Kaakook

Top - Citations de films de tous les temps

La victoire appartient à celui qui y croit le plus et surtout le plus longtemps.

#121
9.36 (316 votes)

- Vous disiez la vérité !
- Ça m’arrive très souvent. Je comprends pas pourquoi ça vous étonne.

#122 9.36 (539 votes)

Oh mon dieu, j’ai l’impression d’apprendre que ma chanson d’amour préférée parlait d’un sandwich.

#123
9.36 (626 votes)

- Dites moi comment il est mort.
- Je vous dirais comment il a vécu.

#124
9.36 (161 votes)

Poussez-vous, excusez-moi ! Poussez-moi excusez-vous !

#125
9.36 (601 votes)

Salut les jeunes, un important message de votre oncle Billy, n’achetez pas de drogues… Devenez une rockstar on vous la refilera gratuitement.

#126
9.36 (336 votes)

- Maintenant, je vais me coucher ! Avant que l’un de vous ait une brillante idée pour nous faire tuer. Ou pire, nous faire expulser !
- Il faudrait qu’elle revoit l’ordre de ses priorités !

#127 9.36 (1115 votes)

Nombreux sont les vivants qui mériteraient la mort, et les morts qui mériteraient la vie, pouvez-vous la leur rendre Frodon ? Alors ne soyez pas trop prompt à dispenser morts et jugements. Même les grands sages ne peuvent connaître toutes les fins.

#128 9.36 (523 votes)

J’ai réfléchi à ce que tu m’avais dit l’autre jour, à propos de ma peinture ; j’ai passé la moitié de la nuit à y réfléchir. Et puis j’ai eu un flash. Après je me suis paisiblement endormi, et depuis je n’ai pas pensé à toi. Tu sais ce que j’ai compris ? Tu n’es qu’un gosse. Tu parles sans avoir la moindre idée de ce dont tu parles. Tu n’es jamais sorti de Boston.

Si je te dis de me parler d’art, tu vas me balancer un condensé de tous les livres sur le sujet. Michel-Ange, tu sais plein de trucs sur lui. Sur son œuvre, sur ses choix politiques, sur lui et sur le pape, ses tendances sexuelles, tout le bazar quoi. Mais je parie que ce qu’on respire dans la Chapelle Sixtine, son odeur, tu connais pas. Tu ne peux pas savoir ce que c’est que de lever les yeux sur le magnifique plafond. Tu sais pas.

Si je te dis de me parler des femmes, tu vas m’offrir un topo sur les femmes que tu as le plus aimées, il t’ait peut-être même arrivé de baiser quelques fois, mais tu ne sauras pas me décrire ce que c’est que de se réveiller près d’une femme et de se sentir vraiment heureux.

Tu es un coriace ; si je te faisais parler de la guerre c’est probablement tout Shakespeare que tu me citerais « Une fois de plus sur la brèche, mes amis ! ». Mais tu n’as pas vécu la guerre. Tu n’as jamais tenu contre toi ton meilleur ami. Tu ne l’as pas vu haleter jusqu’au dernier souffle avec un regard qui implore.

Si je te fais parler d’amour, tu vas probablement me dire un sonnet. Mais tu n’as pas connu de femme devant qui tu t’es senti vulnérable. Une femme qui t’aie étalé d’un simple regard. Comme si Dieu avait envoyé un ange sur Terre pour toi. Pour t’arracher aux profondeurs de l’enfer. Et tu ne sais pas ce que c’est d’être son ange à elle. Et de savoir que l’amour que tu as pour elle est éternel. Et survivra à tout. Même au cancer. Et aux nuits passées assis dans une chambre d’hôpital pendant des mois en lui tenant la main, parce que les médecins ont lu dans tes yeux que tu n’avais pas l’intention de te plier aux heures de visite. Tu ignores ce que c’est que de perdre quelqu’un. Parce qu’on ne connaît ça que quand on sait aimer plus qu’on ne s’aime soi-même. Je doute que tu aies déjà osé aimer à ce point.

Quand je te regarde, ce n’est pas un homme intelligent et solide que je vois. Ce que je vois c’est un gosse, culotté, qui meurt de trouille. Mais tu es un génie Will, ça, personne ne le nie. Personne ne pourrait comprendre ce qui est au fond de toi. Mais toi tu présumes que tu sais tout de moi parce que tu as vu une toile que j’ai peinte et ça, ça te permet de disséquer ma vie. Tu es orphelin n’est-ce pas ? Tu crois que je sais quelque chose des difficultés que tu as rencontrées dans la vie, de ce que tu ressens, de ce que tu es, sous prétexte que j’ai lu Oliver Twist ? Est-ce que ça suffit à te résumer ?

