’armée à laquelle vous avez l’honneur d’appartenir, dans l’accomplissement de son grand dessein. Alors choisissez.
- Monsieur le major, si le dessein que vous mentionnez consiste à renverser le gouvernement légal du président Allende, ne comptez pas sur moi. Au nom de ce que l’armée m’a appris, au nom de l’honneur que l’armée m’a appris, je ne suivrai pas l’armée dans cette voie.

Votre humour, monsieur Barabi, ne m’amuse pas, il est subversif et sournois !

Ne te fais pas d’illusions. Pinochet comme les autres. Pinochet avant les autres. Pinochet en tête.

S’il reste un régiment loyal, on finira bien par le trouver !

Le soleil, comme notre drapeau !

Et bien, chante mon vieux. Montre ton courage à un commandant fasciste. Allez, chante. Regarde-moi ce public. C’est ton public. Tu n’as jamais eu de meilleur public. Allez, j’t’écoute. Chante !

- Déshabillez-vous.
- Pardon ?
- Déshabillez-vous. Vous allez faire le tour de la salle de rédaction tout nu. Nous allons pouvoir juger de l’effet comique.
- Mais, monsieur le président, je…
- Je vous dis de vous déshabiller.
- … [Blénac commence à se déshabiller]
- Mais qu’est-ce que vous faites, Blénac ?
- Je me déshabille, monsieur le président.
- Si je ne vous avais pas arrêté, vous vous mettiez tout nu et vous faisiez le tour de la salle de rédaction ?
- C’est vous qui me l’avez demandé, monsieur le président…
- J’ai une question importante à vous poser, Blénac. Qui de nous deux est le monstre ? Moi qui vous demande d’ôter votre pantalon, ou vous qui acceptez de montrer votre derrière ?
- Je n’sais pas m’sieur l’p… z… ent…
- Tout le problème est là je crois.

- Vous savez, vous me plaisez.
- Pourquoi ?
- Vous ne pleurez pas.
- Oh, bien sûr que si, vous l’avez bien vu.
- Vous pleuriez sur votre ami. Vous ne pleuriez pas sur vous. Y’a une grande différence.
- Ne soyez pas gentil avec moi. Je vous en prie… Attendez ! [Elle se jette sur lui et elle l’embrasse]
- J’n’aurais jamais cru…
- Quoi, vous ne vouliez pas que je le fasse ?
- Bien sûr que si, j’voulais seulement d’habitude, c’est moi qui commence…
- C’est pour ça qu’j’ai commencé. Comme ça, je sais quand ça doit s’arrêter !

- Je vous l’avais dit que je le tuerais. Je vous l’avais dit.
- Oui, vous l’aviez dit.
- J’avais le droit de le faire. Je porterai toute ma vie cette balafre et chaque fois que je me regarderai, je me dirai que j’avais le droit de le tuer.
- Si vous ne l’aviez pas tué, quelqu’un d’autre l’aurait fait.

Les aviateurs, c’est bon pour les geishas, pas pour les poissons !

J’t’en foutrais, moi, de la sauvegarde de la nature !

Comment empêcher cette monstruosité ? Je n’ai pas cessé de le dire, de le répéter, depuis le début. Si nous voulons combattre l’Amérique, pourquoi prendre Guam et les Philippines ? Ça ne sert à rien. Ça ne servira à rien de prendre Hawaï et même San Francisco. C’est à Washington qu’il faut aller. À la Maison Blanche, pour éviter cette guerre. Les pauvres imbéciles qui nous parlent de guerre pensent qu’ils vont la gagner. Ils n’ont jamais dû vraiment réfléchir au problème.

- Est-ce que personne n’a plus confiance en personne ? Est-ce que vous n’avez plus confiance en votre femme ?
- Et vous ?
- Je vais peut-être vous surprendre mais j’ai confiance en elle.

Je veux la confirmation, Kaminsky, la confirmation !

- Je ferai tout ce que je pourrai, Bill. Même si pour ça je dois aller jusqu’au président.
- Enfin, on y est. Je savais bien que je trouverais au moins un homme dans cette marine qui aurait un reste de lucidité.

- Kim, soyez franc avec moi. Je veux des choses nettes et précises. Il peut m’arriver de voir un bateau japonais. Qu’est-ce que je fais dans ce cas-là ?
- Servez-vous de votre bon sens.
- Bon dieu, c’est bien l’ordre le plus intelligent qu’on m’ait donné ! Si je vois approcher ne serait-ce qu’un sampan, j’vous jure qu’je l’fous en l’air.

Les pilotes japonais : « Pennsylvania » ! « Oklahoma » !
L’un des pilotes : « Enterprise » !
Un officier : Bravo, vous êtes doué ! C’est votre propre bateau !

- Amiral, un message pour vous.
- Lisez-le.
- Deuxième, dix-sept heures. Urgent. Du commandant en chef de la flotte combinée au très honoré commandant de la force chargée de mission. Escaladez le Mont Nitaka selon le plan arrêté.
- C’est l’entrée en guerre du Japon. Les hostilités seront déclenchées le sept décembre au lever du jour. Exactement comme prévu.