Kaakook

Top - Citations de films de tous les temps

Ça ne compte quand même que pour un !

#161 9.35 (331 votes)

L’or pur durcit les cœurs les plus tendres.

#162
9.35 (97 votes)

L’amour ça se commande pas, c’est un truc qui te tombe dessus. Quand t’aimes quelqu’un, tu l’aimes c’est tout.

#163
9.35 (67 votes)

Je n’aime plus le monde dans lequel je vis ! Et tous les gens autour de moi… et l’inertie de mon existence qui se dérobe sous mes pas, sans que je puisse l’en empêcher… J’ai l’horrible impression d’être dans une pièce pleine de monde et j’ai beau hurler comme une folle, il n’y a personne qui se soucie de moi !

#164
9.35 (762 votes)

- … Vous verrez il est un peu spécial…
- Il est carrément chiant oui !

#165
9.35 (235 votes)

T’es littéralement trop con pour qu’on t’insulte !

#166
9.35 (621 votes)

- De toute façon t’es qu’un pochetron, et tu l’as toujours été.
- Ouais, et toi t’es un faux frère. Mais ça c’est nouveau.

#167
9.35 (205 votes)

- Tu as toujours pris la fuite face au combat.
- C’est faux !
- Ce n’est pas faux !
- C’est faux !
- C’est vrai !
- C’est faux !
- C’est vrai !
- C’est faux !
- C’est vrai, et tu le sais très bien.
- C’est faux et c’est pure calomnie. Je n’ai fais que respecter la plus ancienne et la plus noble de nos traditions. Ma proposition est très simple, voilà ce qu’il faut que nous fassions tous : nous devons nous battre pour prendre la fuite.

#168 9.35 (357 votes)

Plus grave que l’intolérable souffrance d’être amoureux ?

#169
9.35 (174 votes)

- Et qu’est ce qui se passe si tu tombes amoureuse ?
- Oh… Me dis pas que tu crois à ces trucs là.
- J’te parle d’amour là, pas du Père Noël.

#170
9.35 (833 votes)

- Tu cherches quoi ?
- Mes couilles, elles étaient là il y a 2 minutes.

#171
9.35 (513 votes)

Écoutez moi ! Oui je t’ai menti. Non tu n’es pas mon genre. Bien sur que cette robe te boudine. Je suis jamais allé a Bruxelles. Ça se prononce irrévérencieux. Figure toi que non, j’ai jamais rencontré Pizzaro mais j’aime ses pizzas. Et tout cela n’a pas la moindre importance à coté du fait que mon navire c’est envolé une fois de plus ! Compris ?

#172 9.35 (511 votes)

Pourquoi je voudrais naviguer avec vous ? Vous êtes quatre à avoir essayé de me tuer, l’un de vous a réussi !

#173 9.35 (388 votes)

Vous êtes puérils, on dirait des puéricultrices !

#174
9.35 (465 votes)

Garde 1 : Halte ! Éloigne-toi de là, tu n’as pas l’autorisation de monter à bord de ce navire.
Jack : J’ai pas pu résister ! C’est un superbe bateau… navire !
Garde 1 : Comment tu t’appelles ?
Jack : Smith… ou Smitty pour les intimes.
Garde 1 : Et qu’êtes vous venus faire à Port Royal, Monsieur Smith ?
Garde 2 : Et pas d’entourloupe !
Jack : Très bien, autant avouer… J’ai l’intention de réquisitionner un de ces bâtiments, de trouver des matelots à Tortuga et de piller, voler et saccager comme un forban sans âme et sans cœur.
Garde 2 : J’ai dit pas d’entourloupe !
Garde 1 : Il dit la vérité j’en suis sûr.
Garde 2 : S’il disait la vérité, jamais il nous l’aurait dit
Jack : Sauf s’il savait que vous refuseriez de le croire, même s’il avouait tout.

#175 9.35 (512 votes)

- Einstein disait que plus il étudiait l’univers, plus il pouvait croire en une puissance supérieure.
- Si y a quelque chose de supérieur, dis-nous, pourquoi cette chose te donne pas une nouvelle veste ?
- Elle est occupée à chercher ton cerveau peut-être !

#176
9.35 (405 votes)

Quelqu’un entre dans notre vie et une partie de nous dit : « T’es tout sauf prêt ». Et l’autre partie dit : « Fait la tienne pour l’éternité ».

#177
9.35 (467 votes)

- C’est impossible.
- Seulement si tu crois que ça l’est.

#178
9.35 (779 votes)

Un jour quelqu’un ma dit « garde là pour toujours », c’est le « toujours » qui me pose problème.

#179
9.35 (451 votes)

L’homme que j’aimais est mort il y a trois mois.
Tant bien que mal, avant j’aimais la vie, parce qu’on l’avait en commun. Avant, j’aimais la vie, même sachant tout ce que je savais, car dans l’immensité du vide, il était là qui souriait. Aujourd’hui, je chéris un fantôme, un souvenir. Je pense encore à lui chaque jour, chaque minute, chaque seconde… Absurde constance. J’ai beau vivre, si on peut appeler ça vivre, j’ai beau baiser, et sortir… Je pense encore à lui. Je regarde les gens, leurs pas qui les emportent vers une finalité absente… Et au fond de moi-même, son image qui me hante. Je le connaissais mieux que personne. On avait le même état d’esprit, on méprisait la platitude et la médiocrité, on était prisonniers du fric et ça nous rendait dingues, et on ne savait pas pourquoi on existait. Maintenant, qu’il n’est plus là, je sais pourquoi j’existais.
J’existais pour lui.
Je suis faible, et j’ai l’impression que mon corps se meurt lentement. Seul mon esprit plein de souvenirs est encore vivace. Je préfère ressasser le bienheureux passé que de me contenter de ce présent de merde. Je n’oublierai pas ton visage, je n’oublierai jamais ta voix. Je me morfonds dans ma douleur.
Pauvre con, tu ne pouvais pas rouler moins vite.

#180
9.35 (512 votes)

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