Kaakook

Top - Citations de films de tous les temps

- Tu crois qu’il y a quelque chose après la mort ?
- Je sais pas… Mais je suis sûr que si je mourrais demain, je te retrouverais quelque part…
- Pourquoi tu dis ça ?
- Avec toi j’ai l’impression de plus grand, c’est comme si t’étais un morceau de moi Sarah, le meilleur morceau de moi…

#281
9.33 (470 votes)

Tu n’es pas quelqu’un de mauvais. Tu es quelqu’un de bon à qui il est arrivé de mauvaises choses.

#282 9.33 (184 votes)

Peter Quill : Où est Gamora ?
Tony Stark : Qui est Gamora ?
Drax : Pourquoi est Gamora ?

#283 9.33 (230 votes)

- Ça va être tout noir !
- Ta gueule !

#284
9.32 (907 votes)

- Et tu vas faire quoi, hein ? On a ratissé toute la zone, tu n’as rien. Rien à part tes poignards ridicules et tes prises de karaté minables, contre nos flingues.
- Non, vous avez des balles et l’espoir que je sois à terre quand vos armes seront vides. Parce que dans le cas contraire vous mourrez avant d’avoir pu recharger.

#285
9.32 (385 votes)

- La meilleure baise de votre vie ?
- Britney Spears.
- Waow!
- Nan je déconne… Elle était pitoyable !


Cours Forrest, cours !

#287
9.32 (720 votes)

Je t’aime plus que ma propre vie…

#288
9.32 (2092 votes)

Voilà ! Vois en moi l’image d’un humble Vétéran de VaudeVille. Distribué Vicieusement dans les rôles de Victime et de Vilain par les Vicissitudes de la Vie. Ce Visage, plus qu’un Vil Vernis de Vanité est un Vestige de la Vox populi aujourd’hui Vacante, éVanouie. Cependant cette Vaillante Visite d’une Vexation passée se retrouve ViVifiée et a fait Vœu de Vaincre cette Vénale et Virulente Vermine Vantant le Vice et Versant dans la Vicieusement Violente et Vorace Violation de la Volition ! [il trace un V sur une affiche] Un seul Verdict : la Vengeance. Une Vendetta telle une offrande VotiVe mais pas en Vain. Car sa Valeur et sa Véracité Viendront un jour faire Valoir le Vigilant et le Vertueux. [il ricane] En Vérité ce Velouté de Verbiage Vire Vraiment au Verbeux alors laisse moi simplement ajouter que c’est un Véritable honneur que de te rencontrer. Appelle moi V.


On dit que nous perdons tous 21 grammes au moment précis de notre mort… Le poids de cinq pièces de monnaie. Le poids d’une barre de chocolat. Le poids d’un colibri. 21 grammes. Est-ce le poids de notre âme ? Est-ce le poids de la vie ?

#290
9.32 (315 votes)

- Très bien, on va faire l’appel.
[Voix off : nous sommes à l’âge de pierre]
- Pierre ?
- Présent.
- Pierre ?
- Présent.
- Pierre ?
- Présente.
- Pierre ?
- Présente.
- Ah, Pierre ?
- Présent.
- Pierre ? … Pierre… Évidemment encore absent celui là. J’imagine que Pierre n’est pas là non plus ! Comme par hasard, toujours ensemble ces deux là.

#291
9.32 (756 votes)

Pierre (le blond) : Pour le localiser, il faut le faire parler…
Pierre (le chef) : Tu es pour ou contre l’avortement ?
Pierre (le guérissologue) : Ouais, et toi ?
Pierre (le chef) : C’est difficile comme question ça. Bah, disons que si la femme est enceinte, je suis pour. Par contre si elle ne l’est pas, c’est inutile qu’elle se fasse avorter. Enfin je pense !

#292
9.32 (694 votes)

Il me pète un peu les noix guillaume avec ses questions niaiseuses !

#293
9.32 (211 votes)

- I hate everyone.
- And what about your family?
- Everyone.

#294
9.32 (123 votes)

Je sais que je ne peux prouver que ce n’est pas un de leurs pièges mais ça m’est égal. Je suis moi. Je m’appelle Valérie. Je ne pense pas que je vivrais encore très longtemps et je voulais raconter ma vie à quelqu’un. Voici la seule autobiographie que j’écrirais. Et Mon dieu ! Je le fait sur du papier toilette !

