Kaakook

Top - Citations de films de tous les temps

Avengers rassemblement !

#41 9.4 (223 votes)

Sous ce masque, il y a plus que de la chair. Sous ce masque, il y a une idée Creedy… et les idées sont à l’épreuve des balles.


Faut que je m’incruste à ma propre fête.

#43 9.39 (253 votes)

Ce ne sont pas nos capacités qui déterminent ce que nous sommes, Harry, ce sont nos choix !

#44 9.39 (842 votes)

Nombreux sont les vivants qui mériteraient la mort, et les morts qui mériteraient la vie, pouvez-vous la leur rendre Frodon ? Alors ne soyez pas trop prompt à dispenser morts et jugements. Même les grands sages ne peuvent connaître toutes les fins.

#45 9.39 (543 votes)

- Ça n’aurait jamais pu marcher entre nous, Jack !
- Vous aimeriez vous en convaincre.

#46 9.39 (416 votes)

- Quand est-ce que tu as perdu la tête ?
- Il y a trois mois je me suis réveillé marié à côté d’un ananas… hyper moche en plus.

#47 9.39 (765 votes)

- Vous êtes malade !
- Et j’en remercie le ciel parce que autrement je ne pourrais pas faire ça !

#48 9.39 (632 votes)

Tu sais, avec toi, je pourrais vraiment devenir quelqu’un de bien.

#49
9.39 (301 votes)

- Suis-je devenu fou ?
- Oui je pense Chapelier. Mais je vais te dire un secret : la plupart des gens bien le sont.

#50
9.39 (1172 votes)

Le meilleur moyen de réaliser l’impossible est de croire que c’est possible.

#51
9.39 (2182 votes)

Je m’excuse pour t’avoir frappé Papa, je préférais mourir plutôt que de te ressembler… Et c’est ce que je suis en train de faire. Mais j’ai tant de colère en moi, et elle vient de toi. Je te déteste de m’avoir fait grandir en pensant que l’amour ça ce méritait et que moi je le méritais presque jamais. Je te déteste pour avoir vu maman pleurer si souvent, et un jour j’espère, quand je lui aurait donné assez de force et de courage pour te quitter, que tu te retrouveras tout seul et tu mourras tout seul. Et ce jour-là Papa, ce jour-là je serai triste d’avoir perdu deux pères : celui que j’aurais pu et celui que j’ai jamais eu. Adieu Papa.

#52
9.39 (971 votes)

- J’ai une armée.
- Nous, on a un Hulk.


- Soit c’est du génie, soit c’est de la folie.
- Ce qui est le plus marrant, c’est que le plus souvent, ces deux choses vont ensemble.

#54 9.38 (589 votes)

- La colonie del Sid ! Ça veut dire la colonie de Sid !
- Eh ben c’est bien, maintenant t’es un bouffon bilingue.

#55 9.38 (438 votes)

C’est à madame justice que je dédie ce concerto, en l’honneur des vacances qu’elle semble avoir prises très loin d’ici et en reconnaissance de l’imposteur qui se dresse à sa place.

#56
9.38 (392 votes)

- Où est-ce que je suis ?
- Dans ma maison. Je l’appelle la Galerie des Ombres.
- C’est magnifique… [en parlant des œuvres d’art exposées] Mais où est-ce que vous avez trouvé tout ça ?
- Oh, ici et là. Beaucoup proviennent des chambres fortes du ministère de la Bienséance.
- Vous les avez volées ?
- Grands dieux non ! « Voler » suppose qu’il existe un propriétaire, or on ne peut voler la censure. Je les ai juste récupérées.

#57
9.38 (311 votes)

J’ai réfléchi à ce que tu m’avais dit l’autre jour, à propos de ma peinture ; j’ai passé la moitié de la nuit à y réfléchir. Et puis j’ai eu un flash. Après je me suis paisiblement endormi, et depuis je n’ai pas pensé à toi. Tu sais ce que j’ai compris ? Tu n’es qu’un gosse. Tu parles sans avoir la moindre idée de ce dont tu parles. Tu n’es jamais sorti de Boston.