Personnellement, j’en ai vraiment rien à foutre de tout ça, parce que je vais te dire, je n’ai rien à apprendre de toi que je n’apprendrai pas dans n’importe quel bouquin. À moins que tu veuilles me parler de toi. De qui tu es. Là ça m’intéresse. Là je suis à toi. Mais c’est pas ce que tu veux faire, hein vieux ? Tu as trop peur de ce que tu pourrais dire. La balle est dans ton camp.

#129
9.36 (381 votes)

Lola !! On commence par les pétards ou les capotes ?!

#130
9.36 (839 votes)

- What else?
- Nespresso !

#131
9.36 (1217 votes)

Non je ne me fous pas de toi, Maman. J’arrive juste pas à m’intéresser à la population de l’Inde et de la Chine et à l’activité des cellules. Parce que, la seule chose à laquelle je pense, Maman, la seule chose qui me fait mal, c’est Maël et cette connasse de De Perfitte. Et comment je vais pouvoir leur faire aussi mal que ce qu’il m’ont fait mal, comment je vais pouvoir faire ça ? Comment ?

#132
9.36 (1616 votes)

- Et mais Lola, comment tu t’es épilée là ?
- Mais MAMAN !
- Beh quoi maman ?
- Beh c’est mon corps, j’fais c’que j’veux avec !
- Ah… mais… non, fin j’veux dire, tu va pas te transformer en actrice porno !
- Ah mais non mais maman trop pas ! C’est juste que j’aime pas les poils c’est tout !
- Mais j’espère que ceux-là personne les a vu hein ?!
- Vous savez quoi, je viens dans le bain pour passer un moment en famille et tout de suite ça devient un procès !

#133
9.36 (768 votes)

- Vous pensez que ma fille est lesbienne ?
- Hum hum…
- Hum hum oui ou hum hum non ?
- Hum hum…
- Vous pouvez arrêter les « hum hum » et dire la vérité pour une fois ?
- Vous trouvez ça plus choquant qu’elle est des rapports avec une fille plutôt qu’un garçon ?
- Finalement j’aimais bien quand vous disiez « hum hum »…

#134
9.36 (1170 votes)

Oui je sais ce que c’est d’avoir la sensation de ne pas exister jusqu’à ce qu’il te regarde, qu’il te touche la main, qu’il se moque de toi. Le but c’est que les autres voient que tu es avec lui… tu es à lui…

#135
9.36 (1108 votes)

- Do you have messenger ?
- No, no we don’t…
- You, you don’t ?
- No, we don’t…
- Bah, they don’t !

#136
9.36 (1056 votes)

- Ça doit être dur de voir votre petite sœur se marier avant vous…
- C’est vrai… mais en même temps je me dis que je peux toujours m’envoyer en l’air avec de parfaits inconnus et je me sens TELLEMENT mieux !

#137
9.36 (425 votes)

- Tu as toujours pris la fuite face au combat.
- C’est faux !
- Ce n’est pas faux !
- C’est faux !
- C’est vrai !
- C’est faux !
- C’est vrai !
- C’est faux !
- C’est vrai, et tu le sais très bien.
- C’est faux et c’est pure calomnie. Je n’ai fais que respecter la plus ancienne et la plus noble de nos traditions. Ma proposition est très simple, voilà ce qu’il faut que nous fassions tous : nous devons nous battre pour prendre la fuite.

#138 9.36 (352 votes)

- Maman, c’est quoi ta matière préférée ?
- Le cachemire, chérie.
- Mais non, à l’école !

#139
9.36 (851 votes)

Le 9 mai 1969, à deux kilomètres de la frontière nord du Laos, la 101ème Division d’Infanterie de l’armée américaine progresse vers la colline 937. Pour eux c’est une simple reconnaissance. Pour les Viêt-Cong, la colline 937 est une zone stratégique. La dizaine d’appelés de la 101ème Division, peu formée au combat, devait effectuer cette mission de routine en moins de deux heures. Ils résisteront héroïquement pendant neuf jours.
Ce film ne raconte pas leur histoire.

#140
9.36 (961 votes)

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