Je suis née à Nottingham en 1985. Je ne me rappelle pas grand chose de cette époque lointaine mais je n’ai pas oublié la pluie. Ma grand-mère possédait une ferme à total brook et elle avait coutume de dire que Dieu vivait dans la pluie. Après avoir réussi l’école primaire je suis rentrée au collège de jeunes filles. C’est là que j’ai rencontré ma première petit amie. Elle s’appelait Sarah. Ses poignets… Ils étaient magnifiques. Je pensais qu’on s’aimerait pour toujours. Je me souviens de notre professeur nous expliquant que ce n’était qu’une phase de l’adolescence qu’on oublierait. Sarah a oublié, pas moi.

En 2002 je suis tombée amoureuse d’une fille qui s’appelait Christina. C’est cette année là que j’ai tout dit à mes parents. Je n’aurais pas pu si Chris ne m’avait pas tenu la main. Mon père ne m’a même pas regardé. Il m’a ordonner de partir et de ne plus jamais revenir. Ma mère, ne disait rien. Mais je n’avais fait que leur dire la vérité. Était-ce si égoïste ? On peut abandonner son intégrité pour presque rien, mais c’est tout ce que nous possédons réellement, tout ce qui nous reste à la fin ; et dans ce petit espace, nous sommes libres.

J’ai toujours su ce que je voulais faire de ma vie. Et en 2015 j’ai joué dans mon premier film, Les marais salant. ça a été le rôle le plus important de ma vie. Pas pour ma carrière mais parce que c’est là que j’ai rencontré Ruth. Dès notre premier baiser j’ai su que jamais je ne voudrais embrasser d’autres lèvres que les siennes. Nous avons emménagé ensemble dans un petit appartement à Londres. Pour moi, elle faisait pousser des Scarlet Carson dans notre jardinière et notre intérieur embaumait toujours la rose. Ce furent les plus belles années de ma vie.
Mais la guerre ne faisait qu’empirer aux États-Unis et elle finit par toucher Londres. Après ça il n’y eut plus jamais de roses, pour personne. Je me souviens de quelle façon le sens des mots se mit à changer, de quelle façon des mots peu familiers comme « collatéral » et « interprétation » devinrent effrayants ; tandis que d’autres comme « le feu nordique » ou « article d’allégeance » montaient en puissance. Je me rappelle quand « différent » a pris le sens de dangereux. Je ne comprends toujours pas, pourquoi nous détestent-ils à ce point ?
Ils arrêtèrent Ruth alors qu’elle faisait les courses. Je n’ai jamais autant pleuré de ma vie. Ils n’ont pas tardé à venir me chercher.
C’est bizarre de me dire que ma vie finira dans un endroit aussi horrible. Mais pendant trois ans j’aurais eu des roses sans jamais devoir m’excuser.
Je vais mourir ici. Toutes les parties de mon être vont périr ; toutes, sauf une, un détail, un tout petit détail fragile, mais qui est la seule chose dans ce monde qui ait de la valeur. Il ne faut jamais le perdre ou l’abandonner. Il ne faut jamais laisser personne nous le prendre.

J’espère, qui que vous soyez que vous vous échapperez d’ici, j’espère que le monde changera, et que tout s’arrangera. Et ce que j’espère plus que tout, c’est que vous me comprendrez quand je vous dit que même si je ne vous connaît pas, même si je n’ai jamais eu l’occasion de vous rencontrer, de rire avec vous, de pleurer avec vous ou de vous embrasser, je vous aime. De tout mon cœur. Je vous aime.
Valerie

#295
9.32 (444 votes)

T’essayes de m’faire du mal ? Sois pas ridicule Julien, t’en es même pas cap’.

#296
9.32 (1515 votes)

- Dites moi comment il est mort.
- Je vous dirais comment il a vécu.

#297
9.32 (166 votes)

C’est comme ça qu’on a gagné la partie. Ensemble. Heureux. Et là, au fond du béton, on a enfin partagé notre rêve d’enfant : le rêve d’un amour sans fin…

#298
9.32 (1859 votes)

J’aime pas les Américains… J’suis trop triste pour eux et ils sont trop cons pour moi.

#299
9.32 (93 votes)

- On a jamais parlé de l’avenir tout les deux. Enfin, je veux dire, de nos deux avenirs.
- Nos deux avenirs… Tu vois, moi, spontanément, j’aurais dit NOTRE avenir… Faut croire que le présent devrait me suffire.

#300
9.32 (1602 votes)

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