Kaakook

Top - Citations de films de tous les temps

- Stark, nous avons besoin d’un plan d’attaque.
- J’ai un plan… on attaque.

#1 9.57 (404 votes)

- Vous faites le beau avec votre armure, mais sans elle vous êtes quoi ?
- Un génie, milliardaire, play-boy, philanthrope.

#2 9.54 (493 votes)

Hulk : On ne devrait pas se focaliser sur Loki : j’ai l’impression qu’il n’est pas tout seul dans sa tête. C’est un malade mental ce type.
Thor : Modère tes propos ! Loki a perdu la raison mais il est d’Asgard et c’est mon frère.
Natasha Romanoff : Il a tué 80 personnes en deux jours.
Thor : Il a été adopté.

#3 9.52 (488 votes)

Ebony Maw : Entendez-moi et réjouissez-vous ! Vous vous apprêtez à mourir des mains des enfants de Thanos. Soyez reconnaissants ! Que vos vies insignifiantes contribuent désormais à l’équilibre de…
Tony Stark : Navré, mais la Terre est fermée pour la journée. Ramassez vos affaires et rentrez tout-de-suite à la maison !
Ebony Maw : Gardien de la Pierre, est-ce que ce dindon verbeux parle en ton nom ?
Dr. Strange : Certainement pas. Je m’exprime par moi-même. Vous n’êtes pas les bienvenues dans cette cité et sur cette planète !
Tony Stark : Ça veut dire « dégage » Voldemort !

#4 9.52 (238 votes)

- La dernière fois qu’on s’est vu, vous vouliez tuer tout-le-monde. Vous en êtes où aujourd’hui ?
- C’est variable, ça dépend des moments.

#5 9.51 (113 votes)

N’aie pas pitié des morts Harry, aie pitié des vivants et en particulier de tous ceux qui vivent sans amour.

#6 9.49 (790 votes)

- Le projet Avengers a été abandonné, je n’avais même pas été retenu !
- Ceci je l’ignorais.
- Oui apparemment je suis imprévisible narcissique et mauvais équipier…
- Ça je le savais.

#7 9.49 (226 votes)

Dans le monde il n’y a pas d’un côté le bien et le mal, il y a une part de lumière et d’ombre en chacun de nous. Ce qui compte c’est celle que l’on choisit de montrer dans nos actes, ça c’est ce que l’on est vraiment.

#8 9.48 (1235 votes)

Si tu ne décides pas de ton destin c’est ton destin qui décide pour toi.

#9 9.45 (355 votes)

- C’est comme dans les grandes histoires, Monsieur Frodon, celles qui importaient vraiment, celles où il y avait danger et ténèbres. Parfois, on ne voulait pas connaitre la fin, car elle ne pouvait pas être heureuse… Comment le monde pouvait-il redevenir comme il était avec tout le mal qui s’y était passé ? Mais en fin de compte, elle ne fait que passer, cette ombre… Même les ténèbres ne font que passer… Un jour nouveau viendra et lorsque le soleil brillera, il n’en sera que plus éclatant… C’était ces histoires dont on se souvenait, et qui signifiaient tellement… Même lorsqu’on était trop petit pour comprendre… Mais je crois, Monsieur Frodon, que je comprends… je sais maintenant… Les personnages de ces histoires avaient trente-six occasions de se retourner, mais ils ne le faisaient pas, ils continuaient leur route, parce qu’ils avaient foi en quelque chose…
- En quoi avons-nous foi, Sam ?
- Il y a du bon en ce monde… Il faut se battre pour cela.

#10 9.45 (369 votes)

Il faut du courage pour affronter ses ennemis mais il en faut encore plus pour affronter ses amis…

#11 9.44 (1271 votes)

- Oh Ronald, c’est merveilleux ! Tout le monde a été préfet dans la famille !
- Et Fred et moi on est quoi, des voisins de palier ?!

#12 9.44 (420 votes)

Vous ne passerez pas !


Pourquoi vous ne m’avez pas dit qu’elle mourait Anne Frank à la fin ? Si elle meurt je deviens quoi moi ?