Si je te dis de me parler d’art, tu vas me balancer un condensé de tous les livres sur le sujet. Michel-Ange, tu sais plein de trucs sur lui. Sur son œuvre, sur ses choix politiques, sur lui et sur le pape, ses tendances sexuelles, tout le bazar quoi. Mais je parie que ce qu’on respire dans la Chapelle Sixtine, son odeur, tu connais pas. Tu ne peux pas savoir ce que c’est que de lever les yeux sur le magnifique plafond. Tu sais pas.

Si je te dis de me parler des femmes, tu vas m’offrir un topo sur les femmes que tu as le plus aimées, il t’ait peut-être même arrivé de baiser quelques fois, mais tu ne sauras pas me décrire ce que c’est que de se réveiller près d’une femme et de se sentir vraiment heureux.

Tu es un coriace ; si je te faisais parler de la guerre c’est probablement tout Shakespeare que tu me citerais « Une fois de plus sur la brèche, mes amis ! ». Mais tu n’as pas vécu la guerre. Tu n’as jamais tenu contre toi ton meilleur ami. Tu ne l’as pas vu haleter jusqu’au dernier souffle avec un regard qui implore.

Si je te fais parler d’amour, tu vas probablement me dire un sonnet. Mais tu n’as pas connu de femme devant qui tu t’es senti vulnérable. Une femme qui t’aie étalé d’un simple regard. Comme si Dieu avait envoyé un ange sur Terre pour toi. Pour t’arracher aux profondeurs de l’enfer. Et tu ne sais pas ce que c’est d’être son ange à elle. Et de savoir que l’amour que tu as pour elle est éternel. Et survivra à tout. Même au cancer. Et aux nuits passées assis dans une chambre d’hôpital pendant des mois en lui tenant la main, parce que les médecins ont lu dans tes yeux que tu n’avais pas l’intention de te plier aux heures de visite. Tu ignores ce que c’est que de perdre quelqu’un. Parce qu’on ne connaît ça que quand on sait aimer plus qu’on ne s’aime soi-même. Je doute que tu aies déjà osé aimer à ce point.

Quand je te regarde, ce n’est pas un homme intelligent et solide que je vois. Ce que je vois c’est un gosse, culotté, qui meurt de trouille. Mais tu es un génie Will, ça, personne ne le nie. Personne ne pourrait comprendre ce qui est au fond de toi. Mais toi tu présumes que tu sais tout de moi parce que tu as vu une toile que j’ai peinte et ça, ça te permet de disséquer ma vie. Tu es orphelin n’est-ce pas ? Tu crois que je sais quelque chose des difficultés que tu as rencontrées dans la vie, de ce que tu ressens, de ce que tu es, sous prétexte que j’ai lu Oliver Twist ? Est-ce que ça suffit à te résumer ?

Personnellement, j’en ai vraiment rien à foutre de tout ça, parce que je vais te dire, je n’ai rien à apprendre de toi que je n’apprendrai pas dans n’importe quel bouquin. À moins que tu veuilles me parler de toi. De qui tu es. Là ça m’intéresse. Là je suis à toi. Mais c’est pas ce que tu veux faire, hein vieux ? Tu as trop peur de ce que tu pourrais dire. La balle est dans ton camp.

#58
9.38 (391 votes)

- Bonjour monsieur.
- Bonjour monsieur.
- Dites moi, comment sait-on si nos enfants sont bien arrivés ?
- Bah je vous propose d’écouter la radio, en général ils en parlent quand il y a un accident.

#59
9.38 (868 votes)

- Le Black Pearl ? Je connais sa légende. Il bombarde navires et campements depuis près de dix ans. ll laisse jamais de survivant.
- Pas de survivants ? Comment les légendes prendraient forme dans ce cas là ?

#60 9.38 (716 votes)

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