#14
9.42 (93 votes)

Ceux qui nous aiment ne nous quittent jamais vraiment. On peut toujours les retrouver… là. [Il montre le cœur d’Harry]

#15 9.42 (264 votes)

On leur fait coucou les p’tits gars ! on leur fait coucou…

#16 9.41 (125 votes)

Bonsoir Londres. Permettez-moi tout d’abord de vous présenter mes excuses pour cette interruption. J’aime, comme beaucoup d’entre vous le confort du train-train quotidien, le sentiment de sécurité et la tranquillité que procure ce qui est familier et répétitif. Je les apprécie, comme tout à chacun.
Mais dans cet esprit de commémoration qui prévoit que les évènements importants du passé, habituellement associés à la mort d’un individu, ou à la fin de quelque horrible bataille sanguinaire, soit célébré par de sympathiques congés, j’ai pensé que nous pourrions célébrer ce 5 Novembre, jour hélas oublié, en consacrant un court instant de notre vie quotidienne à nous asseoir et à bavarder un peu.
Il existe bien sûr des personnes qui ne veulent pas que nous parlions. Je soupçonne qu’en ce moment même, des ordres sont aboyés dans des téléphones et que des hommes armés vont bientôt se mettre en route. Pourquoi ? Parce que même si l’on peut substituer la matraque à la conversation, les mots conserveront toujours leur pouvoir. Les mots sont le support de la compréhension et pour ceux qui les écouteront l’énonciation de la vérité. Et la vérité c’est que quelque chose va très mal dans ce pays, n’est ce pas ?
Cruauté et injustice. Intolérance et oppression. Et la où, auparavant, vous aviez la liberté de faire des objections, de parler comme bon vous semblait, vous avez maintenant des censeurs, des systèmes de surveillance vous contraignants à la conformité et sollicitant votre docilité.
Comment est-ce arrivé ? Qui est à blâmer ? Bien sûr, il y a ceux qui sont plus responsables que les autres et qui devront en rendre compte mais… Encore dans un souci de vérité, si vous cherchez un coupable, regardez simplement dans un miroir.
Je sais pourquoi vous l’avez fait. Je sais que vous aviez peur. Qui pourrait se vanter du contraire ! Guerre, terreur, maladie. Une myriade de problèmes a contribué à perturber votre jugement et à vous priver de votre bon sens. La peur a pris ce qu’il y a de meilleur en vous. Et dans votre panique vous vous êtes tourné vers Adam Sutler, aujourd’hui Chancelier.
Il vous a promis de l’ordre, il vous a promis de la paix. Tout ce qu’il a demandé en échange, c’est votre consentement silencieux et docile. La nuit dernière, j’ai cherché à mettre fin à ce silence ! La nuit dernière, j’ai détruit le Old Bailey pour rendre la mémoire à ce pays.
Il y a plus de 400 ans, un grand citoyen a voulu ancrer à jamais le 5 Novembre dans nos mémoires. Il espérait rappeler au monde qu’impartialité, justice et liberté sont plus que des mots, ce sont des principes. Alors si vous n’avez rien vu, si vous ignorez toujours les crimes de ce gouvernement, je vous suggère de ne pas commémorer le 5 Novembre.
Mais si vous voyez ce que je vois, si vous ressentez ce que je ressens, si vous désirez ce que je désire, alors rangez vous à mes côtés dans un an à compter d’aujourd’hui devant les grilles du Parlement, et ensemble, nous leurs offrirons un 5 Novembre gravé à jamais dans les mémoires !!

#17
9.41 (864 votes)

- Qui êtes-vous ?
- Qui ? « Qui » n’est autre que la forme qui résulte de la fonction de « qu’est-ce-que », et ce que je suis c’est un homme sous un masque.
- Ça je vois…
- De toute évidence. Je ne mets pas en doute ton sens de l’observation, je ne fais que mettre en exergue le paradoxe qui est de demander à un homme masqué qui il est.

#18
9.41 (900 votes)

À quoi ça sert d’être en vie si on a pas de raison de l’être.

#19 9.41 (395 votes)

Je n’ai pas peur de mourir, j’ai peur de ne pas avoir assez vécu.

#20
9.41 (1375 votes)

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